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Du "IL MESSAGER" de ROME, pag. 11, "au-delà de la porte", le 29 juin 1998, à la signature de Giampaolo Jorio,

Une autre revient il tourne et tu présentes un texte avec des changements radicaux. Il a ainsi été dit au quêteur des membres de la commission spéciale interdicasteriale, qu'à peine avaient rejeté l'ébauche de statut avec qui il se demandait à la Sainte Siège la reconnaissance juridique du mouvement. Et il a probablement été vraiment pour celui-ci qui le protocatecumeno Kiko Arguelo avait la dent empoisonnée quand, samedi après-midi 30 mai, il s'est face à face trouvé avec Giovanni Paolo II, sur le parvis de la basilique vaticana dans la journée du grand rassemblement movimentista. Et resté là qu'il a sferrato son attaque puissante à l'institution paroissiale, il que c'est le fondateur des neocatecumenali qui maintenant sont dizaines de milliers dans le monde entier. Mais oui, parce que le groupe fondé en Espagne du guitariste ancien Kiko et de Carmen, sa soeur dans la foi mène une vie séparée par le reste de la communauté paroissiale, avec de la propre moisson, rites et retraits "off limits" pour les n'élus pas et cela plaît point aux évêques.

Devant le Pape, Kiko avait mis le point obscur de rhétorique classique qui autres il n'est pas qu'une accusation: "Où, dans les paroisses, est-ce qu'il se trouve cette taille de foi qu'on puisse faire sacrement? Où cet amour reste à l'ennemi rendu visible, est-ce que comme Christ nous a ordonné, quand nous étions ennemis"?. Langage hermétique pour les plusieurs, moins pour les initiés. Il se parle depuis temps d'un document vaticano que je puisse faire à guide, après l'approbation, pour nombreux hâtive, des nouvelles réalités religieuses et trouver une solution que d'un côté, tu laisses en vie ces mouvements, de l'autre je les rende organiques à la vie des paroisses.

Et vrai que l'Esprit Saint souffle où il veut, mais quelquefois - on pourrait dire - il semble que tu souffles bien au-delà de sa volonté. Ratzinger, aussi avec les précautions dûes, "il les a bénis, le Pape attend encore, même s'il n'a pas jusqu'à présent manqué en incitations publiques. Mais il y a toujours un problème de fond irrisolto et qu'il préoccupe la hiérarchie: si on ne peut pas nier, à la base, une recherche authentique de foi, plus on monte dans l'escalier de commandement de certains mouvements et on a plus l'impression qui soient différentes.

Il y a qui est engagé à grandir en le pouvoir personnel ou de groupe, en chevauchant diplomaties parallèles et en construisant ponts vers les autres confessionnaux choisis et qui cherche une propre autonomie pour ne pas tomber sous le contrôle légitime de l'épiscopat. Et alors ces motivations postconciliari pour quelqu'un, aussi au Vatican, aujourd'hui ils se transforment en réalité presque à la limite de l'hérésie. Et nous il déjà est qui regarde en arrière, à ces choix de privilégier mouvements et nouvelles communautés ecclésiales au détriment d'associations catholiques le plus solides et fiables. Peut-être une faute à qui, il n'est pas plus aujourd'hui possible de mettre remède, aussi parce qu'il semble clair de plus en plus que pour certain sommets movimentisti l'unité de l'Église ne se réalise plus à la base comme communauté du peuple de Dieu, mais comme unité de sommet, à travers une fédération de "presque sept" qu'ils ont, comme seul adhésif, le pouvoir, et les propres adeptes contrôlent rigidement. Et leurs têtes ambitionnent gérer les rapports directement avec le Pape naturellement, ou avec qui à lui il est plus près, en éliminant ainsi le désagrément je filtre des autres successeurs des Apôtres. Le tout à travers l'usage manipulé de l'obéissance, dûe essentiellement aux propres supérieurs et, donc, pas plus aux sacramentellement bergers constitués en hiérarchie et avec Pietro uni.