Lettre ouverte aux communautés Neocatechumenales. . .
Chères Soeurs et Frères dans Le Christ,
Je vous écrit avec inquiétude sur ce que j'ai vu et entendu(témoignages) concernant vos reunions et liturgies. Sachez par avance que ce n'est pas facile pour moi d'écrire cette lettre et je suppose également que ce ne sera pas facile pour vous de la lire. Acceptons le mutuellement. Je ne suis pas encore convaincu que 'Le Chemin' dont vous parlez est en fait contre l'Eglise et ses enseignants, mais je suis tristement sur que votre approche et beaucoup de vos messages sont contraire à l'Esprit de l'Église et a l'Évangile de Jésus Christ. J'ai le ferme espoir que cela s'est produit sans malice ou mauvaises intentions de votre part, néanmoins, je vous conseille vivement de considérer les conséquences malfaisantes de vos actions dans, et en dehors, des communautés. Je n'attends pas que vous soyez facilement convaincus par la réalité de mes propos ,cependant, à cause du sérieux de ces accusations, je demande que vous priez au sujet de ces matières, et peut-être de reconsidérer les sources de votre interprétation des d'Ecritures saintes, des Dogmes et de la Doctrine.
Il est sur que c'est difficile de débattre contre 'Le Chemin', et ceci pour au moins deux raisons apparentes. La premiere est qu'il y a du bon dans vos communautés - je crois que vous avez eu l'intention de faire bien, et que vous faites aussi un peu de bien en fait. Encore que nous ne devrions pas confondre nos intentions de faire bien avec nos actions qui peuvent ne pas être bonnes, surtout quand c'est si facile de perdre de vue les individus dans la situation immédiate à cause des distractions des grands buts pour le futur. C'est une vieille tension, cependant ce qui est en jeu ici n'est rien d'autre que les vies des gens, la foi, l' espoir,l' amour, et la vie eternelle. Faire des accusations au sujet des préparations et des personnes-soutien pour celles-ci est une responsabilité grave et ce n'est pas pour dire qu'il n'y a aucune (vraies) alternatives, ou que le bien (de vos buts) d'une façon ou d'une autre compense le mal . Si nous pensons etre utiles à l'Évangile - notre but, nos 'fins, pourraient elles se justifier d'une façon ou d'une autre ,quelques soient nos méthodes, ou nos 'moyens ?- Nous devons regarder la bonté de nos actions aussi bien que les buts auxquels nous aspirons.
Peut-être vous vous demanderez pourquoi je mentionne intention, action, fins et moyens. C'est parce que c'est un champ de mines moral pour tout le monde, et parce que je pense que beaucoup de gens se joignent à vos communautés, ou sont encouragées à les joindre, pas tant pour leur bonté inhérente que pour avoir quelque chose d'eux - Ce qui est plutôt utilitaire et centre sur soi - ou parce que les gens sont persuadés de ne pas pouvoir critiquer les communautés parce que, vous savez beaucoup d'eux.'Cette approche peut saper réellement plutôt l'individu et la communauté que les développer, parce qu'elle se concentre sur un genre de consomation, ou "qu'est-ce que vous pouvez faire pour moi?" C'est différent, et peut etre plus subtile lorsque Jésus recommande que nous regardions les fruits pour juger de quelquechose. Subtil, peut-être, mais indiscutablement différent à cause de l'intérêt dans l'augmentation générale et la bonté de la personne entière (communauté, ou autre) - et, encore, à cause de la bonté inhérente de cette personne (communauté, ou autre). Les images des arbres fruitiers et des plantes grimpantes commencent avec quelque chose qui est généralement accepté comme bon et qui a besoin de soin, que l'on s'occupe d'elles pour être encouragees à continuer de grandir et pour produire des fruits abondants (pour le bien de chacun et de tous). Je n'ai pas entendu de telles choses venant de vous sur la bonté inhérente de gens dans vos communautés et dans la societe, mais plutot le contraire. Ceci, comme je le developerais dans un moment, est un point vital de division.
La deuxième raison c'est difficile de discuter contre votre 'mouvement' car a ma connaissance, vous n'avez rien écrit dessus (du moins je n'ai jamais rien vu, ou peut-être pas en anglais). Cela rend difficile de savoir exactement ce que vous prechez, ou ce qu' est votre approche à la Vérité et de la vie que nous affirmons tous dans Le Christ. Encore qu' il paraîtrait que vos enseignements sont quelque peu apparents dans vos réunions, dans vos messages, dans vos méthodes et dans vos liturgies. Certainement, quoi que quelque soit ce que vous croyez, une partie considérable a été exprimée dans ceux-ci. Bien qu'il y ait beaucoup plus de choses qui pourraient etre traites de ce que je me souviens de vos reunions et liturgies, j'aborderai seulement trois thèmes importants et récurrents qui sont particulièrement mémorables: le péche, l 'individu , et Dieu.
Je suis sûr vous avez eu des nouvelles de beaucoup de gens qui ont vu des choses extrêmes au sujet de votre compréhension de péché et de notre nature, et de cette façon de Dieu. Combien de fois j'ai entendu plusieurs de vos membres et chefs dire a quel point ils avaient ete mauvais, qu'ils ne pourraient rien faire sans l'aide de Dieu - .' Les gens sont encouragés à témoigner aussi de leurs mauvaises vies, dépravées. Pourquoi est-ce que vous faites ceci? Est-ce que vous n'êtes pas informé que l'histoire de l'Église est remplie de controverses et d' hérésies qui concerne de telles choses? Les Jansénistes, par exemple, croyaient en de telles choses comme la corruption radicale de la nature humaine, que les gens n'avaient aucune capacité pour résister à tentation, et que Le Christ n'est pas mort pour tous les gens mais seulement pour certains saints prédestinés. C'est horrible, ne le faite pas, cependant le Jansenisme était très populaire pour le temps anciens. Avec reconnaissance, l'Église a trouvé l'opposition favorable aux Jansénistes de quelques théologiens jésuites persuasifs:
Les deux vues avaient des implications importantes pour la moralité. À cause de leur vue optimiste de la nature humaine, les Jésuites ont supporté la moralité qu'à bien des égards a ressemblé à la moralité purement naturaliste des Déistes éclairés et rationalistes. Comme eux ils ont prêché la dignité de la nature humaine, et comme eux ils ont fait de la "nature" la norme de moralité, bien qu'ils ne comprissent pas la nature dans exactement le même chemin. Les Jésuites ont affirmé que même sans grâce la personne pourrait observer la rectitude morale au niveau naturel et par son propre libre arbitre pourrait faire des actes qui étaient moralement bons .
La théologie pessimiste des Jansénistes s'est reflétée dans leur rigorisme moral; l'homme non touche par la grâce est resté dépravé totalement, toutes ses actions étaient mauvaises et même ses vertus prétendues étaient des vices. La grâce a été donnée seulement aux prédestiné; les autres ont été condamnés inexorablement à la punition éternelle pour leurs péchés à travers non leur faute propre, mais parcequ'ils n'ont pas recus la grâce nécessaire.
Au début l'Église s'est appuyée vers la théologie jésuite et a décidé finalement de rester sur cette position. C'était sans aucun doute plus convenable pour l'Église qui a eu l'intention d'embrasser tous les hommes et qui, traditionnellement a offert le côté rédempteur dans ses sacrements qui étaient disponible à tous, et qui a toujours appris que l' effort de l'être humain comptait pour quelque chose dans son salut.
Thomas Bokenkotter
L'HISTOIRE CONCISE DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE
Je peux comprendre que vous vouliez que les gens soient informé de leur péché et de leur nature coupable, mais le péché n'est pas tout ce qu'il y a dans notre nature. Est-ce que la culpabilité, le blâme, le mal, et la récrimination termine, et le pardon, la pitié,l' acceptation et l'augmentation commence? Où est-ce que vous trouvez surtout dans le Nouveau Testament, tout support pour la demande dans Ecriture sainte, que Dieu nous teste, nous abandonne, ou 'prend notre tete dans sa main ?' Je suggérerais que ce n'est pas la croyance chrétienne 'kascher' . Même Job qui est le meilleur exemple connu de l'idée des épreuves de Dieu et qui, après tout, était vraiment vertueux (dans les yeux de Dieu), a senti qu' il était traité injustement et a été préparé à rappeler Dieu de l'injustice de la matière:
Eliphaz de Teman prit la parole et dit:
Un homme peut il etre utile a Dieu, quand un homme cense n'est utile qu'a soi ? Shaddai est il interresse par ta justice, tire t il profit de ta conduite integre ?Serait ce a cause de ta piete qu'il te corrige et qu'il entre en jugement avec toi ? N'est ce pas plutot pour ta grande mechancete, pour tes fautes illimitees?Allons ! Reconcilie toi avec lui et fais la paix : ainsi ton bonheur te sera rendu.
Job prit la parole et dit :
Encore aujourd'hui ma plainte est une revolte; ma main comprime mon gemissement. Oh si je savais comment l'atteindre, parvenir jusqu'à sa demeure, j'ouvrirais un proces devant lui, ma bouche serait pleine de griefs. Je connaitrais les termes de sa reponse, attentif a ce qu'il me dirait. Jetterait il toute sa force dans ce debat avec moi ? Non, il lui suffirait de me preter attention. Il reconnaitrait dans son adversaire un homme droit, et je triompherais de mon juge.
Job22:1,4-5,21, 23:1-7 (NBJ)
Bien sûr, Yahweh répond à Job, en lui en apprenant plus au sujet de Dieu, cependant il réprimande Eliphaz et les deux autres "pour n'avoir pas parlé correctement de Moi (Dieu) comme mon domestique Job l'a fait" (42:7; ne fait cependant pas référence probablement aux plaintes de job). Plus tard, nous obtenons le refus clair de l'idée dans la Lettre de James, que Dieu nous teste:
Jamais, quand vous êtes mis à l'épreuve, dites, 'Dieu me tente'; Dieu ne peut pas être tenté par le mal, et Il ne met personne à l'épreuve.
James 1:13 (NJB)
De l'aveu général, comment réconcilier job et James peut être un peu compliqué, mais je pense que la réponse peut être trouvée dans le traitement des deux auteurs de leurs croyances et actions. Encore, de tels problèmes séculaires sont comme la nature du mal, de la récompense et de la punition, parmi les questions élevées ici et de l'Amour et de la Justice de Dieu - . Généralement, nous les Chrétien disons que l'Amour de Dieu et la Justice ne se contredisent pas l'un l'autre, mais que les deux travaillent contre le mal, cependant quand nous choisissons entre les deux nous le faisons en faveur des aspects miséricordieux et indulgents de cet Amour.
Néanmoins, en accentuant la nature coupable des gens, vous paraissez minimiser (ou nier) la nature créative et bonne de nous tous. Nous croyons que nous sommes, après tout, fait a l'image de Dieu, et ce qui est un plus, doté d'un libre arbitre important - capable de faire bien aussi bien que mal. Avec le compte de la genèse original, l'auteur du grand travail mystique Médiéval, LE NUAGE D'IGNORANT, le notait bien:
La simple approche de Dieu dont je parle grandit de libre arbitre et est fondé sur une foi vraie.
Il est votre existence et vous êtes ce que vous êtes en Lui, pas seulement parce qu'il est votre raison d' être, mais parce qu'il est en vous comme votre raison d'être et votre existence.
De plus, Saint Augustin en a dit :
Il nous a créés sans notre aide et ne nous sauvera pas sans notre consentement.
De la même façon, que celle concernant la question de péché et de Dieu, il y a une inquiétude séculaire au sujet de la nature du moi - au sujet de qui et de ce que nous sommes. Parce que nous sommes de telles créations riches de Dieu, il ne paraît pas y avoir une fin à ce que nous pouvons contempler ou découvrir au sujet de nous-mêmes. Néanmoins, une des croyances plus fondamentales et anciennes au sujet du moi, et des rapports avec les autres, est connu comme 'seul et nombreux', et est important a considérer. Ce mystère se penche sur la croyance que nous sommes tous les individus - seuls, indépendants et séparés - aussi bien que le tout (d'une certaine façon), uni comme un. En particulier, la tradition chrétienne apprend que nous sommes des individus, et que nous sommes unis (dans Le Christ), éternellement. Cette facon de croire est admirablement expliquee par St Paul dans l'image merveilleuse du Corps Mystique.
Cependant, la croyance que les deux concepts sont vrais est essentiellement la croyance mystique, et, bien sûr, personne n' affirme de tels paradoxes apparents. Beaucoup de gens dans l'histoire ont eu comme idée des deux concepts - être unique et cependant uni - mais avec une tendance à en accentuer un plus qu'un autre. C'est ce qui, je le crains, s'est produit avec vos communautés - l'accentuation excessive sur les activités et l' 'unité' du groupe a entraine la diminution de la liberté des individus dans le groupe. Associé avec l'idee déjà mentionnée de l'individu foncierement mauvais, et l'insinuation que nous ne pouvons pas avoir confiance en nous-mêmes, qu'il y a une sorte de vide spirituel dont le seul espoir de sortie exige que la communauté guide les individus à et à travers eux la vie de l'Église. J'ai vu des gens qui adoptent un jargon, des gestes et un emploi du temps de plus en plus charge (ne permettant plus d'assummer d'autres engagements), apparemment par égard aux priorités des communautés du chemin. Cela afflige. J'ai vu ce danger se rependre ailleurs (tel que dans les communautés Charismatiques ), comme faisant partie de la formation de communauté, et c'est triste et dangereux. C'est trop près du royaume des fondamentalistes ou des communautés de culte; tout ce qui ferait grandir personnellement l'individu est contre l'Esprit et nuit à tout le monde, et donc est aussi mauvais pour la vraie communauté. Cela requiert surement de la Providence d'essayer d'équilibrer les priorités des individus et celles du groupe, avec des notions differentes concernant le temps, la mission et la direction, cependant il est crucial à maintenir l'effort.
Donc, alors, notre croyance dans le Corps Mystique accentue la compatibilité essentielle entre les besoins de l'individu et ceux de la communauté. Dans ce sens, notre croyance affirme que la liberté divinement donné de l'individu ne doit jamais être abusée, ni être contrainte, ni manipulée (peu importe les 'besoins pretendus bons du groupe). C'est seulement dans cette voie que chacun d'entre nous (et nous tous) pouvons trouver la verite, qui est le christ, comme cela a ete rendu explicite par Vatican II:
Mais la vérité. . . doit etre cherché selon la manière propre à la dignité de la personne humaine et a sa nature sociale. A savoir par une libre recherche' (DC§31).
Mais la vraie liberte est en l'homme un signe privilegie de l'image divine.Car dieu a voulu le "laisser a son propre conseil" pour qu'il puisse de lui meme chercher son createur et, en adherant librement a Lui, s'achever ainsi dans une bienheureuse plenitude. La dignité de l'homme exige donc de lui qu'il agisse selon un choix conscient et libre, mu et determine par une conviction personnelle et non sous le seul effet de poussees instinctives ou d'une contrainte exterieure…
. . ' (DC§172)
A.M.J. Kloosterman, I.C.D.
CATHOLICISME CONTEMPORAIN, Pensées depuis Vatican II,
Alors qu'il y a la multitude d'implications liees aux idées de 'liberté' et de 'dignité de la personne humaine', un des thèmes centraux est la croyance traditionnelle que nous pouvons tous mener notre vie comme Jésus la vivait. Il y avait beaucoup de support pour cette idée dans la période Médiévale et travaux écrits apparentés, tel que l'IMITATION DU CHRIST (Thomas à Kempis),.Ceci est devenu énormément populaire et sera encore introduit pour aider et pour guider des gens à travers la vie spirituelle. Abordons encore une fois le problème du Jansénisme, le passage suivant met en valeur la croyance que Jésus (l'être humain) était et est digne d'être suivi, et que nous avons la capacité de le faire :
Implicite dans la défense de l'Église que Le Christ parce qu'il est uni substantiellement au mot de Dieu était quelque chos ede plus a résoudre dans la controverse passagère avec le Jansenisme. C'était la reconnaissance de la tradition constante, basé sur la révélation que (l'homme) Jésus peut aussi être imité par le fidèle dans leur entraînement a la vertu chrétienne. En effet, modeler leurs vies sur les vertus terrestres du Maître, les fait grandir dans la ressemblance de Dieu, depuis que Jésus est Dieu.
John A. Hardon, S.J.
LE CATÉCHISME CATHOLIQUE
À cause du temps et des limitations de ce support, je ne dirai pas beaucoup de choses au sujet du décret de vos liturgies, excepte ce qui suit: - je les ai trouvés offensives, quelque peu oppressives, et en grande partie antithétique au but de la liturgie. Je crois que cela decoule, assez naturellement de vos croyances au sujet du péché et de la nature humaine. La liturgie, comme je la comprends, a pour intention de nous aider à glorifier Dieu et a nous sanctifier tous - tous les gens - pas par exhortation (comme j'ai trouvé pour une grande part dans vos liturgies), mais par encouragement et participation supplémentaire dans le Corps Mystique. À mon desespoir, j'ai vu et entendu des gens qui prolongent des lectures et des réflexions comme des enseignements menaçants, et ensuite dire aux gens de se dépêcher d'aller se 'Confesser' pendant le Service Pénitentiel, mentionner l'amour de Dieu et accentuer ce Dieu qui nous teste alors et 'enlève Sa main de nos têtes pendant ces temps, et persuader des gens d'assister aux réunions et aux liturgies (en leur disant toujours de ne pas attendre) et insinuer leur caractère criminel, indigne, et leur manque de confiance.
Si vous continuez à construire des communautés, s'il vous plaît faites le donc avec plus de soin pour les besoins immédiats de gens - des individus - aussi bien que ceux de la communauté et du royaume. Finalement, bien que mystiquement, nous les Chrétien affirmons que tout ceci est compatible. Je ne souhaite pas être contre vous, mais il se trouve que je suis contre la majeure partie de ce pour quoi vous paraissez être . S'il vous plaît considérez les mots d'Aristote, une des sources principales d'inspiration à St Thomas Aquin, et l'homme St Thomas a appelé 'Le Philosophe' (ou Amant de Sagesse):
La majeure partie des hommes est naturellement capable d'être balancé plutôt par peur que par vénération, et de s'abstenir plutôt du mal à cause de la punition qu'elle apporte qu'à cause de sa propre impureté.
Cette situation doit être évitée, comme St Jean nous rappelle que 'l''Amour Parfait fait fuir toute peur.' Dans un certain sens, considérez ce que John Newman Pourpre nous a suggéré comme etant une voie avancée pour les membres de l'Église:
C'est ce qu'on dit que l'Église veut, pas des hommes avec des partis-pris, mais des hommes sensibles, modérés, sobres, des personnes pour le guider à travers le canal d'aucune signification, entre leScylla et Charybdis d'aye et No. [<A>]
Finalement, s'il vous plaît acceptez mes excuses pour ma brusquerie dans cette lettre. Je n'ai pas eu l'intention d'offenser (bien que je craigne que je l'ai fait), mais essayer d'atteindre la vérité et exprimer - honnêtement, sincèrement et au meilleur de ma capacité - mes réactions, inquiétudes, et convictions au sujet de vos communautés et leurs valeurs et messages. J'espère que vous vous sentirez libre de discuter ces matières avec moi, ou de me dire si vous voulez tout éclaircissement de ce que j'ai raconté.
Sincèrement,
Ronald Haynes
(Juillet 1992)
P.S.: Vous pouvez aimer savoir que, hors de respect, les copies de cette lettre ont été données originairement (en mi mai) à Canon O'Brien et Fr. Francis. Je ne sais pas si vous avez vu cette lettre précédemment, mais après le (plus que) délai suffisant que j'ai décidé de vous envoyer ceci directement. J'attends la communication supplémentaire avec impatience.
DC, Liberté Religieuse, les 16 document conciliaires de Vatican II, p559
DC Constitution Pastorale sur l'Église dans le Monde Moderne, les 16 document conciliaires de Vatican II, p188
Scylla et Charybdis étaient monstres affichés aux pierres du contraire dans l'Odyssée de Homer, en représentant le chemin difficile entre mal et désastre (lequel doit être traversé néanmoins dans ordre vivre et grandir).
