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TST_LC06, pag. 224 du livre "Vérité sur le... ")
"Régime dictatorial et terrorisme des catéchistes"
Cher père Enrico Zoffoli,
Ce sont un professeur d'école secondaire, j'ai avec fait partie du chemin neocatecumenale pour vingt ans et aujourd'hui mon mari nous avons décidé de prendre les distances d'eux, parce que les doutes sont devenus certitude. Je chercherai dans cette lettre que j'ai pensé leur écrire du plus brièvement exposer notre situation possible. Papier de ne la pas ennuyer et en croyant que le sujet les intérêts je viens donc tout de suite au.
Il y a vingt ans vinrent des catéchistes en les présentant comme envoyés de l'Évêque et de l'Église, donc du Pape, garant de celui-ci nous paraissait le Curé qui comme il eut à dire il était resté enchanté d'une célébration de l'eucharistie.
Mon mari devint responsable. Le catechesi elle la connaît bien car il a écrit un livre, que j'ai lu il y a seulement peu jours et que je leur assure ici de nous personne et je crois peu de neocatecumeni en Italie ils connaissent.
Nous nous rendîmes compte qu'il y avait quelque chose étrange dans les catechesi, mais nous n'étions pas apte à en cueillir les hérésies, ni tantomeno me semble ils en se soient aperçus les curés.
Je lui assure que tous les neocatecumeni qui connais pensent que le chemin soit descendu par le ciel qui l'envoies le Pape et que les Évêques soient à la connaissance de tout aussi des scrutins, de la vente des biens, de l'interprétation sur l'ouverture à la vie et de l'attitude qui a avec les divorcés. Aussi nous pensions ainsi et je viens par contre, à comme soi notre crise est amorcée sur le chemin, nous avons dû nous raviser.
Quand nous fîmes le second passage un couple de notre communauté il n'accepta pas d'avoir autres fils au-delà des trois qu'il avait déjà, le mari cedette aux catéchistes et alors ceux-ci lui dirent d'avoir rapports avec la femme en ne tenant pas compte du fait qui ne voulait pas de fils, celui-ci, pour ne pas pécher.
À un autre couple ils donnèrent l'ordre péremptoire d'avoir un autre fils.
Moi et mon mari les invitâmes chez nous et nous dîmes ouvertement qu'ils plagiaient le péroné et qu'ils induisaient à pécher encore de plus en faisant violence à la volonté des femmes qui ne voulaient pas, pour motifs valides, ne pas avoir autres fils.
Il y avait présents deux prêtres une de l'équipe et d le curé, personne de deux heures il parla au que moi sbottai en disant que je voulais entendre parler ils et pas des laïques. Les deux restèrent sans mots.
Ils vinrent y des doutes terribles, sortir du N.C. ou rester, mais c'étaient l'Église et nous nous nous trouvâmes devant Dieu même, qui pouvait oser différer.
Nous restâmes, nous étions catéchiste et nous pensions scandaliser beaucoup de frères, nous pensâmes prendre ce que de bon il y avait dans le C.N.
Alors nous avons pensé que le C. se serait tout doucement adouci et leur arrogance serait diminuée.
Tout ceci toujours en pensant que l'Évêque fût à la connaissance de tout et aussi le Pape.
L'an dernier nous fîmes présent que j'avais difficulté à faire catechesi et passages parce que j'ai cinq fils mâles et la fille unique elle s'était mariée et je devais rester à la maison.
À la fin de l'an nous fîmes un second scrutin, le responsable un intégriste du chemin, en deux scrutins je trie une personne à l'hôpital pour l'émotive chargée forte jaillie de son scrutin et avec un couple de divorcés avec des fils il s'exprima en termes catégoriques et blessants. Mon mari fit le scrutin à la femme et il dit ce qu'il dit l'Église, de vivre de frère et soeur c'est-à-dire seul ils pouvaient ainsi accéder à la communion.
Ce couple nous essaya.
L'an mon mari décida de laisser le devoir de catéchiste à la suite d'autres doutes et problèmes.
Le second passage fut refait de nouveau et les deux divorcés furent invités à se séparer malgré les fils, chose que l'Église ne demande pas et qu'il ne veut pas pour garantir une famille etc aux enfants ou mieux...
Je ne cite pas le document qui certain elle connaît. Ce couple s'adressa à nous que nous parlâmes avec le curé et avec le responsable et catéchiste les deux ils insistaient en le dire que le document devait être interprété ainsi. Mon mari, avec le document à la main il parla avec le responsable qu'il ne voulut pas le lire non plus.
Alors il fut qu'il l'invita à faire l'interpréter de l'évêque, mais celui-ci fâchés il répondit qu'il ne connaissait pas l'évêque mais seulement les catéchistes. Mon mari à ce moment-là se rendu compte et il dit à l'autre voix devant tous les frères qui alors avait été avec des hérétiques pour vingt ans et il en bouleversé alla.
Nous avons longtemps réfléchi et finalement nous sommes allés chez l'Évêque, mon mari écriteau depuis trois ans religion aux supérieures pendant que premier travaillait à un centre recherches.
L'Évêque nous a écoutés, en ayant beaucoup d'estime de mon mari a cru, aussi parce que depuis vingt ans dans le chemin N. et ensuite à la connaissance de beaucoup de choses. L'Évêque nous a confirmé que rien des passages ne savait pas et d'ils se déroulaient comme. Pour vingt ans alors nous avions demandé à l'Évêque la permission de faire catechesi et passages sans que ceux-ci il sût en qu'est-ce qu'ils consistaient et qu'est-ce qu'on prêchait.
Sans compter les angoisses qui les provoquaient dans les gens avec les scrutins susdits. Pour vingt ans alors nous avions menti pour le C.N. nous avions garanti sa discrétion et ses sopprusi.
Maintenant en ayant lu son livre j'ajoute, ses hérésies.
Maintenant cependant je demande à elle: parce que les Évêques n'ont pas contrôlé premier d'où ils joignaient tout ces argent des passages et avec quel terrorisme psychologue ils venaient données.
Nous nous sommes rendus compte que tous les catéchistes croient dire la vérité parce qu'envoyé par le Pape, des Évêques mais surtout de Dieu.
Qui a menti à ce point? Je la déduise...
Ceux qui sont dans le chemin païen un prix haut.
Une mère de six fils qu'il risquait la vie avec un autre fils, en "les devant ouvrir à la vie" elle est morte, le mari cependant il est dans la paix.
Les premières victimes du C.N. elles soient restées tous les gens jeunes qui aient payé un prix si haut qui n'imagine pas non plus. Je l'an dernier j'ai écrit au préfet Cardinal pour la doctrine de la foi, une lettre que je leur envoie et autres deux que je n'ai pas envoyé parce que pas ricevetti quelque réponse.
Aujourd'hui je m'adresse à elle et est-ce que je lui demande, pourquoi l'Église a laissé en nourrice des laïques les fidèles? Ceux-ci ont un pouvoir absolu maintenant sur les gens, ils sont tenus plus que Dieu même.
Est-ce que le Pape connaît son livre? Est-ce que les Évêques connaissent son livre? Notre évêque de non de sûr. Notre curé, non plus.
Nous sommes en possession des livres de presque tout le chemin et nous sommes à sa disposition, mais la chose la plus importante est que le Pape se prononce, mais de manière claire et claire.
Aucun homme ne peut demander à un autre homme l'obbedineza absolu en disant que c'est l'Église et il l'envoie Dieu et pour le tout ils doivent se préparer.
Maintenant je me demande, si nous avons donné vingt ans de notre vie convaincus d'être voix de l'Église et du concile le Vatican II porté aux paroisses, qui nous a trompé, peut-être Chico A. pour faire passer son idée d'Église rigoriste ou pour créer le supercristiano au coût de tuer la dignité de l'homme capable de scegleiere et d'être.
J'ai tâché de me mettre en contact avec elle pour téléphone, mais le numéro résulte erroné. Je leur fournis mon numéro de téléphone s'il veut il peut chimarmi.
Je lui envoie aussi la lettre envoyée au Cardinal Préfet du dottr. de la foi et les autres n'envoyées pas.
J'espère dans sa réponse et je la salue.
Que le Seigneur nous éclaire tous.
(lettre griffée)