Lettre ouverte aux frères Neocatecumenali.

Rome, le 26 avril 2000

Je suis à peine sorti d'une Paroisse de Rome où l'enterrement d'un prêtre saint a été célébré que le Seigneur a appelé à soi vraiment le jour de Pâques. Entre les choses nombreuseses et très belles que j'ai écouté sur l'illustration de cet homme de Dieu, il m'a frappé le témoignage de beaucoup d'âmes qu'ils ont rappelé la longueur et apostolat vaste des aveux qui il, espèce dans les derniers 12 ans de la maladie qui l'aurait lentement porté et douloureusement à la mort, il avait exercé pour longues heures, presque quotidiennement, sans se ménager jamais, aussi en pouvant alléguer comme excuse, le s'aggraver continu du sien mal qu'il lui empêchait aussi souvent de marcher.

Il allait toujours à chaque appel qui lui venait un po' de chaque partie, parce qu'il croyait profondément à la valeur du Sacrement de la Réconciliation. Il savait que les âmes avaient besoin en, ils le désiraient, ils l'attendaient.

À travers ce Sacrement beaucoup de d'elles ont retrouvé la paix, la joie d'une réconciliation profonde de plus en plus avec le Seigneur. Ils ont trouvé la force pour lutter non seulement contre les mauvaises tendances, mais aussi contre ces imperfections que nous ne considérons pas, mais que les saints tâchent d'éliminer avec toutes leurs forces pour atteindre cette pureté indispensable nécessaire pour un grand degré d'intimité avec le Seigneur.

Et quand, après heures de confessionnal, il revenait à la maison je fatigue, presque sans souffle, il trouvait encore la force d'appeler le confrère qui lui avait exprimé le désir de s'avouer de!

Seulement le prêtre qui a presque cinglé avec main les miracles qui arrivent dans le Sacrement de la Réconciliation peuvent dire combien de joie inonde son coeur quand à la fin d'une journée passée en confessionnal, souvent étroit et étroit, avec peu d'air, dans le froid ou dans la chaleur étouffante, il peut fermer les yeux avec la vision de beaucoup d'âmes qu'elles sont passées à ses pieds ou sur qui se sont étendus pour leur répandre sur le Sang purificante du Christ crucifix.

Seulement qui a fait l'expérience des sanglots et des larmes de beaucoup de prodiges que, après ans de péchés, ils sont revenus à la maison du Père, il peut comprendre la joie de ces retours dont le prêtre, pour le pouvoir dont il a été renversé avec le Sacrement de l'ordre, ce a été le demi dont le Seigneur s'est servi.

Seulement qui a fait l'expérience du confessionnal il peut essayer la joie d'avoir devant âmes qu'ils s'allument d'enthousiasme pour l'avènement du Royaume de Dieu et ils deviennent capables de laisser tout pour le suivre avec joie où Il daignera de leur envoyer.

Seulement qui a fait cette expérience il avertit sa petitesse et grandeur ensemble, en le voir comme Dieu il se sert de lui pour aider les âmes à se quitter modeler de leur Seigneur.

Seulement qui a cette expérience il comprend la fatigue et l'humiliation du prodigue, qu'aussi en confiant encore dans l'amour du Père, il a peur de revenir chez lui, parce que déchiré, sale, affamé, seul désireux de sortir de l'enfer des glands et des cochons dans lesquels il avait gaspillé beaucoup de bien paternel et beaucoup de partie de sa vie.

Seulement qui a l'expérience du confessionnal, il sait s'approcher avec tendresse paternelle aux petits, dans leurs premières rencontres avec du Jésus, aux jeunes dans les heures terribles de la preuve; à ceux qui cherchent de mieux connaître la volonté de Dieu dans le moment du doute; aux prostituées, aux assassins qui tâchent de laver beaucoup de sang innocent piétiné dans le larmes ou profané.

Qui n'a pas fait cette expérience il ne pourra pas parler jamais avec de la profondeur et avec onction de ce Sacrement de miséricorde, de cette table splendide de salut, la seconde, après le Baptême, offerte par l'amour miséricordieux de Dieu à qui il est tombé de nouveau dans la mer du péché.

Les plus grands saints de notre temps ne sont pas ceux qui ont fait constructions grandioses ou fondé organisations, mouvements, associations de millions de gens. Ils sont prêtre humbles ou religieux, comme P. Pieux et nombreux autres, qu'ils ont passé journées entières en confessionnal, à accueillir étrangers de chaque partie du monde, en transformant ainsi ce confessionnel dans une chaire, plus célèbre que ce de beaucoup de Cathédrales. Âmes innombrables ont trouvé là la lumière et la force pour commencer une nouvelle vie celle des fils de Dieu.

Aujourd'hui, dans l'Église catholique, il y a quelqu'un qui veut détruire tout ceci!

En n'ayant rien compris du mystère de grâce et de joie contenue dans ce Sacrement, il propose de le réduire à "un teatrino" de gestes, de manières, de rites lequel on cherche de donner un sens spirituel. Il est en train de naître ainsi, en certaines paroisses, une manière de s'avouer dans laquelle il disparaît du tout ce sens de recueillement mystérieux que le pénitent trouvait dans le confessionnal, aujourd'hui aussi si un po modifié dans sa forme extérieure. La possibilité d'une rencontre disparaît ainsi qu'il sort du schéma d'un acte bureaucratique pour devenir une rencontre entre père et fils. La possibilité disparaît de pouvoir verser les propres larmes, de douleur et de joie, parce que l'endroit de ton aveu est là, à la présence de tous, pendant qu'un gronder assourdissant de guitare et de sons, il empêche un entretien serein.

Il disparaît le moment ineffable d'un mot doux, rassenerante, qu'il descend éclairer, à calmer, à rassurer, à se rassurer beaucoup de desiderata. Aussi parce que, il se déclare, le prêtre ne doit pas parler à ce moment-là. Il faudra réciter une formule seulement sur un pénitent qu'au lieu d'ouvrir son âme il faudra dire seulement: Père est un pécheur!

Il se perd ainsi la possibilité d'accomplir vers le pénitent un geste semblable à celui-là qui a certainement fait au prodigue dans le moment de son retour. La possibilité d'une caresse disparaît à l'enfant, d'une poignée de main à un jeune, d'un sourire d'encouragement à une fille, d'une embrassade, parfois nécessaire, pour celui qui a besoin d'entendre, aussi sensiblement, d'être revenu entre les bras et dans le coeur du père.

Au tout ceci portera, comme porte déjà, la "Pénitentiel" ou le Sacrement de l'Aveu voulus par le Chemin neocatecumenale.

À ce point je me permets de dire à mes confrères prêtres: ne pas comment il y aies laisser guider de certain directives qu'elles ne sont pas venues de l'Église certainement, mais de qui n'a pas l'expérience du tourment et de la joie d'un prêtre qu'il est appelé par Christ, et pas de la communauté, à pardonner les péchés des propres frères! Qui est jamais ce qui dit: ils te sont remis tes péchés." Merveille de qui il croit. Joie et tourment de qui il est appelé à représenter le Seigneur et à parler dans son Nom.

           

Chers frères neocatecumenali rappelle autant qu'écriteau l'Église sur ce sujet.

Les fidèles n'ont pas besoin de certains enseignements, ni ils suffisent les rites qui vous proposez, pour se réconcilier avec Dieu.

Vous rappelez les milliers de confesseurs saints, vrais haut-parleur de l'Esprit qui ont reçu dans le jour splendide de leur commande sacerdotale-pas à la communauté-le pouvoir d'ouvrir et fermer les portes du ciel. À eux, comme aux Apôtres, le soir de Pâques, il a été dit: "Vous allez, à qui vous remettrez les péchés ils seront remis pendant qu'à qui vous ne les remettrez pas, ils ne seront pas remis."

Cela a été dit aux prêtres dans le jour dans lequel il leur fut conféré cette prêtrise ministérielle à qui vous ne croyez plus. Et il est pour ce Sacrement qu'ils deviennent les collaborateurs du salut de beaucoup d'âmes. En leurs mains consacrées par le sacré Chrême, Jésus a mis Son Sang fort pour le salut de tous.

Aux confrères prêtres je voudrais dire en concluant,: vous imitez notre S. Père, le Pape qui, même si vieux, malade, tous les ans, il descend avouer en S. Pietro, pour stimuler ainsi, tous les prêtres du monde, à devenir les administrateurs du pardon divin.

Après les considérations depuis exposées ici concernant le sacrement de la Réconciliation, je me sois permis ajouter encore celles concernant le mystère splendide, centre de notre foi et pour nous prêtres, le cadeau le plus grand que nous avons de Dieu reçu pour notre bien et de toute l'Église,: Le Saint Sacrifice de la "Messe."

Aussi sur ce point-je lui dis avec souffrance profonde-les fondateurs du Chemin neocatecumenale donnent l'impression de ne pas avoir rien compris, ou presque, de la richesse insondable de ce mystère, que depuis 2000 ans c'est le centre et la source de la vie de l'Église.

Même si dans les catechesi du Chemin, il se consacre une explication du mot "mémorial" clé, l'interprétation est errée quand on affirme que:

· la "Messe est sacrement du passage de Jésus Christ de la mort à la Résurrection", Or pag. 305,;

· la Messe a été voulue par Jésus Christ "comme son mémorial", Or pag. 317,;

· le "mémorial qui laisse y c'est son Esprit ressuscité par la mort", Or pag. 326,;

· "les idées de sacrifice, mais entendu en sens païen, elles ont été introduites, pas de Jésus même dans le jour de l'institution de l'eucharistie, mais entre l'IV et VII siècle, sous l'influence des peuples païens qui alors entraient dans l'Église", Or pag. 322.

Nous avertissons une souffrance profonde quand nous entendons, dans leur catechesi, nier à la Messe la valeur de "Sacrifice." Ainsi au pag. 321 d'Or. Il se déclare: "Dans l'Eucharistie tu n'offres rien… et l'idée d'offre est liée à une mentalité païenne."

Avec ces mots manifestés, chers frères, de ne pas avoir compris quel soit l'essence du sacrifice. Le maximalisme qui reste à la base de votre culture biblique vous empêche de connaître le sens vrai du message contenu dans le Mot de Dieu. Pour ce vous ne comprenez pas pourquoi Jésus soit arrivé donner sa vie sur la croix, comme il apparaît des expressions épouvantables du pag. 333 d'Orientations: "Peut-être que Dieu a besoin du Sang de son Fils, de son sacrifice pour s'apaiser? Mais que race de Dieu nous avons fait? Nous sommes arrivés penser que Dieu apaisait sa colère dans le sacrifice de Son Fils à la manière des dieux païens. Pour celui-ci les athées disaient: que type de Dieu il sera ce qui reverse sa colère contre son Fils sur la croix? … Et qui pouvait répondre?"

Avec ces affirmations montrer de refuser combien de le même Jésus a dit le soir de Pâques aux deux d'Emmaus "sots et tard de coeur en la croyance au mot des prophètes. Il ne fallait pas que le Christ supportât ces souffrances pour entrer dans sa gloire?", Lc 24,25, et ce qui répétait à Onze heures dans le cénacle: Écrit reste "ainsi: le Christ devra souffrir et ressuscité par les morts le troisième jour", Lc 24,46.

Les mots de vos catechesi montrent que le sens de la mort de Christ n'a pas non seulement été compris sur la croix, mais aussi que vous n'avez pas compris les exigences de l'amour.

Cette incapacité vient peut-être, espèce pour celui qui les a prononcés pour premier, du manque d'une expérience personnelle d'un vrai amour humain, comme il eut à s'exprimer une mère de famille après avoir lu ces expressions il s'exclama: mais celles-ci sont les phrases d'une personne célibataire, complessata et qu'il a jamais connu le vrai amour!

Il aurait suffi de rappeler la loi de l'amour, contenu dans les mots de Jésus: "Personne n'a un amour plus grand de celui-ci: donner la vie pour les propres amis", Gv 15,13.

Jésus avec sa mort de croix le modèle de beaucoup de parents devient que pour amour des fils ils sont capables, comme les martyrs de la foi, de donner avec joie la vie pour le bien de ceux-là qui aiment.

Le manque de cette expérience existentielle qui avertit dans vos catechesi rend logique la conclusion qui puis plats aussi sur l'étage de la foi. La mort de Christ, vous dites, ce n'est pas un sacrifice. Après cette affirmation il est logique de conclure qu'aussi la Messe n'est pas un sacrifice! , Or pag. 322.

Avec ce catechesi, chers frères, vous détruisez le coeur de la foi de l'Église, le S. Messe qui en réduit seulement à une célébration conviviale en qui, qui croit il reçoit, en les communiquant, le Corps de Christ, pendant que qui il ne croit pas il participe à un dîner de fraternité qu'il sert à renforcer les amitiés entre les participants.

Mais il ne suffit pas! De combien de vous dites, la présence réelle de Christ n'existe plus dans l'eucharistie. Si vous ne croyez pas que ceci arrive pour les mots de la consécration qui opèrent la "transsubstantiation du pain et du vin dans le Corps et dans le Sang de Christ, qui le rend présent dans l'eucharistie? Peut-être vous, avec votre présence à la célébration? , cfr Or pag. 317. Vous montrez de ne pas croire à cette présence finie certainement la célébration de la Messe. Déjà pendant sa célébration ne s'agenouillée jamais à la consécration, et puis finie la Messe, vous faites le même devant à un Tabernacle. Et alors les Temples catholiques deviennent pas plus l'endroits de rassemblement d'une assemblée orante devant le Seigneur, dessous présent les espèces consacrées mais l'endroit d'un rassemblement, plein de bruits, de sons, de guitares, de danses justifiées avec l'adjectif "davidiche!"

Aie raison les oriental quand ils disent que nous européens nous savons parler de Dieu, mais nous ne savons plus l'adorer!

Quand les idées qui répandez dans vos catechesi deviendront, comme vous espérez, patrimoine commun des catholiques, nos Églises, construites avec les sacrifices et les larmes de beaucoup de pauvres au cours de l'histoire, ils deviendront l'endroit dans lequel ils n'entreront plus pour "regarder à Lui, Jésus, et pour se faire se méfier de", comme le petit vieux d'Ars disait, au Saint Curé.

Ce ne seront plus l'endroit où le ciel s'unit à la terre.

Beaucoup d'Associations disparaîtront née pour honorer l'eucharistie. La présence touchante d'âmes innombrables disparaîtra, vous consacrez et pas, que pour heures ou pour jours entiers ils s'arrêtent à adorer Jésus eucharistie solennellement exposée, parce qu'ils croient en Lui fermement il pressent dans l'hostie consacrée, pendant que pour vous il vaudrait mieux que dans l'ostensorio il y eût une pierre qu'il ne va pas à mal, comme il arrive par contre pour le pain qui se corrompt, Or pag. 329.

Si les églises sont réduites comme vous rêvez, de qui iront demander la force de résister combien ils se sentent opprimé par le poids de la croix? À qui ils demanderont le réconfort pour essuyer les larmes qui marquent beaucoup d'heures de leur vie?

Il disparaîtra, si Christ n'est plus présent dans l'hostie, terminée la Messe, cet amour qu'il a poussé nombreux chrétiens humbles, à faire de nos Églises aussi ces chef-d'oeuvre d'art que le monde pas croyant il admire! Peut-être sans vouloir il se le prépare la rue déjà parcourue par le peuple premier de Dieu, qu'en ayant refusé Christ Seigneur, il a fini pour voir, à la place d'un Temple maintenant pour toujours détruit, élever-lui en un autre dédié à un Dieu fait à la mesure d'homme!

Détruit l'idée de sacrifice rédempteur, de qui viendra y le salut dont nous avons besoin? Vous répondez: seulement du Resurrezione de Christ, Or pag. 138, 140 et 322, "ce qui nous justifies n'est pas la mort mais le resurrezione."

Dans nos Églises il domine souvent un grand Crucifix qu'il rappelle aux hommes soit l'amour infini de Dieu je verse d'eux soit la gravité du péché pour la lequel rémission Il est mort sur la croix. Avec vos catechesi en train de détruire dans le peuple chrétien une dévotion fondamentale: celle-là à Jésus Crucifix. Et vous pour premier l'oublié, beaucoup qui ne célébrez pas le jour très saint du Vendredi saint. La mort de Jésus il vous intéresse peu. Vous célébrez par contre avec grand sollennità, aussi… arts culinaires, le Resurrezione du Seigneur.

À un Évêque qu'un jour demandait à une fillette parce que Jésus, malgré l'invitation de ses amis, il ne fût pas descendu par la croix, elle a répondu: "parce que si Jésus était descendu par la croix mon grand-père que depuis des années vives cloué à une voiture il n'aurait plus motif pour accepter sa croix et ce serait un désespéré."

Enlevé le Crucifix, chers frères neocatecumenali, qu'est-ce que vous offrirez aux nombreux souffrants de la terre? Seulement l'espoir du Resurrezione? Mais l'homme a besoin, aussi, de voir que Christ, le Divin Maître l'a précédé en tout, aussi dans la voie de la douleur plus injuste et atroce. Celui-ci vous ne lui dites pas parce que votre fondateur a dit et répété plusieurs fois que Jésus n'est pas venu pour nous donner l'exemple qui devons imiter cfr. Or pag. 125, 127; Shema pag. 59.

Alors dites nous, qui devons prendre comme modèle de vie!

Encore: qu'est-ce qu'il devient le S. Messe que vous niez être le ripresentazione du Sacrifice du Calvaire? Seulement un banquet conclu par une danse que vous "davidica" appelez?

Si vous niez la "transsubstantiation", pourquoi c'est un mot juridique, qui consacrera le pain et le vin, l'assemblée des présents à la célébration eucaristica ou les prêtres de lesquels cependant ne reconnaissez pas la prêtrise ministérielle distincte essentiellement du commun des fidèles, comme est-ce qu'il enseigne l'Église?

Tout cet enseignement fait se lever en nous une question angosciante: pourquoi, est-ce que beaucoup de prêtres pour lesquels est le centre de leur vie et la source de leur engagement apostolique croient pour bons les fautes qui avons à peine énuméré? Est-ce qu'il y a vraiment à se demander pourquoi beaucoup de fumée de satana comme Paolo VI l'appela, est-ce qu'il est entré dans l'Église de Dieu? Malgré celui-ci nous croyons au triomphe final de la vérité. Mais combien sang, combien larmes, combien de souffrances produiront les idées qui sont en train de répandre dans l'Église de notre temps. Il nous afflige le fait qui ont yeux et bouches fermé, pendant qu'ils devraient hurler, comme les chiens de garde du troupeau de Dieu dont les Prophètes parlent, Gre 25,34; Giol 1,13; Is 13,6.

Il vient à penser que leur silence soit motivé confiée par connaissance insuffisante des problèmes des pecorelle à leurs soins, ou de préoccupations semblables à celles-là qui au cours des siècles différents Bergers ont poussé se préoccuper plus de si mêmes que de leurs âmes confiées. Le prophète Isaia, 62,6 promettait, en nom de Dieu, "gardiens et sentinelles que pour tout le jour et toute la nuit ils ne se tairont jamais."

"Père saint, pour la passion douloureuse de Ton Fils, aie miséricorde de nous et du monde entier." Et l'invocation qui S. Faustina Kowalska, la première sainte du grand Jubilé de 2000 transmet au monde après lui avoir reçu du même Divin Maître.

Nous prions, en attendant avec confiance, l'heure de Dieu, prêts à donner, avec sa grâce, le témoignage de l'espoir auquel nous avons été appelés.

                                                                                  Don Gino COMPTE

, Or pour "Orientations aux equipes de catéchistes pour la phase de conversion"; Shema pour "Orientations aux équipes de catéchistes pour le Shema",


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