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TST_CL04

LES MÉCANISMES PSYCHOLOGIQUES DU CONDITIONNEMENT

MENTAL À L'INTÉRIEUR DES

COMMUNAUTÉ NEOCATECUMENALI.

L'organisation "dénommé Chemin Neocatecumenale" suscite depuis beaucoup d'ans, à l'intérieur de la même Église Catholique, nombreux doutes, perplexité et, de toute façon, opinions contrastantes: quelques-uns soit laïques qu'ecclésiastiques, ils voient en lui une bénédiction de l'Esprit, autres, également influents, ils le croient un danger dans la doctrine et dans la méthodologie qui comparent à celle de sept heures en arrivant lui définir "une église dans l'Église".

Les neocatecumenali se défendent de ces accusations en affirmant qu'il est ils but revenir à une manière d'être de l'Église comme ce qui caractérisait les premières communautés chrétiennes et, en les entendant persécuté, ils soutiennent que ceci arrive parce que qui il suit ce chemin il sera apte à effectuer des choix très radicaux et il sera ensuite objet de persécutions comme toutes ceux qui suivent sérieusement Jésus dans leur vie quotidienne.

Car j'ai été pour beaucoup d'années à l'intérieur d'une communauté neocatecumenale, je m'apprête à écrire ces réflexions avec le désir d'offrir une petite contribution pour la compréhension de la personnalité psychologique qui se détermine en ceux qui adhèrent au "Chemin"; il m'a aussi poussé à ceci la lecture d'un livre du psychiatre américain Jerry Bergman intitulé "LES Témoins de Jéhovah et la santé mentale" (1996), en ayant relevé analogies fortes entre le "Chemin Neocatecumenale" et les "Témoins de Jéhovah."

Je crois opportun, avant d'exposer mes considérations clarifier le sens du terme "secte",: pour quelques-uns il semble venir du "secta" latin, participe passé du verbe "sequor", qu'il veut dire suivre; la secte, donc, serait un groupe qu'il suit une personne en particulier et les doctrines qui enseigne.

Autres soutiennent qui vient du "sectus" latin, qu'il veut dire "coupé": la secte serait donc un groupe qu'il s'est détaché d'une agrégation majoritaire.

Quelconque en soit l'étymologie correcte, aujourd'hui le terme secte a vivement assumé un sens négatif, surtout de fermeture mentale et partecipativa vers l'extérieur, vers c'est-à-dire ceux qui n'appartiennent pas à elle et ils en ne partagent pas les actions et les idées.

La place limité à ma disposition m'empêche de traiter approfonditamente, au moins pour le moment, de la typologie du sectaire et ensuite aussi de souligner si le neocatecumenale rentre dans cette illustration, mais j'espère que mon exposition puisse offrir quelques valide j'épointe de réflexion.

Le problème du conditionnement psychologique à l'intérieur des sectes est objet de débat entre les spécialistes; selon Frank (1974) les procès mentaux qui poussent une personne à entrer dans une secte sont semblables à ceux-là utilisés dans la psychothérapie, où il se détermine un rapport rassurant entre psychothérapeute et patient: dans l'organisation sectaire l'adepte se sent mieux et il affronte les problèmes de la vie avec avec plus sérénités et sûreté les autres, frères de communauté, catéchistes, qu'ils deviennent souvent la projection inconsciente des illustrations rassurantes genitoriali.

Les organisations sectaires sont, depuis toujours vous accusez de pratiquer celui-là, qui communément "lavage" nommé du cerveau vient, mais on préfère utiliser le terme actuellement "il réforme de la pensée frappée par Lifton (1961).

La personne qui entre faire partie d'une organisation modification sectaire le propre comportement; ceci arrive de manière si mince qui presque jamais le sujet a perception en, contrairement à qui lui reste voisin qu'il remarque les changements, aussi radicaux, de ce que "conversion" nommée vient, mais il s'agit de vraie conversion?).

Maintenant, pour celui qui ne connaît pas le "Chemin Neocatecumenale" faire une brève synthèse il est nécessaire de ce qu'il arrive, à la personne qui le suit, dans l'arc de beaucoup d'ans, 20 et aussi plus, selon le "esprit de conversion" de l'individu,: à la fin du Chemin, qui l'aura parcouru il pourra affirmer d'avoir compris ce que c'est le baptême, ou, il aura mieux encore riscoperto le.

Très souvent qui entre dans le Chemin il est parent ou ami de quelqu'un qui y est entré en priorité et il en parle avec enthousiasme jusqu'à la la pédanterie, poussé par un besoin "missionnaire" d'avoir autres frères qu'ils partagent avec lui les "merveilles" du Chemin.

Qui décide de prendre contact avec le mouvement il doit participer aux quinze catechesi, qu'ils se tiennent en paroisse d'une façon générale avec cadence bihebdomadaire, et à la fin de qui sera tenu à participer à une "vie en commun" qu'il se tient depuis le soir du vendredi le dimanche après-midi, quand il se formera la communauté.

La vie en commun est une en grandissant d'émotions et nouveauté que, spécialement pour celui qui est loin de la foi, il déclenche un mécanisme d'implication beaucoup de fort et incisive, qu'il reporte en surface ce besoin de Sacré et de sens de la vie qui sont présents que chaque homme et que, ils font la chance des organisations sectaires malheureusement.

La vie en commun commence avec un rite ce "lucarne" très suggestive: on reste à l'obscurité pour quelques minutes, après de que le presbitero entre avec le cierge pascal allumé qu'il déchire ces ténèbres angoscianti; le samedi, après un long catechesi sur comme les Juifs ils préparaient le pasqua et puis comme telle préparation ait introduit le pasqua chrétien, il se tient la célébration eucaristica selon les modalités neocatecumenali de la célébration du samedi soir: un autel orné de fleurs, au milieu de l'église, avec autour les frères de la nouvelle communauté et les catéchistes, ces derniers, évidemment, seulement pendant les vies en commun.

Pendant la prière des fidèles quiconque peut prier librement, à la haute voix, selon ses intentions, et aussi premier de l'homélie du presbitero quiconque peut "rendre tu participes les frères de ce que le Seigneur il lui a communiqué dans ces lectures, et comme à travers le Chemin il a changé sa vie"; ces confidences sont un élément très important du chemin, en tout ce qu'à travers d'elles date une interprétation existentielle de la propre vie les vient à la lumière de ce qu'il lit dans les écritures et il prépare le neocatecumenale à ouvrir son coeur aux frères de communauté sur ceux qui sont les éléments, les faits, les épisodes le plus cachés et inavouables de sa vie.

Cette apparente libération devient une arme terrible cependant à la coupe double, parce que si d'une partie le "frère" se sent "libéré" et accepté parce que, comme les catéchistes répètent continuellement, "Dieu s'aime comme tu es", de l'autre savoir qui des laïques comme toi ils connaissent ta vie dans son pli caché, il crée un lien de dépendance ambiguë du moment que le laïque, en n'étant pas tenu au confessionnal secret comme le presbitero, porte, comme on peut imaginer aisément, aux commérages certainement pas édifiants.

La célébration neocatecumenale termine avec une danse finale, comparée à celle-là qui fit l'autour de l'arche de Dieu.

La vie de la communauté continue avec des rythmes bihebdomadaires, faits de préparations aux célébrations, célébration du Mot et célébration Eucaristica le samedi soir.

Arrivez-les ainsi au Premier Scrutin, d'une façon générale après deux ans, mais très il dépend du recettività des membres de la communauté à ce que les catéchistes ils enseignent. C'est la première expérience forte, en tout ce que c'est une étape dans lequel l'adepte commence à se dénuder dans le propre fond: en effet dans ce "passage" il y a un appel fort à "s'essayer dans les biens", c'est-à-dire à se détacher des choses auxquelles il s'est plus collé, comme, par exemple, l'argent: "on est invité en effet, des catéchistes, à donner quelque chose de personnel à qui il est particulièrement lié, pas nécessairement argent mais aussi précieux ou autre, à quelqu'un qui ne saura jamais le cadeau vient de qui.

Mais il y a un moment, dans ce rite, que parfois il assume formes dramatiques pour celui qui les vives: il est quand chaque "frère" doit dire qual c'est sa croix devant toute la communauté et aux catéchistes; c'est un moment d'émotions fortes parce qu'il a l'effet cathartique et libératoire de rendre croix publiques qu'ils s'avouent souvent entre les larmes et avec grande résistance intérieure. Nombreux dans cette occasion ils mentent parce qu'ils ont honte: c'est le pas fort premier du Chemin et nombreux ce sont les abandon. Mais les catéchistes rassurent qui reste: "pas tous ont été invités à être sel et lumière, le Seigneur t'a invité."

Vous vient ainsi créer un Moi plus fort apparemment, une identité de sauvé un po' spécial, de nommé à une mission dans l'Église qui pas à tous elle est donnée: il commence à être descendue, subtilement, une camisole de force qu'il lie toujours de plus, spécialement les gens avec un Moi faible et peu structuré que, après quelques ans, ils ne réussiront pas à trouver dehors dehors rien du Chemin et personne des "frères" de communauté.

Après un an du Premier Scrutin, affrontez-les en général le "Shemà", Ascolta Israël dans lequel il se renforce la nécessité du signe, c'est-à-dire le se priver dans les biens.

Mais le vrai virage arrive dans le Second Scrutin, quand l'adepte neocatecumenale devra prendre décisions sérieuses et lourdes pour la propre vie, en tout ce que nommée à être sel et lumière; il se renforce toujours de plus la conviction qui seulement dans le Chemin il y a salut, pendant que dehors de lui il est de l'Église dehors. Les catéchistes répètent souvent à ceux qui sont tentés d'abandonner le Chemin "dehors du Chemin tu seras dans la mort parce que celle-ci est la rue qui a choisi pour toi."

Idées semblables viennent répétées aussi en autres occasions et pour autres motifs; à la page 20 des "Orientations aux equipes de catéchistes pour le second scrutin baptismal", un des textes" "sacrés du Chemin Neocatecumenale, Kiko Arguello affirme: J'ai vu un curé qu'il nous a fait la guerre pour toute la vie et qu'il nous haïssait. Il a suffi un moment, un tachicardia un po fort une nuit parce que cet homme reprît sa vie sérieusement, il est changé complètement." Ensuite, pour le M. Arguello ce curé a eu un tachicardia providentiel pour accepter le Chemin!

D'exemples ainsi, entre les frères de communauté, ils en se racontent beaucoup, spécialement de la part des catéchistes qui induisent ainsi toujours de plus les gens à voir ce Chemin comme le seul ou perlomeno le meilleur que l'Église je puisse offrir.

Caractéristique de ce second scrutin est le renoncement aux "idoles" soi-disant et, une fois que la communauté a dépassé cette phase, il y a la demande de la dîme des propres gains, à verser, comme il se fait toujours à l'occasion des collectes entre les N. C., dans un sac que, pour mépris, il vient défini des ordures, quel symbole négatif de l'argent.

Le Chemin continue avec "l'initiation à la prière" dans lequel l'adepte, après catechesi opportun découvre ou il redécouvre la beauté de l'oraison et il commence à prier avec la liturgie des heures; les couples qui "marchent le font ensemble en structurant de plus en plus l'adhésion à la communauté avec les fils qui comme "idoles" peuvent être considérées, comme les catéchistes enseignent, le soir ils peuvent être laissés à la maison, assiste-toi par baby sitter ou grands-parents ou autres si les parents, dans un mouvement de pitié, ils leur épargnent la prolixité des célébrations!

Autres passages sont le Redditio dans lequel le Credo et le Traditio il est remis, finie qui raconte toute sa vie, souvent avec les particuliers les plus inopportuns, pour dire combien le Chemin a changé sa vie, et il récite ensuite le Credo.

Le Chemin termine avec "l'élection", il se découvre où ou il redécouvre le baptême.

La brièveté de la place m'a imposé de synthétiser en d'une façon voyante manière lacunaire le serpenter du Chemin, mais je voudrais offrir quelques considérations de toute façon.

Le long du Chemin il y a un contrôle mince et imperceptible de ce que l'individu il fait en le fréquenter la communauté; au début, en effet, on demande un bref engagement relativement: on doit participer aux deux célébrations hebdomadaires et à leur préparation, quand il est nécessaire.

La personne achète ainsi, pian plat, un langage, une manière de faire de plus en plus entonnée à l'esprit du Chemin; toute sa vie change dans le Chemin qui est la seule chose qu'il l'assouvit.

Les renseignements viennent tenues cachées; les textes dont les catéchistes se servent ne sont pas publiés; à un curé premier fut nié qu'il y eût des textes de référence, puis il fut dit: "Mais aussi tu dois convertis, tu n'es pas joint encore à cette phase du chemin!"

À travers l'engagement dans le Chemin qui comme les catéchistes confirment "il est temps donné à Dieu", la personne est aidée à ne pas penser, quand manifeste ses doutes et perplexité à quelque "frère", ou encore de plus aux catéchistes, il est dit qu'il est Satan à vouloir l'éloigner de Dieu; le plus souvent, quand ils les ont tentations de ce genre on vient invités à en parler aux catéchistes.

Ces derniers deviennent, peu à peu, les patrons de la vie. Les péchés du passé sont utilisés pour conditionner, ou moins bien, dénigrer la personne. Après beaucoup d'années on a une conviction profonde: les catéchistes ne se trompent jamais!

Mais un des éléments les plus graves est le contrôle des émotions de la personne à travers le sens de faute et la peur. Dans le premier catechesi, en parlant de la vasque baptismale dans lequel on doit descendre pour faire face à nos péchés, comme les catéchistes enseignent, un d'eux dit: "vous devez descendre dans l'égout pour puis renaître avec Christ", et un autre catéchiste dit: "la communauté commence à grandir quand vous vous disputez et vous sortez la pourriture qui avez dans vous." Tout ceci est très différent de ce metanoia, conversion, qu'il enseigne l'Église qui nous rappelles avant tout que nous avons été sauvés par l'amour de Dieu et il nous fait entendre aussi la joie de Sa miséricorde au milieu de nos misères.

Mais la culpabilisation qui est bien différent du se reconnaître pécheurs humblement est une des demi les plus importants pour contrôler les émotions et les sentiments des gens. L'humilité interprétée mal peut mener au renoncement à si mêmes comme élément alienante, en construisant ainsi personnalité qu'ils tendent à un idéal tellement haut qui se sentent colpevolizzate si ils ne réussissent pas à l'atteindre.

Aux membres des communautés il est inculqué qu'ils font partie d'une élite privilégiée dans l'Église, destinés à porter le salut dans le propre milieu de travail, en famille ou vraiment en terres de mission, comme dans le cas des "catéchistes itinérants."

Comme écrit se sent déjà souvent des catéchistes phrases type: "Vous le Seigneur a choisi et invité et pas autres"; phrases semblables portent croire avoir eu une "élection spéciale" en gratifiant inconsciemment le vraiment Je frustré.

Autre élément caractéristique du N. C. est le zèle avec qui ce que se fait ils disent les catéchistes, et surtout le fondateur du Chemin: en effet dans les communautés les célébrations se font pas en église mais dans une salle, l'autel doit être une table, le patena, le calice, la croix, le pupitre et quant'altro il doit être griffé "Kiko" rigoureusement! Tout ceci a du maniaque! Dans une paroisse pas neocatecumenale la mariée a exigé que tout fût célébré dans le style "inspiré" au Kiko, avec croix, autel, calice, patena, chants etc.

Qui pour ans il a habitué à ce style le propre rapport avec Dieu, il réussit difficilement puis à lui en détacher et à vivre toujours la propre foi dans l'Église mais de manière différente! Créez-les une dépendance psychologique qui porte les gens à se contrôler réciproquement et au demonizzare ceux tout, aussi évêques et presbytères, que ne pas le chemin. Un catéchiste dit "il EST bien que nous avons évêques et prêtres contraires, parce que cela renforce notre chemin, c'est le signe qui sommes sur la rue juste."

Beaucoup de neocatecumenali semblent avoir perdu ces capacités logique-critiques qui rendent le vrai chrétien un qui, comme il dit l'écriture, il rend raison de sa foi! Sois vrai que nombreux ils critiquent le Chemin, mais puis ils n'ont pas le courage de le laisser parce qu'ils l'identifient avec l'Église; ils ne savent pas peut-être, ou ils ne veulent pas savoir, que l'Église est une place bien plus ample et libre de celui-là qui propose du Kiko et ses catéchistes! Créez-les à l'intérieur des communautés un effet euphorisant et autogratificatorio qu'il atteint son apogée dans la veillée pascale qui célébre pour toute la nuit, et dans lequel sont administrés les baptêmes des enfants qui, en grandissant, ils subissent dans le temps tour à tour ce type de formation religieuse très discutable.

À propos des enfants nous écrivions avant que les neocatecumenali sont très prolifiques d'une façon générale parce qu'ils seraient ouverts à la vie, mais car les fils ne doivent pas être idoles ils sont laissés jusqu'à la nuit tardive aussi en nourrice de grands-parents et baby-sitter, parce que Dieu vient avant tout, et Dieu vient ils identifient avec le Chemin. Quand dans le second scrutin il est demandé de jeter l'idole de notre vie, je ne sais pas si quelques neocatecumenale j'aie jamais soupçonné que peut-être pour quelqu'un l'idole pourrait être le Chemin même!

Beaucoup oublient qui doit être un demi pour arriver à Dieu et pas le but.

En voulant fermer ces réflexions, nécessairement synthétiques, sur le Chemin je voudrais synthétiser que:

1. L'autorité de Kiko et de ses catéchistes il est dominant; une phrase dite par un catéchiste à un curé est significative: "aussi les prêtres les doivent mettre en chemin pour se convertir! ";

2. Les adeptes croient d'être des personnes sélectionnées à devenir sel et lumière pour l'Église et pour le monde;

3. Aux membres du Chemin un salut est promis qu'il vient de l'accepter le Chemin comme demi si pas unique certainement privilégié de la propre vie. Une phrase dicte souvent des catéchistes il est: "Si vous faites ce chemin vous aurez l'esprit de Jésus Christ, nous entendons qu'il a été vrai dans notre vie";

4. La communauté exerce une pression forte sur les membres qui sont soumis à une discipline de fer en combien le chemin, comme les catéchistes disent, tu te portes faire un radicale choisi dans ta vie";

5. Porte à une attitude d'isolement de qui ne partage pas ce choix, aussi chrétiens qu'ils font partie de l'Église, en servant en autres mouvements catholiques, ou aussi les catholiques très méprisés de la messe du dimanche entre lesquels j'ai personnellement vu beaucoup de gens plus riches de miséricorde de beaucoup de neocatecumenali!;

6. Les disciples de Kiko visent à l'activité missionnaire aussi avec des nombreuses familles;

7. Après le second scrutin ils versent un dixième de leurs gains mensuels, mais il y a aussi collectes pour autres buts! Il ne nous résulte pas être un bilan de tout ceci, les catéchistes ils justifient celui-ci avec l'enseignement évangélique "je ne sache pas ta droite ce qu'il fait la gauche." Mais est-ce que je me demande alors pourquoi alors l'Église exige non sans raison qu'en chaque paroisse il y aie un conseil pour les affaires économiques qui rendent transparents et si aussi de tous les organismes ecclésiaux?;

8. Le N. C. assume, souvent sans lui en rendre compte, un langage, un argot spécial qui le marque;

9. Le neocatecumenale réagit de manière particulièrement violente d'une façon générale, quand on critique le Chemin, il tâche d'exécuter du sujet ou, espèce dans le cas des catéchistes assume un langage dialectique signe du meilleur sofista. Il me frappa quand une personne du chemin, devant à un homme qu'il disait de ne pas croire, il porta avec calme son témoignage de vie, aussi quand ceux-ci il critiquait le pape et les évêques vulgairement, mais il commença à se fâcher dans le moment dans lequel l'homme critiqua le Chemin. Autre qui aimer l'ennemi dans la dimension de la croix!;

10. Les neocatecumenali se sentent souvent persécutés, et demonizzano, comme écrit avant, ceux qui le font, aussi ceux qui devraient considérer frères en Christ. Demonizzare qui comme eux ne la pensent pas il est typique de sept heures qu'ils ont besoin de les créer un extérieur ennemi sur lequel reverser les propres angoisses et peurs.

Croissance dans la foi est croissance dans l'amour, ne pas faire soit aussi pour beaucoup d'années des choses, préparer et célébrer, faire des passages ou autre. La duperie qui est en beaucoup de N. C. est croire qu'en "faisant" des choses pour ans se convertisse y, mais il devrait être d'avertissement celui-là qui publia en 1986 de la part du Secrétariat pour l'union des chrétiens du titre "Le phénomène de sept heures ou nouveau mouvement religieux: Il défie pastoral" la page 3 "Un esprit du genre, on est en train de parler de l'intolérance de sept heures, il peut les relever dans les groupes d'appartenenti fidèles aux églises ou aux communautés ecclésiales."

À ce point ils se posent quelques questions qu'ils n'ont pas trouvé de réponse. Pourquoi les textes de Kiko sont secrets si rigoureusement? Pourquoi les neocatecumenali ne rendent pas publics leurs entrées? Ils ont jamais pensé que les espèces critiques ils soient doctrinaux que méthodologiques, est-ce qu'elles pourraient être dictées par l'amour pour la vérité et pas de diables persécuteurs qu'ils nous l'ont avec eux? Est-ce qu'ils ont jamais réfléchi, voit la familiarité qui ont avec le Mot, sur ce verset d'Osea qu'il dit "Miséricorde je veux pas sacrifices?" , Os 6,6.

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