Les Neocatecumenali viennent initié pour degrés par une série d'implications progressives. Le catechi­sta entre les neocatecumenali est principal indiscutable à qui doit obéissance aveugle. Un catéchiste a avoué: Nous avons lié ta mère à l'ob­bedienza et nous les avons ordonnées de cac­ciarti voie de maison. L'adepte se trouve fermé dans un système de contrôle garan­tito du devoir de délation. Le confes­sione public des propres péchés di­venta pour les Neocatecumenali un stru­mento de chantage dans le cas qui veuille me détacher du groupe: ses péchés passés deviennent de connaissance publique pour lequel l'adepte reste bridé dans le mouvement pour le timo­re qui viennent rendements publics.

L'accusation est que quand ils entrent dans une structure ecclésiale, les Neocatecumenali s'imposent comme dominateurs egemonizzando tous les atti­vità sans laisser place à autres grup­pi ou initiatives qu'ils ne soient pas ils.

L'hégémonie la plus odieuse concerne la famille. Le catéchiste affirme le devoir d'obéir à lui encore qu'à les familiers, conjoints et parents compris.

L'éducation des fils, plus qu'à les parents, elle est confiée au groupe des neocatecumenali. Le plagiat en tel sens provoque situations paradoxales comme la femme qui a conçu 7 fils et les derniers quatre il les a soustraits au père pour les faire éduquer du catéchiste; ou la mère d'un psychiatre qu'en n'ayant pas obtenu l'adhésion du mari au Movi­mento elle a été contrainte à se diviser de. Autres témoignages accusent le Mouvement d'exercer une pression parce que les adeptes épousent appartenenti au groupe. Libres choix sont empêchés. Aussi l'union entre les époux vient bouleversée jusqu'à provoquer la rupture du lien conjugal avec le conjoint qui n'adhère pas à la secte. Seul Dieu de­v'essere aimé: si ton conjoint ou autres tu il est d'empêchement, refuse-le.

Un autre élément de destruction de la vie de famille est le coinvolgimen­to asphyxiant aux rencontres et aux inizia­tive neocatecumenali: l'adepte n'appartient plus à la famille mais au Mo­vimento, dehors dont tout autre af­fetto est considéré idolâtrique. En certain occasions, comme dans les fêtes pascales, les Neocatecumenali sont séquestrés par la famille pour les engagements comuni­tari.

Selon Kiko les élus seuls seraient les membres du Mouvement; ceux qui s'opposassent au chemin neocate­cumenale seraient du Judas condamné à la damnation.

Mais une autre étrangeté doctrinale est déclarer que Dieu, en combien infini, rien ne perdrait pas si vexé par l'uo­mo; donc mon péché ne peut pas vexer Dieu et non plus Jésus. Il tombe donc l'obligation de demander pardon des propres péchés. Les gens sont très sentimentaux quand il pense avoir of­feso Jésus avec les propres péchés. L'homme ne peut pas faire à moins de voler ou litiga­re: si le fait, il n'a pas de faute, parce qu'il est esclave de Satan, qu'il le manipule comme il veut. Si l'homme ne peut pas faire à moins de pécher, nous sommes tout pardonnés pour n'importe quel chute: pour les justifier il est suffisant de se reconnaître pécheur.

Si le péché est une fatalité, il n'a pas sens le se repentir, et non plus le confes­sarsi premier de la Communion, comme il arrive jusqu'à les nos jours. Au-delà qu'inutile, l'aveu serait espèce ridicule aussi dans ces maisonnettes de bois. La valeur essentielle du sacrement del­la pénitence est l'accusation communautaire des propres péchés esigita dans les communautés neocatecumenali.

Avec le rejet de l'aveu il tombe donc aussi l'aveu fréquent comme demi de sanctification, le dire­zione spirituel, le repentir des pec­cati véniels. Kiko confie y: Il m'est succes­so aussi à d'avouer sottises semblables, les caractère véniel. Mais vous ne dites rien de celui-ci aux gens: vous créeriez un tas de problèmes.

Le sacrement de la pénitence sareb­be un succédané inutile du Baptême qui ne remonterait pas aux origines de l'Église.

- La grâce. Il dit Kiko: Pour un cri­stiano comme san Luigi avec le sien mourir plutôt que pécher, il est fondamental d'être en grâce, ne pas perdre cette grâce persévérer. Mais la grâce on ne sait pas bien qu'est-ce que soit, qu'on a dedans avec lequel faut mourir. Grâce est vive­re dans la gratuité. Le christianisme est l'invitation à accueillir l'annonce du pardon gratuit de nos péchés. Le christianisme n'est pas un moralisme. L'Esprit Vivifiant est bien loin du pousser au perfectionnisme, aux bonnes oeuvres, à la fidélité au Christ mort.

- L'ecclesiologia. L'Église - au det­ta de Kiko - ce n'est pas une société gerarchi­camente fondé, mais charismatique avec une prêtrise unique, ce battesima­le, qu'il incorpore avec Christ som­mo unique Prêtre. Mais il n'est pas nécessaire d'appartenir à l'Église pour se sauver.

- L'eucharistie. Depuis toujours L'Église affirme trois aspects de l'eucharistie: il est Sacrifice, il est Communion, il est Présence. Ces trois aspects sont stra­volti totalement des Neocatecumenali.

- Présence réelle de Christ? Secon­do Kiko la Présence permanente a été affirmée en opposition au protestan­tesimo: il ne faut pas insister vous. Le Chie­sa catholique est obsédé par le pre­senza réel: pour elle il est tout. Les discus­sioni sur la présence réelle ou transsubstantiation font rire. Il n'est pas problème de miettes ou pas miette. Si Jésus avait voulu affirmer la présence permanente, il ne se serait pas déclaré présent dans le pain et dans le vin, mais il se serait déclaré présent dans une pierre, qu'il ne va pas à mal.

Aussi l'adoration a succédé contre les protestant. Comment Dieu était pre­sente dans les Pâques, c'est-à-dire dans le libera­zione de l'Egypte, Jésus est ainsi présent avec son esprit ressuscité par mort. Nous avons transformé l'eucharistie qui était un chant au Christ rené, dans le divi­no prisonnier du tabernacle!