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TST_LC02, pag. 89 du livre "Vérité sur le... ")
"Nouveaux et plus rusés des témoins de Jéhovah"
"Le soussigné, N.N, habitant en conjugué avec 3 fils, en désirant contribuer pour une connaissance approfondie plusieurs du mouvement Neocatecumenale, avec la présente il veut porter à la connaissance de qui de devoir la propre expérience personnelle de qui il a fait partie du mouvement même pour 5 ans. Je suis entré entre les neocatecumenali en 1980 à la suite d'une invitation du Curé qui appelait les paroissiens à un catechesi qu'elle aurait commencé de là à peu dans la paroisse et à travers qui auraient eu la plus grande connaissance de la propre foi.
"Au début je suis tout seul allé, puis j'ai mené avec moi ma femme, à la suite aussi de l'insistance du groupe, comme aussi parce que je désirais ne pas être seul. Les responsables insistaient, en effet, sur la nécessité de la présence du couple au complet pour pouvoir commencer et faire le "Chemin." Mais pendant que ma femme arrêta bientôt de participer, je continuai à fréquenter les catechesi. Celles-ci venaient toujours espèces des Catéchistes, de 2 catéchistes, mari et femme—gens communs—qu'ils sont actuellement aussi elles sorties du mouvement. Le Prêtre même s'il était présent et il ouvrait le catechesi avec la prière, de fait presque jamais il n'intervenait pas.
Après 15-20 jours de ce catechesi le groupe se réunissait pour une "vie en commun" premier en laquelle se faisait le passage premier, qu'il consistait à exprimer la propre adhésion à ce chemin de conversion. Tout ceci se faisait dans une espèce de célébration il dicte "de la lumière" qui terminait avec une célébration eucaristica. Cette célébration—comme puis toutes les autres—il se faisait en utilisant pour autel une table mise en demi à une salle, on ne va jamais en église, avec un crucifix, pendant que les adhérents restent je reviens je reviens. Dans la messe on utilise comme hostie une espèce de fouace qu'il se cassait au moment de la Communion.
"Après les lectures chaque exprimait ce qui entendait dire: expériences personnelles... et tout ceci durait assez, au-delà demi-heure. La Communion était faite en donnant un bout de la fouace à chaque et en passant des calices de lequel buvait le vin consacré.
"Comment remerciement, et cela arrivait en chaque célébration,—il se faisait une espèce de danse autour de le le table-autel, en chantant!
Je fais remarquer que dans ces assemblées il ne s'est jamais parlé ou enseigné à faire la visite à Jésus sacramentato.
"Les célébrations de l'Eucharistie ne commençaient pas avant jamais les 21 et ils ne finissaient pas si pas après 24 heures.
Il n'a jamais été possible, malgré nos protestations, changer horaire.
Parce que selon les N.C. il est la nuit qu'on doit prier.
Pour les N.C "Le dimanche. pratiquement il n'existe pas, comme aussi aux adhérents on n'enseigne pas à faire dans ce jour quelque autre chose, ils font leurs vies en commun.
"Autre élément caractéristique des N.C. ce sont les "résonances" qui se faisaient dans la "célébration" du Mot. Après 3 ou 4 lectures bibliques, espèces à tour et choix des membres précédemment, le presbitero, s'il y avait, et le laïque responsable, présent donnait par contre toujours, à qui il voulait, le mot.
"Je veux faire ressauter que depuis la première vie en commun, les membres venaient un nommé pour un et invités à déclarer si ils voulaient faire ce chemin et rinunziare, initialement seul en forme d'invitation, puis successivement de manière alternative, aux biens qui possédait. Et ceux-ci étaient: la maison, les terrains, l'argent, les épargnes—tout enfin, pour vivre seulement de providence, parce que, et ils faussent ici l'Évangile,—ils affirmaient que pour suivre Jésus et être chrétiens, il fallait faire comme le riche jeune.
J'ai remarqué, à ce soin, que dans les assemblées il y a une demande continue d'argent.
Il y a une insistance asphyxiante d'argent. Quand après quelques ans j'ai fait le passage, ce "Shemà" m'a été dit, après un catechesi pressant et fait aussi avec des tons menaçants de la part des catéchistes, de donner tout ou au moins ces livrets d'épargne que j'avais à mon nom personnel sans faire savoir rien à ma femme.
"Donne-nous ce" ils me disaient.
"Quand ils ne réussissaient pas à recueillir tout ce qu'ils avaient programmé, ils disaient être nécessaire pour les dépenses soutenues, ils demandaient encore pour une seconde ou troisième fois.
"Jésus—il dit un catéchiste—il n'a pas besoin de votre aumône."
Mais entre temps ils dans Son nom l'exigeaient.
J'ai vu mien collègue qui avait suivi le groupe à la suite des pressions de la femme, et ensuite seul pour tranquille vivre, un père de 5 fils, indigent, avec un salaire seul, qu'il se plaignait, très peiné, des demandes continues d'argent qu'ils venaient espèces dans les assemblées.
En chaque vie en commun il y a cette demande insistante d'argent.
"Je peux affirmer que quelques gens—il prise de je ne sais pas qu'est-ce que—elles sont à ce moment-là arrivées, à donner objets précieux aussi, souvenirs chers, livrets d'épargne, mais puis elles se sont repenties amèrement du geste dessous achevé le fort pression psychologique.
Quelqu'un a affirmé:
"j'ai été plagié.
"De mon observation à ce soin il a résulté qu'en commençant du presbitero pour arriver au responsable et aux catéchistes, je parle de ceux qui connais, ceux-ci n'a jamais donné l'exemple de se déshabiller de ces biens qu'ils inculquaient comme indispensable aux composants du groupe. J'ai si aussi remarqué que quelques catéchistes qu'ils venaient de Rome, ils avaient des autos très luxueuses et dispendieuses.
J'ai aussi remarqué qu'à eux catéchiste itinérant, que bien je connaissais: sans domicile fixe, avec 5 ou 6 fils, ils avaient donné une voiture capable de transporter toute la famille qui était continuellement en tour à parler... du royaume de Dieu. Personne de ces gens ne travaillait... les fils fumaient et ils dépensaient... qui payait?
En "ne pouvant pas accepter cet état de choses, je suis sorti du groupe. L'alternative proposée je de vendre tous mes biens ai femme et 3 fils, il me semblait inacceptable dans l'étage je sois humain qu'évangélique. En ne pouvant plus participer à leurs réunions, mais en désirant donner une contribution à l'église et paroisse en lesquelles précédemment avais prêté mon oeuvre, j'ai dit au Curé-presbitero que je me rendais toujours disponible pour n'importe quel activités manuelles aussi. Mais du Curé j'ai été marginalisé. Les catéchistes qui me rencontraient réprimandaient mon geste et ils disaient que moi et ma femme ne nous sauverions pas. Si aussi la plus grande partie des frères de l'ancien-communauté ils tâchent d'éviter rencontres et salut. Ce fait m'a montré que le pardon aux ennemis dont beaucoup d'ils parlent et ils se vantent, en réalité il n'existe pas.
"Les dehors-sortis du mouvement sont pour les N.C. moins bien des renégats.
Dernière observation: le Curé-presbitero du mouvement, il ne soigne pas si non entièrement N.C.
Il semble qu'autres groupes ou associations n'existent pas les N.C sauf.
En "concluant: d'une expérience positive premier, je suis passé très graduellement à autres négatives.
Je n'ai pas rancunes vers personne. Je voudrais seulement que l'Église connût mieux, sans s'arrêter aux apparences, plus profondément le mouvement N.C.
J'il semble souvent de voir en lui des nouveaux et plus rusés "témoins de Jéhovah."
"Tout ce qu'a été écrit par mon ami, sous ma dictée, il correspond à la vérité.
Je suis disposé à confirmer avec serment tout ce que contenu dans ces 8 pages que je souscris ".
, Il suit la signature,