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ENRICO ZOFFOLI

LE NEOCATECUMENATO

DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE

Lettre ouverte au clergé italien

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DITE D'ABORD

Au fondateur du Chemin Neocatecumenale nous devons attribuer le mérite d'avoir lancé la grande idée du "neocatecumenato." Nous lui-même en sommes reconnaissants, pendant que nous avons quelques réserves graves d'op­porre à la manière proposé par Lui pour le réaliser.

Il a beaucoup de raisons pour soutenir que les adul­ti qui ont reçu le baptême d'enfants, og­gi ils sont tenus à l'accepter, le justifier, valoriz­zarlo pour acheminer une nouvelle phase de vie chrétienne vraiment consciente.

Mais ceci suppose qui ils avant tout si en ren­dano je compte à travers une présentation du Cri­stianesimo qui réponde à sa vérité objective, depuis toujours enseignée par l'Église.

Présentation, celle-là soignée par Kiko Arguello et Carmen Hernandez dans leur "catechesi", que hautaine essentiellement la doctrine catholique, comme j'ai plusieurs fois dû en informer le public...

Je pense compléter mes "essais ripren­dendo critiques" la recherche il tourne à montrer qu'ils auraient pu puiser aux mains pleines au patrimoine de la Tradition catholique pour animer au vrai "neocatecumenato" possible unique.

Kiko et Carmen ont préféré proposer un en différent, mais en trahissant la foi et en compromettant le Concile le Vatican II.

Libre qui, irenisticamente stigmatise co­me "polémique" chaque défense sérieuse et loyale de la vérité. C'est un devoir appris par tous les grands Pères de l'Église et que je continue à accomplir au nom d'aussi prêtres innombrables et laïques que molti­plicano visites, lettres et coups de téléphone pour incoraggiar­mi: je ne suis pas seul; et il est pour ce qui peux espri­mermi pluriel personnellement.

Nous renvoyons aux volumes déjà publiés qui vérifier l'exactitude des allusions récurrentes dans ce travail voles­se (*). Nous repoussons decisa­mente en outre les protestations de tous ces neocatecumenali, que—au secours du Chemin—ils soutiennent de con­tinuare à croire dans le Magistero de l'Église Catholique tranquillement.

Notre réaction ne concerne pas les se­guaci "uniques" du Mouvement (idées) convictions, condot­ta...), mais les catéchistes, les dirigeants et surtout les Catechesi de Kiko et Carmen, dans l'espoir d'une rétractation explicite et publique de leur contenu­to doctrinal.

Rome, Fête de Maria SS.ma Reine, le 22 août 1993

L'AUTEUR

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(*) Hérésies du Mouvement Neocatecumenale. Cinquième édition améliorée enrichie de nouveaux témoignages déconcertants. Éditions je Marque, Udine, 1992.

Magistero du pape et Catechesi de Kiko. Comparaison à propos du Chemin Neocatecumenale. Éditions je Marque, Udine, 1992.

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Les

SUCCÉDÉ DU CHEMIN NEOCATECUMENALE

C'est un fait à tout connu qu'il n'a pas besoin de documentation.

Je fais allusion au pouvoir extraordinaire dovu­to moral à la protection de la Hiérarchie catholique; à l'organisation de fer qu'il en assure le coesio­ne et le dynamisme; à l'economi­ca de base solide qu'il permet initiatives dispendieuses et spetta­colari auquel ils sont couche amples sensibles du peuple; à la propagation croissante du Chemin en mol­tissime diocèse de tous les Continents.

Pour expliquer tel et beaucoup de succès suffirait de réfléchir sur la même dénomination qu'il révèle—très évidemment qu'en passé—un programme d'action primaire absolument dans un procès de ricristianizzazione radical du monde.

Il se traite, pour les adultes, de prendre conscience du baptême, reçu dans l'âge dans lequel seulement autres peuvent et ils doivent remplacer le nouveau-né, en professant une foi en base à lequel est tenu à vivre de chrétien conscient et cohérent.

Mais les cas sont fréquents malheureusement, dans lequel le baptisé, en grandissant, il n'est pas soutenu et diret­to d'une éducation capable d'en faire un fils authentique de Dieu, un vrai disciple de Christ, un mem­bro vif et efficace du Corps Mystique.

Elle a simplement résulté en la formation lente d'un mas­sa immense d'individus ces chrétiens parce que tels autres pour eux, un jour lointain, ils les professèrent à eux insaputa.

Et voilà que nations d'ancien et glorieux tradi­zione chrétien sont restées emportée par la fureur d'un laïcisme dissacratore, qu'il explique un réel—même si pas proclamée toujours—apostasie du sacré, vécue dans le refus de la Transcendance, dans le rejet de chaque valeur absolue, ne produit pas par la culture, étranger au cours de l'histoire.

* * *

L'Église en conscient est. Elle sait bien de ne pas avoir jamais vécu crises plus graves de l'actuel. Il en a affronté autres, terribles à tous égards; mais il rappelle aussi d'avoir pu elle résoudre, en faisant jamais levier sur une foi éteinte dans le peuple.

Aujourd'hui, à cette foi est tendue un piège non seulement et se moquer de, mais éteinte, oubliée: ils en parlent avec de l'indiffe­renza le mêmes qu'ancre ils décrivent dans les re­gistri paroissiaux des baptisés.

Maintenant, à la telle situation l'Église peut réagir sol­tanto en les dédiant à une ri-évangélisation du monde, avente le sens et la violence charismatique de l'annonce premier.

Et voilà le commencement d'une initiation orga­nizzata chrétien comme préparation à un second batte­simo: précisément le neocatecumenato.

Seulement en le nommant est facile de deviner le radicalità d'une entreprise qu'il rivalise avec ce même de­gli Apôtres et des premiers Martyrs... Elle dépasse l'o­pera de conservation et propagation de la foi reçue au cours des siècles de l'Église gerar­chica, soutenue par la collaboration d'un eser­cito de missionnaires.

Il ne s'agit pas d'engendrer à la vie, mais de risu­scitare les morts. Ce sont les mort, victimes des pregiu­dizi d'une culture laïque, des positions d'une "science" présomptueuse et railleuse, de l'ignorance, de l'incurie, de la vénalité et de l'arrogance de cer­to Clergé sécularisé, cause de scandale pour les fe­deli, de jugements sévères de l'opinion publique, d'in­finiti rappelle de la Hiérarchie restée inattendus, se moquer de...

Il faut commencer de nouveau donc. Mais le ri­evangelizzazione exige un neocatecumenato; et je m'explique comme l'idée qui a été lancé par Kiko Angüello et Carmen j'aie pu interessa­re beaucoup de le Pape, jusqu'à le l'enthousiasme et au prote­zione le plus généreux et paternel.

Mais qual type de neocatecumenato le Vicaire de Christ a pu concevoir et encourages en? Est-ce que Qua­le a par contre été reçu par les Fondateurs du Cam­mino? Ce sont les question qui aujourd'hui nombreux ils se mettent et à qui entends répondre.

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II

NEOCATECUMENATO CATHOLIQUE

I  -   Chemin oui, mais en sein à l'Église Catholique, Apostolique, Romaine

La seule fondée par Christ comme société visibi­le, hiérarchique, présidée par Pietro et Successeurs et dehors dont n'est pas salut: ce possi­bile pour le baptême préparé par un catecume­nato pour qui se dispose à devenir membre effectif du Corps Mystique.

Donc: il ne se consacre pas chemin de vie chrétienne qui ne dépende pas du Christianisme incarné dans la structure hiérarchique de l'Église catholique, dehors dont ne se consacre pas action de l'Esprit qui saufs, mais seulement l'illusion de consciences pas illumi­nate de la lumière du Verbe.

II  -    Chemin oui, mais guidé et soutenu fondé par un ge­rarchia sur la prêtrise ministérielle.

C'est la prêtrise qui—dérivé par le sacrement de l'ordre sacré—il rend capable d'agir "en nom et dans la personne même" du Christ-tête unica­mente les membres du Clergé; pour lequel seulement à eux il appartient le Magistero de la vérité et l'exercice d'une juridiction il tourne à sanctifie en les fidèles, accoglien­doli dans le sein de l'Église par le baptême, et en les assistant en toutes les phases suivantes de la vie chrétienne qui continuent et ils concluent le cammi­no catecumenale.

III  -     Chemin oui, mais conditionné à l'oeuvre de l'Église Mère et Maître restés essen­zialmente inaltéré de l'origine à aujourd'hui, malgré les influences négatives qui ont toujours tenté de la corrompre de l'in­terno et de l'extérieur et en bloquer le procès sto­rico de développement et d'expansion.

Persécutions et cesaropapismo, schismes et hérésies, incursions barbares et Renaissance paient, scientismo suffisant et immanentismo athée, sécularisation et laïcisme n'ont pas non plus éraflé l'Église, oui à l'induire à répudier la Tradition apostolique dans le cadre de la doctrine, du culte et de la morale... Il le documente l'histoire du dogme dans la continuité surprenante des vingt et un Conciles oecuméniques célébrés, le dernier de lequel est limi­tato à reprendre et confirmer le magistero de tous, spécialement de celui-là qui à Trente il op­pose à la subversion protestante, et dans le Vatican LES il réagit contre rationalisme et fideismo.

Comment un chemin d'inizia­zione serait possible au Christianisme qui ne supposât pas le fe­deltà de l'Église à ses origines?...

IV  -   Chemin oui, mais réellement possible, c'est-à-dire ta­le que pour les âmes tu comportes la vigueur neces­sario pour le réaliser, assuré par l'oeuvre rédemptrice du Christ.

Il est "chemin", ce du catecumeno qui, en remuant d'une condition de péché, chaque esclave de soi rend, du monde, du démon, incapable de renaître sans la grâce qui l'avait élevé au-delà des limites de sa nature. J'épingle la grâce qui rachète, en rétablissant les rap­porti originaires d'amitié de l'homme avec Dieu...

Seulement pour démolir le Christianisme on il est pu supposer que, avec le Vatican II ne se serait pas parlé plus que "rédemption."

V  -    Chemin oui, mais entrepris comme procès de restauration d'une nature humaine bouleversé par le péché, pas de son refus...

Démarrer à entendre le sens du baptême ne signifie pas condamne en la nature, mais plutôt ap­prezzarla comme cadeau de Dieu, et valoriser tout ce qu'en elle—pas ostante le péché—il est ri­masto sain fondamentalement. Si tel pas fos­se, la même oeuvre médicinale et elevante de la grâce il ne serait pas possible: la grâce ne peut pas remplacer la nature par en ne pouvant pas pas suppor­la pour la réparer.

Est erré donc opposer le Christianisme à la religion naturelle: celle de l'unique vrai Dieu devinée par la raison et honoré avec les connus aptes de cul­to culminants avec le sacrifice, je sois conçu aussi selon les différentes cultures des peuples.

À propos de Dieu, le chemin neocatecumena­le, dans l'Église, il ne comporte pas le passag­gio brusque du totale sombre de la raison à la lumière de la révélation. Il considère seulement à confirmer et clarifier dans le croyant ce que l'homme déjà connaît... En dernière instance, l'analogie de l'être quel­la profond continuité entre nature et grâce, et ensuite entre ra­gione et foi, qu'il exclut chaque début absolu.

VI  -   Chemin oui, mais affronté comme "conver­sione" du péché à la vie de grâce, de l'of­fesa de Dieu à la réconciliation avec Lui rendu possible pour son initiative paternamen­te miséricordieux.

Donc, l'homme, en le pécher, Dieu vexe per­ché il se rebelle à sa volonté, il se refuse de rico­noscergli la domination absolue qu'il lui appartient comme Créateur et Providence: la négation pratique de sa vérité constitue la pire des in­giustizie possibles. Mais tel co1pa suppose dans l'homme la liberté qui le rend responsable de ses actions et en faisant abstraction de qui pas sareb­be capable de pécher, de vexer Dieu... Maintenant, ceci veut dire qu'il, dans le cas, il ne contracterait pas al­cun devoir de réparation, en ne pouvant pas être in­giusto qui ne répond pas de soi, ou il est incapable d'agir moralement ni bien ni mal; pour lequel sa "conversion" n'aurait pas de sens, parce qu'in­trinsecamente impossible.

Mais le neocatecumeno catholique—qu'il veut comprendre tout le sens du propre baptême et il est con­sapevole de sa nécessité à la suite du tra­smissione du péché original—il est convintissi­mo du contraire. Il sait que justement le péché, original et personnelle, c'est le fondement fondamen­tale du Christianisme quel religion eminente­mente rédempteur... En l'ayant péché, il regrette d'avoir vexé Dieu et il entend se corriger, céder à sa grâce, pour toujours se réconcilier avec...

Dans l'homme donc tout se déroule en base au co­scienza de sa dignité de "personne", astraen­do de lequel ni péché, ni conversion, ni ri­parazione, ni rédemption, ni Christianisme... ils auraient un sens.

VII  -   Chemin oui, mais commencé avant tout quel conversion vécue comme repentir d'avoir vexé Dieu ou participation à la Passion espiatrice de Christ, cause méritoire unique de chaque grâce de conversion et de salut.

Au neocatecumeno catholique l'Église rappelle que le rite de l'immersion dans l'eau battesima­le est symbole de son mont avec le Christ, parteci­pazione au sacrifice de la Croix: j'épingle la mort de lequel la vie a jailli, le sacrifice qui, espian­do le péché, l'homme a réconcilié avec Dieu. Si la résurrection de Christ est cause de l'esempla­re donc, et efficace de la sanctification des âmes et de la résurrection finale des corps, il reste sem­pre cependant la Passion à décider qui cause du me­ritoria d'une heure et de l'autre.

Le Christ, donc, nous a racheté pas risorgen­do, mais en mourant, parce que seulement les monte, quel su­premo apte d'amour au Père et à l'homme est espres­sione d'une vitalité que tout récrée. Attribuer tout à la Résurrection signifie ignorer et trahir le mystère central du salut.

Dans l'Église catholique, donc, le chemin du neocatecumeno doit se résoudre dans un pro­cesso de mort seulement parce qu'il puisse se terminer avec le ricu­pero de la vie et de toutes ses valeurs.

VIII  -    Chemin oui, mais entendu comme corrispon­denza à la grâce en le participer attiva­mente à la Passion qui doit compléter en si même parce que mem­bro vif du Christ total.

Le baptême de lui reçu il est symbole d'une Passion quelle heure il doit faire propre en ne pouvant pas elle sauver de manière automatique. Christ, sacrifi­candosi, personne ne dispense pas en péché de la loi d'une expiation qu'il a rendu possible avec la grâce de Lui méritée: celle de pouvoir en satisfaire personnellement chaque dû avec Dieu. Donc au neocatecumeno la vie chrétienne s'annonce pas comme jouissance gratuite des fruits du Reden­zione; mais comme eux mûrissement laborieux dans la mortification des concupiscences pratiqué co­me libération incessante de la domination du pec­cato.

IX  -   Chemin oui, mais vrai, personnel, dû à la grâce qui, en régénérant à la vie de Dieu, ren­de l'homme capable d'une croissance tourne à la conquête de la sainteté et de la béatitude éternelle.

Pour avancer réellement, au neocatecumeno il ne suffit pas de se reconnaître pécheur et croire dans la puissance salvatrice de Christ: il lui est indispensable an­che vivre selon les exigences de la nouvelle vie de grâce; qui, en éliminant graduellement chaque re­siduo de la nature pollué par le péché, l'ele­va à une transfiguration totale de plus en plus dans le Christ.

X  -       Chemin oui, mais Christ qui en imite, unique, su­premo et modèle inépuisable de vie sopran­naturale pour tous.

Justement tel sublime et jamais procès imitatif conclu constitue et il règle le rythme du diveni­re surnaturel du chrétien, anxieux d'esse­re reconnu et de plus en plus aimé par le Père sous les sem­bianze fidèles de son divin je Génère. Men­tisce qui nie qui se soit proposé comme Maître et Type idéal de perfection admirable, et réellement imitable, au moins tout ce qu'il est accordé à chaque âme selon la grâce qui a me­ritato pour chaque et pour tous. Un neocatecume­nato qu'il ne tend pas à l'imitation de Christ, il est voté à la faillite.

XI  -   Chemin oui, mais animé par l'amour qu'il inspire la confiance en Dieu et la méfiance de soi, dans la conviction qui ne dépend pas de la miséricorde de Dieu exclusivement, mais aussi de la coopération libre de l'homme à sa grâce; pour qui, co­me récompense la fidélité des buo­ni non sans raison, il punit ainsi l'arrogance des pécheurs impénitents: la possibilité de l'enfer n'est pas fondée moins de celle du paradis.

Il s'agit de vérités fondamentales de foi qu'as­sicurano le chemin neocatecumenale contre deux excès de la confidence qui dégénère dans la présomption, et de la méfiance qui tombe dans le di­sperazione. Dieu ne prédestine personne au sal­vezza et à la ruine éternelle: son jugement est neces­sariamente conditionné au libre choix de cia­scuno. La possibilité réelle d'utiliser et abuser de l'arbitre fonde l'incertitude du résultat final. Un Dieu, qu'il fût tout et seul Miséricorde, offende­rebbe la dignité et autonomie de la personne uma­na, qu'il engage sa Justice aussi.

XII  -    Chemin oui, mais dans la prévision humble de nouvelles chutes qu'ils le conditionnent, sans cependant l'arrêter, parce que le neocatecumeno peut toujours risollevarsi par le peni­tenza administré par le prêtre que l'ac­coglie et il pardonne dans le nom et dans la même personne de Christ.

Il, en péchant, Dieu a principalement vexé, et il sait de simplement pu été pardonné par Lui, pas représenté par la Communauté des fidèles, mais du "prêtre" que, en vertu de l'ordre sacré, il peut l'acquitter en nom de Christ, unique Chef du Corps Mystique et Médiateur de salut.

XIII  -     Chemin oui, mais tel à avoir un sens et une valeur exclusivement si co­me achevé participation au sacrifice de la croix ri-présenté par cet eucaristico cele­brato à l'autel.

Il est à ce seul sacrifice en effet que le neoca­tecumeno doit la grâce du propre conversio­ne et toutes les autres qui conditionnent la sanctification progressive de la vie chrétienne. Il sait que de lui il dépend le sens de son baptême et so­prattutto qu'il y n'a pas geste du Sauveur qui en résume plus efficacement et j'exprime le media­zione espiatrice et rédemptrice, que tous doivent faire propre pour se sauver.

Qui refuse le caractère sacrificiel de l'Immola­zione du Calvaire et il réduit le rite eucaristico à un banquet célébrant fraternel la gloire et la puissance du Christ rené, il se révèle comme le peggio­re de ses ennemis en rendant vain catecumenato et neocatecumenato.

XIV  -     Chemin oui, mais dans la communion sacra­mentale avec la victime dessous présent divin les espèces du pain et du vin transunstanziati dans son corps et dans son sang.

En les nourrissant de la Christ-victime le neoca­tecumeno catholique reste justement ineffablement assimilé à Lui en réalisant union la plus intime d'a­more avec Dieu et le prochain. Il y n'a pas sacramen­to que tu stimules le chemin neocatecumenale comme la Communion eucaristica qu'il procure la joie d'en déjà atteint la ligne d'arrivée comme vrai "pe­gno de la vie éternelle" avoir.

Mais tel elle est pour celui qui croit dans le prodi­gio de la "transsubstantiation" seulement, depuis beaucoup d'aujourd'hui re­spinto et raillé, pendant que le catecumeno catholique est convaincu que son réel chemin est im­possibile dehors de l'unique Rue qu'il mène au Pa­dre, et qu'il ne peut pas les entreprendre dans ce désert de la vie sans se nourrir du "Pain disce­so du ciel", reflet suprême et plus stupéfiant de l'incarnation du Verbe.

XV  -    Chemin oui, mais commencé et non-stop à l'om­bra du tabernacle, trône unique de Dieu sul­la terre, que le temple rend sacré et de sens au culte, tous il attend et il accueille dans l'inef­fabile effusion d'amour qu'il réconforte les de­boli, il mûrit les Saints, il construit l'Église.

Selon le neocatecumeno catholique, au culte eu­caristico appartient la primauté je respecte à toutes les initiatives ecclésiales, bien que spectaculaires et bruyantes possibles. Pour lui—qu'il avance dans le penetra­zione de plus en plus approfondi du mystère—la visite privée au Très saint, l'adoration ripara­trice, le dialogue muet et intense avec Lui vaut à l'Église plusieurs de tous les cours, les discussions, les "vo­lontariati" et les pèlerinages organisés pour le grand public.

XVI  -     Chemin oui, mais sans quelque destination defi­nitiva à atteindre sur cette terre: la vie de la grâce, quel vie d'amour, co­me ne connaît pas de mesures, il exclut ainsi chaque limite.

C'est la grande loi de l'esprit qui, inesauribi­le dans son développement stimule le neocatecumeno à se transformer dans le Christ et en Lui tendre à l'imi­tazione du Père Modèle de perfection infinie.

Celles-ci les conditions fondamentales d'un cam­mino neocatecumenale éclairé par le Magistero de l'Église Catholique.

Comme les mises au point faites il est évident ils sous-tendent un bien différent "chemin": exactement ce de Ki­ko et Carmen qui, en se méprenant, ils ont pu faire la contrebande de lui dans la tentative d'inventer un nuo­vo Christianisme, en résultant sincre­tismo religieux le plus brut de ce siècle (*).

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(*) Le contenu théologique de ces introductions au neocatecume­nato catholique—absolument paisible—il a son con­ferma plein dans le Rite de l'initiation chrétienne des adultes, C.E.I, Libr. Éditeur Vaticana, Réimpression 1992, spécialement dans les Pre­messe, pp. 11-50. Ce que doit être souligné et que "neo­catecumenato" entendu en sens catholique répond à la fin—en toute l'histoire de l'Église—ce de la "second conversion" quel prise lumineuse et efficace de conscience du batte­simo ou commencement décidé et héroïque à la sainteté comme participation à la Mort et Résurrection de Christ.



III

AU VISAGE OUVERT

1 - GRAVITÉ DU CAS

L'accusation d'hérésie lancée contre le C.N. elle n'est ni gratuite il a le goût de l'attaque polémique et hargneuse de paladins de la foi aveuglé par le zèle.

Après tout ce qu'il s'est maintenant répété depuis des années sur essais monographiques et magazines, ri­tenere n'est pas exagéré que le cas est désespéré: je crois qu'il soit pre­cisamente un de ceux-là elle lequel solution doit ri­mettersi aux temps longs de la Providence qui di­rige l'histoire millénaire de l'Église.

Mais les temps, bien que "longs", ils peuvent et de­vono être abrégé, au moins en restant à l'esorta­zione de S. Paolo à Timothée d'insister en chaque oc­casione opportun et inopportun; réprimander, réprimander, exhorter avec chaque magnanimité et dot­trina... , 2Tm 4, 2.

Après ce que j'ai ailleurs rapporté, il est superflu qu'onéreux d'épaissir ces pages en citant les Catechesi de Kiko-Carmen. Il suffira d'en rapporter l'essentiel contenu.

—     Ils soutiennent que Dieu ne peut pas rester vexé par le péché;

—     l'homme, d'autre partie, il ne peut pas pécher parce qu'il n'est pas libre de résister au mal...;

—     ne contracte pas quelques-uns devoir de ripa­razione donc,...;

—     d'autre partie, le sacrifice d'expiation n'est pas chrétien, parce que restant du paganisme;

—     la mort de Christ elle n'a pas été un sacrifi­cio d'expiation;

—     Il n'a pas racheté l'homme;

—     l'homme donc, resté fondamentalmen­te dévoyé, il n'est pas capable de quelques-uns bien et il est schia­vo du Méchant...;

—     pour se sauver lui suffit se reconnaître pecca­tore et croire dans la puissance du Christ rené...;

—     qui n'est pas du tout son Modèle de vie;

—     pour lequel il est inutile pour l'homme promettre et s'efforcer de se corriger...;

—     il peut les confier seulement au misericor­dia de Dieu, qu'il sauve tous pour lequel la théologie ki­kiana ignore purgatoire et enfer;

—     la Messe n'est pas un vrai "sacrifice", mais seulement un banquet communautaire qui célébre la puissance salvatrice du Christ rené...;

—     le pain consacré ne se change pas dans la substance du Corps et du sang de Christ, pas aven­do autre fonction que celle-là de matérialiser la présence spirituelle de Lui que, ressuscité, tous tra­scina sur son chariot de feu. ..;

—     nié Sacrifice eucaristico et transustan­ziazione, le "pain" consacré, avec tous ses re­sti et fragments, il exclut le réel et présence essentielle de Christ, chaque culte d'adoration qui en rend vain...;

—     l'élimination du sacrifice comporte la suppression de la prêtrise ministérielle, pas do­vendosi reconnaître autre prêtrise si non entièrement de Christ: l'eucharistie est célébrée par le Comuni­tà des croyants, tous indistintamente tu participes de la prêtrise unique...;

—     l'exclusion de la "prêtrise ministérielle" portée à l'effondrement de la Hiérarchie ecclésiastique, ou au refus de l'ordre sacré qui la profonde;

—     supprimé l'ordre sacré, l'Église comme Société visible et hiérarchique n'ont plus quelque ra­gion d'être...;

—     d'elle restent les croyants uniques seulement dans le Christ qui, animé par son Esprit, ils tirent propres lampes interprétée par la Bible selon l'inspiration personnelle de chaque...;

—     j'épingle l'Église charismatique des premiers siècles, disparue de quand, avec la Paix costan­tiniana se constitua comme société hiérarchique...;

—     avec le Vatican II l'Église de Christ sareb­be ressuscité, et Kiko en serait le réformateur le plus embrasé et influent. Il serait ap­punto logiquement l'Église de l'Esprit, des charismes, du li­bertà, de l'oecuménisme bienveillant avec toutes les fois.

2 - ACCUSATIONS FONDÉES

La liste, aussi en étant extrêmement schemati­co est suffisant parce que quiconque puisse chieder­si si pour un vrai neocatecumenato il fût realmen­te nécessaire s'éloigner beaucoup de du sillon de l'or­todossia catholique. Les aberrations sont si graves et évidents à pouvoir soulever—en quelques-uns—an­cora quelque doute sur l'authenticité des Cate­chesi de Kiko-Carmen de laquelle elles ont été tirées. Mais nous devons rester tranquilles, en suffisant de réfléchir que:

1° le texte principal des Catechesi incrimi­nate est le même reproduit, photocopié et répandu par le Centre Neocatecumenale "Serviteur de Jahvè en san Sauveur", (Place S. Sauveur en Champ, Rome, Tél. (06) 6541589,; texte dont, tourne pour fois, les pages ont été citées, con­sentendo à toute vérification la plus rigoureuse...

que puis l'examen critique du même ait été mené avec objectivité absolue, que c'est-à-dire les fautes doctrinales dont sur ce ne soient pas le ri­sultato d'une extrapolation arbitraire du conte­sto et ils réfléchissent donc les réal convictions des Fondateurs et dirigeants du Chemin sont montrés par le fait que:

à, personne n'a pu nous accuser jamais d'avoir inventé, interpolé ou dénaturé les pas des Ca­techesi;

b, notre critique est connue aux beaucoup de vesco­vi et aux hauts membres de la Hiérarchie catholique, qu'ils n'ont jamais cru en devant de nous réprimander parce que nous rectifiassions nos jugements;

c, la discrétion impénétrable avec qui les dirigeants du C.N. les Catechesi de Kiko réservent la conscience il trahit aux catéchistes seuls qui n'est pas compatible avec le Magistero de l'Église;

d, ceci résulte aussi du refus systématique de chaque discussion sereine, libre et publique—ora­le et inscription—avec combien d'ils ne partagent pas leurs idées;

et, beaucoup de vrai que leur presse—toujours elo­giativa et trionfalistica—s'il se renseigne sur les succès du Chemin, il n'ose pas jamais cependant répliquer, une pour une, les accusations d'hérésie remuées par les secteurs plus de di­versi que de l'opinion publique;

f, si Fondateurs et dirigeants du Chemin ac­cettassero tout et uniques les articles de la foi cat­tolica, lesquels ils résultent complètement aussi des conditions ri­chieste pour un neocatecumenato or­todosso, ils n'hésiteraient pas à produire un pubbli­ca métier de foi, suffisant à les purger de chaque accusation et suspect. En les traitant d'un do­vere grave, parce qu'imposé de la cause de l'unité et de la paix, et pas d'intérêts personnels ou entêtements d'honneur, leur silence persistant les condamne.

3 - DÉFENDUE INCONSISTANT

Malgré la patience ostentatoire "cristia­na" (?) de nos accusations, elle n'est pas manquée le rea­zione de quelques neocatecumenali, qu'ils ont ot­tenuto le but unique de leur confirmer.

Il ne faut pas s'arrêter sur leur recours à me­todi déloyaux comme l'anonymat de lettres denigra­torie, charges d'insultes. Plus digne de réflexion la contenance d'autres qui avons eu l'opportuni­tà de rencontrer ou dont nous a été rapporté le pen­siero.

—  Nombreux n'a pas su chose répondre, en ne comprenant pas non plus le sens et le por­tata de certaines questions: leur ignorance en fait de religion a penosamente nous surpris...

—  Pas a été moins nombreux combien d'ils se sont refusés de répondre. Selon eux, formuler certaines questions veut dire céder au ten­tazione de l'orgueil qui fait perdre en obscurités oisives seulement, et ils n'ont rien à que voir avec la vie chrétienne, qu'il est seulement amour fraternel, écoute du Mot de Dieu, participation à l'eucharistie...

—  Autres, en déviant habilement le discours, ils se sont limités à raconter avec éloquence l'histoire de la propre conversion, inviter à l'intrapren­dere le Chemin, essayer d'en faire l'expérience...

—  Quelques-uns, en les appelant au mouvement oecuménique actuel, ils ont observé qu'il n'est pas plus de temps que de dogmatiser et aller pour le mince, parce que ceci ne fait pas autre que diviser, accentuer les contrastes, rendre vain l'oeuvre jusqu'à présent animée par un esprit supposé du Concile...

—  Nous résulte aussi que—particulièrement entre presbytères, catéchistes et gens de culture en ge­nere—nombreux ils ont fait appel au nouveau teolo­gia, en soutenant que Dieu a ouvert à toutes les voies qui mènent à Lui, au-delà de toutes les formes et les fe­di... D'autre partie, le virage anthropologique, dans le rico­noscere la primauté de la conscience aurait li­berati nous du cauchemar d'un Magistero infaillible et absolu, étouffant et antievangelico. L'amour remplace au tout, en satisfaisant chaque devoir an­che avec Dieu... Jésus n'impose pas autre, en exhortant à tolérance la plus généreuse... Ce ne sont pas les idées qui sauvent, mais la vie... La communion dans le godimen­to de ses joies a sien rite le plus sublime dans la cantine eucaristica qu'il annule chaque contraste, ren­de vain chaque théorie...

—  Nombreux, au contraire, ils n'ont pas hésité au ri­spondere en reconnaissant, dans les questions à eux ri­volte, la même foi professée par l'enfance; c'est-à-dire celle à qui ils ont été éduqués par parents pii et de curés zélés. Si ils ont choisi le Chemin, il est sta­to seulement pour motifs étrangers aux propres con­vinzioni religieux: à la solitude et au découragement dû aux situations familières malheureuses, il est aggiun­ta la constatation de la tiédeur spirituelle du Clergé, de la désolation de certaines églises, de l'adoption d'une réforme liturgique ne comprend pas, sbrigati­va bâclé... Mais leur coeur est resté fe­dele à l'Église Catholique, même si seule ils avaient confusément appris en les dogmes et pas chia­ramente ils avaient réussi à les distinguer de certain positions du catechesi neocatecumenale: celles du reste qui les catéchistes propinano gradatamen­te pour ne pas scandaliser les faibles... Mais maintenant, tout considéré, personne d'eux ne croit avoir mo­tivi sérieux pour répéter certaines expériences décevantes de la vie de paroisse.

En dernières analyses, la réaction neocatecumenale se résout en le définir et repousser comme calunnio­sa chaque critique du Chemin pour lequel la tentative d'une discussion quelconque est aprioristicamente refusé: il y n'a pas raison qu'il vaille contre l'indi­scutibile vocation charismatique de Kiko dont cependant personne n'a su ou jamais lu del­le nul Catechesi incriminés, crue "invenzio­ni" purs de gens malveillants, "possédée par le démon...

4 - JUGEMENT DU PAPE

Le plus irréfutable des défenses du Chemin, celle qui annule toutes les critiques, en montrant la fragilité et le but calomnieux des argomen­ti allégués contre 1'opera de Kiko, il serait soprat­tutto l'approbation explicite et répétée de Gio­vanni Paolo II. Maintenant, le fait de telle approbation [que cependant il n'a pas rien de chanoine et officier pour l'Église] il est incontestable, mais ils ne sont pas autant de claires et décisives les circonstances dans lesquelles il a été con­cessa. Quelques reliefs suffiront pour nous entendre:

à, L'autorité du Pape est somme seulement quan­do il concerne l'orthodoxie d'une date doctrine de caractère religieux. Mais évidemment, pour la juger avec des formes ou contraire à la foi, il est indispensable qu'il la connaisse... Maintenant le fait de lui connaître esula du domaine de sa compétence et de son charisme, en dépendant simplement des informa­zioni qu'il peut en avoir de ses collaborateurs; qui, à eux il tourne, ils peuvent ne pas être de l'in­formati tout ni du tout objective.

Est-ce que Giovanni Paolo les connaît réellement les premes­se doctrinaux du Chemin de Kiko et Carmen? Pour maintenant nous croyons je sois permis au moins en douter.

b, Dans la lettre connue du 30 août 1990 directe au mons. Cordes dans lequel "le Cam­mino Neocatecumenale reconnaît comme un itinéraire de for­mazione catholique, valide pour la société et pour temps modernes", il atteste d'avoir pris vision del­la documentation à Lui présenté par le destina­tario... Maintenant, de quelle "documentation" il se traite? Est-ce qu'elle rapportait le contenu doctrinal des cateche­si de Kiko? Qui peut le vérifier?

c, Le Pape, dans le document même, il prend note de combien d'évêques différents positifs les aveva­no rapportés au service du Chemin. Il même, scri­ve avait eu beaucoup de rencontres avec les Communautés Neocatecumenali des paroisses romaines... D'ac­cordo. Mais tout ceci ne signifie pas que Giovanni Paolo II eût lu les textes des Catechesi.

d, En conclusion: il est légitime au moins le dub­bio qui en connaisse le contenu doctrinal.

Mais il y a davantage.

Nous avons toutes les raisons de soutenir que le Pa­pa l'ignore. Il est impossible en effet qu'il appro­vi bénisse, je protège et un Movimen­to recommande qu'il dégonde depuis les bases le Christianisme, en hautain, comme nous verrons, la morale en dénature le cul­to et il arrive miner l'Église en niant le strut­tura hiérarchique, ou en supprimant la "prêtrise ministérielle" qui en et le fondement.

Tout ceci—nous répétons—riflet­tendo est impossible que le Pape est le Berger et le Maître universel de la foi précisément, et que de fait Gio­vanni Paolo II a parfaitement accompli toujours son missio­ne de manière exemplaire, selon la tradition glorieuse des prédécesseurs... Un homme il­luminato et loyal comme lui il ne pourrait pas tomber dans une contradiction si mortifiante, imperdo­nabile...

et, est-ce que nous Pouvons supposer que le Pape, est-ce que sapen­do tout ne frappe pas aussi spirituellement la faute pour pas danneggia­re beaucoup qui ont suivi le Chemin en tirant avantages évidents en bonne foi, de manière que, en éliminant la zizanie, pas il sradi­chi aussi le bon grain?

Bien que bienveillante, l'hypothèse ne satisfait pas:

—  Premier, parce que le Pape, aussi en condamnant l'er­rore, il pourrait s'abstenir du lui favoriser indiretta­mente, en cessant de bénir, protéger et racco­mandare le Chemin neocatecumenale lequel il a été conçu et reçu par Kiko...;

—  selon, il n'est pas exigé parler de bon grain et se préoccuper de le sauver quand il s'agit de gen­te bien élevé selon thèses contraires à la foi et que, tôt ou tard il révélera le poison des hérésies lenta­mente, et insensiblement absorbé...;

—  troisième, s'il se traitait vraiment de "bon gra­no", dans les neocatecumenali nous aurions des sujets au moins en bonne foi pour qui un mot au­torevole—comme celle du Pape—il serait prov­videnziale...

Si le Pape savait donc aujourd'hui tout et preferis­se se taire pour peur d'un schisme, il y a à craindre qu'il devra demain prendre note précisément d'un schisme depuis temps usagé, parce qu'implici­to dans l'adhésion au fond doctrinal du Chemin qual est indiqué dans les catechesi de Kiko et Carmen.

En conclusion, il est incroyable que le Pape sache tout réellement: en connaissant le contenu de ces catechesi, notre conviction constitue défense le plus noble et juste du Vicaire de Cri­sto devant l'histoire.

5 -   "IL BONS JE PLANTE DES ARBRES IL SE CONNAÎT DES FRUITS"

Dans la lettre au mons. Cordes, le Pape écrit de "avoir pu constater fruits copieux de conversio­ne poussée missionnaire" personnelle et féconde, de do­vere tener je compte "de la nouvelle vitalité qu'il anime les paroisses...." Il semble donc que je ne pas autre pour répéter le mot évangélique selon qui se connaît des fruits."

Que sens il peut avoir le début à propos de la "bonté" présumée du Chemin Neocatecume­nale? C'est le dernier problème qu'il reste à résoudre l'autour de les conditions réelles du NEOCATECUMENA­TO DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE. Sa complexité ob­bliga à procéder avec attention spéciale.

* * *

à, ils se consacrent des convertis Certainement. Qui sont ceux-ci?

Ils n'ont pas souvent entendu jamais parler de Dieu, de Christ, etc., et il s'explique comme à un premier "an­nunzio", on ne peut pas rester indifférents du tut­to... Il s'agit souvent aussi d'individus psicolo­gicamente faibles, sujets à crise, suggestionabi­li et autant de volages...

Autres fois la conversion concerne une catégorie de semi-analphabètes fidèles combien à la religion, ri­masti hésitants, apathiques, peu d'apprentis; et, in­sieme, négativement frappé par le niveau de vie, des méthodes pastorales et des liturgies de prêtres spi­ritualmente médiocres, vraies personnes intéressées du culte...

Alors, la fuite de la paroisse est co­me inévitable évasion de nouveau stimulée par le besoin de quelque chose, authentique, vécu... Il s'entend donc le charme exercé par l'avisée royale de catechi­sti sincères, mais n'éclairé pas; honnêtes, mais comme tra­volti d'un type de fanatisme pour qui—in­consciamente—ils présument souvent de servir de maîtres d'esprit et posséder charismes niés au presbitero de la Communauté... J'épingle les catéchistes je donne l'impression de former comme un "gerar­chia" supérieur à l'ecclésiastique, illudendo­si d'avoir une autorité plus haute de celle-là fondée sur l'ordre sacré...

Le ton grave et paternaliste de leurs rappels, 1'ossessionante mention du péché, le terribi­lità des menaces, etc. il est tout ce qu'il finit avec le sog­giogare pauvres âmes, que justement pour leur passivité ils arrivent à entendre le besoin de ces ri­gore et de l'inquisitoriale penché créé par les catechi­sti à qui on doit obéissance absolue parce que—ils disent—inspiré par Dieu, responsables du salut éternel de tous... Obéissance tellement cie­ca à provoquer la séparation jusque à entre coniu­gi, contrastes incurables entre parents et fils... Selon Kiko, Jésus commanderait pas de le préférer au père et à la mère, à la femme et aux fi­gli..., mais de les haïr: le fondamentalisme de son exégèse au soin allibire il y a...

La décision d'autres à commencer le Chemin est mûrie par la meilleure bonne foi. Il s'agit de fidèles bien élevés chrétiennement, pratiquants, onestis­simi, mais resta qu'à l'âge enfantin à l'istru­zione religieux. Leur mémoire des formules catechistiche n'est jamais devenu intelligence du dogme, méditation du mystère, clarté d'idées et défense courageuse des vérités révélées... Ils font partie de notre "bon peuple", charge de pregiu­dizi et de superstitions, disposé à donner écoute al­l'ultimo "santon" qu'il se présente, à croire—aussi avec des réserves—à toutes les apparitions de "Dames", comme aux turpitudes impies pratiquées par sectes infâmes de cultes sataniques.

Le Chemin, pour eux, il constitue un scoper­ta une vraie grâce. En lui en effet ils apprennent un certain style de sérieux et de cohérence, ils commencent à goûter le Mot de Dieu, ils expérimentent la joie de la vie communautaire, ils suivent avec intérêt le déroulement de la liturgie, ils essaient nouvelles émotions, douces à qui doivent le virage del­la décisif propre existence... Ils se sentent beaucoup plus heureux parce que—au moins dans les premiers ans—personne le di­sturba, en pouvant continuer à recevoir les sacramen­ti comme avant, se sentir à tous les effets membres vifs de l'Église: le Pape du reste est avec eux!...

Ceux-ci les "bons fruits" du Chemin. Pas pos­siamo en douter. L'Église a été la premier au ri­conoscerlo, induite presque pour instinct de son ma­terna disponibilité à apprécier tout le bien de ses fils.

Mais maintenant notre constatation n'épuise pas l'ana­lisi conclu.

à, Le relief premier concerne l'oeuvre du Spi­rito Saint, parce que le bien, tout le vrai bien des âmes ne peut pas avoir autre Auteur. Maintenant, l'histoire de la spiritualité chrétienne documente qui peut se servir de tout et de tous pour secouer les co­scienze stimuler le chemin de la grâce. Il suit que, en restant aux résultats positifs obtenus, "l'Albe­ro" auquel ils doivent les attribuer est principalmen­te Dieu... Mais en qual il les mesure ils les doivent au Cam­mino? Bientôt nous l'expliquerons.

b, Ce que nous devons affirmer tout de suite il est que Neocatecumenali ne tirent pas bien tout leur ve­ro des techniques et inventées par les initiatives de Kiko et de ses catéchistes. Ils ont eredita­to le dans une grande partie avec le tempérament, reçu par le formazio­ne moral sain en famille, déroulée par l'oeuvre de curés zélés, de confesseurs embrasés, qu'ils en ont mûri la conscience, ils ont acheminé et la vie spirituelle bien directement créée abi­tudini excellents, débuts fixés irrinunziabili... Le Cammi­no a pu valoir pour conserver la ferveur seulement, rester fidèles à si mêmes, enrichir un certain trousseau de notions, appris par bien autres mae­stri et institutions comme l'action Catholique, qu'en beaucoup d'âmes il a laissé une empreinte indélébile.

c, À ce soin, il est juste d'observer que:

—  dans les premiers ans de Communauté—et souvent an­che par la suite—personne des neocatecume­nali ne connaît tous et uniques les fondements doctrinaux du Chemin...; et personne ne peut avoir et lire le texte des Catechesi de Kiko en étant il rigo­rosamente réservé aux catéchistes. Qui cependant propinano le contenu de ce texte au fur et à mesure qu'il, insensiblement absorbé, il crée dans les ca­tecumeni une mentalité du tout typique, irremo­vibile et jusque à arrogant...;

—  nombreux ont confié d'avoir reçu du bien du Chemin, mais seul dans les premier deux ou trois ans, parce que, par la suite peiné jusqu'à le le dégoût, bien qu'ils ont continué à voir et udi­re en Communauté a décidé d'abandonner tut­to et tous... Sur ceci nous disposons d'un documenta­zione horripilant;

—  n'est pas manqué quelques-uns qui, après ans de fréquence, vécus dans le respect del­le le plus scrupuleux règles du Chemin ont fini avec le perdre la foi aussi, en apostasiant de l'Église...

Est-ce qu'ils peuvent se considérer "bons" tels fruits? Pourquoi la presse neocatecumenale n'en parle pas? Pourquoi ne pas reconnaître que "l'a1bero" qui a produit tels fruits et la THÉOLOGIE, HÉRÉTIQUE, DE KIKO ARGUEL­LO ET CARMEN HERNANDEZ?

Nous laissons répondre au Kiko qui, au-delà à s'acharner contre dogmes sacro-saint de la foi cri­stiana, Dieu, péché, Rédemption, Sacrifice de la Croix, grâce, arbitre libre, Eucharistie, "presen­za réel", Sacrements, salut éternel, etc., a l'audace de railler le conseil del­la évangélique pauvreté volontaire et les pratiques du montées cri­stiana.

Si "l'homme—il décrète—défaut pourquoi il ne peut pas faire autrement, pourquoi il est esclave du pec­cato...", quels "bons fruits" d'oeuvres est possible d'espérer et les attendre de qui se convainc real­mente en?

* * *

Kiko a jamais réfléchi qu'un début du ge­nere équivaut à une incitation au mal faire, giu­stificando tous les affaissements aux passions humaines; et est-ce que les crimes ensuite gobés comme faiblesses ou rap­tus pour qui codes, tribunaux, amendes, prisons, etc. ils seraient institution injustes, inhumaines? Le voleur, l'adultère, l'assassin, la prostituée, le ter­rorista, etc. ils devraient se confier aux cu­re de psychiatres et rhésus inoffensifs seulement en les ségréguant du consortium humain...

Si l'homme est réglé profondément. Il est charnel. Il ne peut pas faire à moins de voler, de se disputer, d'es­sere jaloux, d'envier, etc., ne pas faire d'altrimen­ti. Et est-ce qu'il n'a pas faute en...", pourquoi le réprimander?... S'il ne peut pas faire autre si pas "ce qui veut le Méchant" pourquoi le punir? Le pire il est que nep­pure la grâce de Christ peut le corriger: elle ne le régénère pas, il en ne fait pas une "nouvelle créature": les Sa­cramenti ne valent pas au rien... La situation del­l'uomo de Kiko est désespéré...

Ceux-ci "les bons fruits" du Chemin? Possia­mo supposer—nous nous le demandons encore une fois—que le Pape se soit renseigné sur stra­falcioni du genre qui troublent catholique morale et éthique humaine exactement, en frappant chaque structure giu­ridica, en raillant toutes les institutions de la société civile?

Le neocatecumeno, convaincu de ne pas pouvoir faire bien al­cun et ne pas pouvoir faire que le mal, comme est-ce qu'il pourra accomplir son chemin et se disposer à un secon­do baptême? Qu'est-ce que c'est ce baptême enfin? À que servantes?

Nous sommes certains que l'Église catholique est en gra­do de proposer un neocatecumenato essenzialmen­te différent, qu'il ne peut pas être—comme soi l'audace est eue de vendre—ce de Paolo VI et très moins de Giovanni Paolo II, nos vénérés Bergers et Maîtres.

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RÉCAPITULATION EST CONCLUSION

Nous connaissons deux types de neocatecumenato.

Un, orthodoxe, il remonte aux origines de l'Église, il était connu aux Pères, et aujourd'hui il est plus que jamais in­dispensabile pour un ricristianizzazione réel du monde... J'épingle le neocatecumenato dont ab­biamo rappelé les conditions qui toujours le ren­dono possible et indiscutablement respect prioritaire à toutes les formes de vie chrétienne, à toutes les initiatives du ministère hiérarchique. Si on ne meurt pas et il renaît dans le Christ, il est impossible de revivre en Lui, se servir des mérites de son oeuvre redentri­ce...

L'autre neocatecumenato, proposé par Kiko et Carmen, il est hérétique, et il s'est imposé comme pleure parassitaria dans l'Église dont il a usurpé lin­guaggio, rites, pratiques.

Il vante justement aujourd'hui un prestige, qu'il a atteint le sommet près de l'opinion publique pour la bienveillance excessive et patience de membres del­la Hiérarchie, pour l'état d'abandon spiritua­le dans lequel il languit une grande partie du peuple de nos régions et diocèse de l'Italie, pour la désinformation et l'incurie de beaucoup de curés, prevalente­mente sensibles aux nouveautés destructives de la théologie prote­stante qu'il sévit dans nos centres d'étude.

Significatif le fait qui le Chemin Neocate­cumenale naît dans les ans ‘60 et il se propage rapi­damente dans la période du fameux Catéchisme Hollandais et d'un neomodernismo qu'il exhume 1'immanentismo sceptique dans la négation de l'as­solutezza de la vérité en soi: elle—comme déjà il de­nunziava dans le décret "Lamentabili" de S. Pieux X—"        n'est pas plus immuable que l'homme même, giac­ché évolue en lui, avec lui et pour lui."

Il s'insinue ici et 1à le critère de juger les ve­rità de la foi au goût, selon la propre capacité d'entendre et le propre goût d'interlo­quire dans le champ théologique et religieux." Celui-ci une des nombreuses plaintes déchirantes de Paolo VI, Ud. janv. 30.11.1966.

"La mode—constate 1'anno après—il fait plus que la vérité loi: le culte de la propre personnalité et de la propre liberté de conscience se se rhabille de gregarismo le plus hâtif; à l'Église pas il ob­bedisce, mais il se fait crédit facile à la pensée d'autrui et aux hardiesses irrévérencieuses et utopiques du cul­tura courant, souvent superficiel et irresponsabi­le." Il y a enfin danger d'une DÉSAGRÉGATION DE LA DOCTRINE,... ", Ud. au C.E.I, 7.4. '67.

Mais la tempête ne se calme pas, parce que le 7 dicem­bre du ‘69, l'Église se trouve dans une heure d'inquie­tudine, d'autocritique, il se déclarerait d'AUTODISTRU­ZIONE. Il est comme un bouleversement intérieur, acu­to et complexe QUE PERSONNE ON il serait ATTENDU APRÈS LE CONCILE. ON PENSAIT À UNE FLORAISON À UNE EXPANSION SEREINE DES CONCEPTIONS MÛRIE EN LES GRANDS S'ASSISES DU CONCILE. MAIS EN VIENT SOULIGNER L'ASPECT DOULOUREUX SURTOUT. COMME SI L'ÉGLISE FRAPPÂT SI MÊME. Pour quelque fente la fumée de Satan est entrée dans le temple de Dieu. Nous aurions cru que l'in­domani du Concile aurait été un jour de Soleil pour l'Église. MAIS AU LIEU DU SOLEIL, nous avons EU LES NUAGES, LES TEMPÊTES, LES TÉNÈBRES...", Ud. 29.6. '72.

* * *

Kiko n'aurait pas pu trouver un terrain de culture plus apte. Et son oeuvre a été très plus néfaste que plus il il est sbracciato dans le soste­nere le Vatican II, en l'insister sur la nécessité d'un neocatecumenato pour rievangelizzare le monde, dans le reconstitution de la famille chrétienne avec la défense du d'encyclique Humanae vitae, etc. etc.

Toujours il apparaît ainsi, et il est accueilli comme un nouveau sauveur du monde. Mais, il n'a pas jamais osé ensemble publier ses Catechesi,; il n'a jamais fait en lire le texte intégral à Paolo VI et à Giovanni Paolo II, préoccupé de lui tenir secret, réservé aux catéchistes; il n'a jamais cédé à l'invi­to à un dialogue public, ni il a jamais rétracté une seule de ses idées, non plus pour remédier au scandale des accusations d'hérésie qu'ils ont troublé beaucoup d'âmes, paroisses entières divisées, in­numerevoli déchiqueté familles.

À Vienne, récemment, le 12-15 avril 1993, les re­sponsabili du chemin n'ont pas permis à quelques Évêques un débat libre sur les idées du Mouvement, et ils ont eu le presun­zione impardonnable de demander à l'épiscopat: "Aidez nous dans le rievangelizzazione!", comme si eux—"agneaux" du troupeau—ils se fussent transformés en "Bergers"... Mais la suppression de la prêtrise ministérielle peut suggérer celui-ci et autre pour se défaire du Gerar­chia démolir l'Église.

* * *

Il y a davantage.

Depuis quelques ans on attendait avec anxiété le pubbli­cazione du nouveau Catéchisme parce qu'il mît une limite à la liberté effrénée de pensée de sacerdo­ti et catéchistes, professeurs et écrivains catholiques; et les fidèles se sentissent contres rassurés enfin les arbitres de théologiens, esegeti et liturgistes affolés...

Eh bien, on espérait que, après beaucoup d'ans d'ac­quiescente silence de la part de l'épiscopat italia­no, le Catéchisme induisît les Neocatecumenali à revenir sur les voies de l'orthodoxie, sans quelques-uns bi­sogno d'interventions draconiennes du S. Siège...

Mais nous sommes restés déçus. Les disciples de Kiko—selon les beaucoup de voix à nous jointe—ils ne le connaissent pas encore; ou ils disent qu'il n'est pas pour eux en combien d'ils en possèdent un autre supérieur à ce de l'Église Catholique...; ou ils s'efforcent de faire cre­dere le contraire, aussi en n'acceptant pas le con­tenuto...

Ils ne peuvent pas le partager évidemment, si en lui ils apprennent une doctrine opposée à cet in­segnata de Kiko et Carmen. Nous nous dispensons du pa­ziente je travaille d'analyse et comparaison entre leur Catechesi et le Catéchisme de l'Église Catholique...

Pour en convaincu être au neocatecumeno scor­rerne il suffit 1'indice thématique.

Il s'assure aussi de ce que l'Église ancre in­segna sur: Rédempteur et Rédemption; Libre et Liberté, Moralité et Péché Péchés originaux et Pecca­tore, Pénitence, Repentir, Conversion, Grâce, Sacrifice de la Croix, Sacrifice de l'autel, Tran­sustanziazione, Présence réelle, Eucharistie, Sacer­dote et Prêtrise, Hiérarchie et Ordre sacré, Sod­disfazione et Souffrance, Ascèse et Mortification, etc.

Dans les pages auxquelles il renvoie l'index thématique, les Neocatecumenali peuvent lire seulement l'antithèse des convictions fondamentales de Kiko et Carmen. Et alors à quelle destination il peut mener leur Cam­mino?

Dans le refus de la prêtrise ministérielle, et du Sa­crificio eucaristico, peut-être sans non plus avveder­sene, Kiko—de nouveau "cheval de Troie"—il est en train d'ouvrir les portes de l'Église Catholique à un re­ligiosità chrétien tellement vague, à pouvoir promuo­vere oecuménisme le plus tolérant, se disposer au strin­gere la main à un mondialisme que, en le faire bon visage aux religions les plus contradictoires, il les annule toutes dans l'avance triomphante de l'humanisme athée.

P.S. des gérants du situé Internet:

Le 16 juin 1996, Père Enrico Zoffoli est décédé pour les séquelles d'une maladie sans que "quelque autorité de l'Église lui ait jamais suggéré d'abandonner les analyses et les dénonciations sur les "hérésies" qui sont au fondement du CHEMIN NEOCATECUMENALE.

7 - L'UNIQUE VRAI BON" "ARBRE

Ce c'est-à-dire fécond de fruits excellents, il est Christ; c'est l'Église, Mère et Maître, sa Mariée; il est chiun­que il est membre en vif et il montre d'être il ade­rendo à son Magistero, en acceptant sa morale en participant à sa liturgie.

Donc, tous les "bons fruits" du Chemin neo­catecumenale les doivent exclusivement au vita­lità qui tire de l'Église, ou aux éléments de son organisation que dérivés par la même aux vérités de foi, aux règles morales, aux formes du culte.

Mais, ce que d'original et de vraiment le Cammi­no peut vanter et constitué seulement du fond de sa doctrine aberrante du Magistero; ma­scherato profond des aspects positifs qui, dérivé par l'Église, ils sont destinés à tromper les sprovve­duti... Il suffirait de réfléchir sur la dénomination habilement choix: il s'agit d'un catecumenato vol­to à disposer à l'acceptation d'un nouveau Cristia­nesimo, ce ne réalisé pas—selon Kiko—de l'Église Catholique, Apostolique, Romaine...

Il est en réalité, de qual nature peut être l'arbre qui produit fruits ne mûris pas par le repentir des fautes, de l'intention de se corriger; du sfor­zo héroïque d'imiter Christ; de la confiance dans le soc­corso d'une grâce qu'il régénère; opérée par la vertu d'une Rédemption du Christ avec le Sacrifice del­la Croix; de la participation au tel Sacrifice at­traverso le Sacrement eucaristico qu'il nourrit les fidèles avec la même Viande et le Sang du Vitti­ma immolé?

6 -   "FRUITS" DU CHEMIN NEOCATECU­MENALE