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MEDJUGORIE 102 - Novembre 1995 - 20101 Milan
Le Mouvement Neocatecumenale:
un volcan de fautes
de Pietro Forteresse
Le jugement donné par p. Enrico Zoffoli sur le Mouvement Neocatecumenale se fonde sur les Orientations aux Equipes de catéchistes pour la phase de conversion, notes prises eus par les rubans des rencontres de Kiko Arguello et Carmen Hernandez, fondateurs du Mouvement même, et publié par le Centre Neocatecumenale "Serviteur de Jahvè", p.
S. Sauveur en Champ, 00186 Rome, sous le titre "Publication par le Centre Neocatecumenale "Serviteur de Jahvè" en Saint Sauveur.
Ces distributions, transmises à cause réservée aux catéchistes, au crible de p.
Zoffoli, déjà professeur de philosophie dans la Pontificale Université Lateranense révèlent les fautes théologiques du Mouvement même.
En étant venu à connaissance du texte de Kiko et Carmen, nous ne pouvons pas que partager les évaluations de p.
Zoffoli. Vous peut dire, en brève, que dans la pensée de Kiko et Carmen fautes théologiques anciennes et nouvelles confluent dans un volcan tel de contradictions, qu'il n'est pas non seulement possible déduire une logique de vérité, mais non plus un système cohérent de fautes.
Aucun originalité mais répétition acritique d'aberrations théologiques anciennes et nouvelles sans quelques-uns référence à combien depuis toujours l'Écriture et le Magistero de l'Église ont professé et rejeté.
Riaffiora dans l'écrit la vieille faute luthérienne de l'ineluttabilità du péché, et d'un salut rendu seul possible par la foi dans la miséricorde de Dieu:
"L'homme ne peut pas faire le bien, parce qu'il s'est séparé de Dieu et il est resté radicalement impuissant et incapable, en nourrice des démons.
Le Méchant est son monsieur" p.
130s. "Il ne sert pas dire "Vous sacrifié, vogliatevi vous bien vous aimées".
Si un nous essaie, il se convertira en le plus grand pharisien" (136).
Dans la comparaison de Dieu on affirme que "L'homme ne peut pas voler la gloire à Dieu, parce qu'alors Dieu serait vulnérable et il ne serait pas Dieu", 182.
Est-ce qu'on y nie la valeur de la rédemption, soit dans le sens expiatoire ("Peut-être que Dieu a besoin du sang de son Fils, de son sacrifice pour s'apaiser?
Que race de Dieu nous en avons fait?": p. 333, soit dans son aspect exemplaire: "Christ n'est pas du tout un idéal de vie.
Jésus Christ n'est pas venu nous donner l'exemple...
Comment il aurait pu nous donner un idéal de vie tellement élevée, que personne ne peut atteindre?", p.
125s. D'autre partie s'impose la médiation de Christ en l'intercéder près du Père et l'efficacité salvatrice de la résurrection de Christ p.
143s.
Autres grappes de fautes partent de la négation de la valeur sacrificielle de la mort de Christ pour envahir l'entier ambitionné de l'eucharistie.
Le sens sacrificiel de la Messe, la présence réelle, la transsubstantiation et le culte sont niés eucaristico il est réduit au convivialità symbolique pur.
En éliminant la distinction entre prêtrise baptismale et prêtrise ministérielle, les prêtres d'ils se sont débarrassés malgré l'institution claire de Christ:
Notre prêtre est Christ, parce qu'il intercède pour nous. Et comme nous sommes son corps, nous sommes tous prêtre.
Toute l'Église est sacerdotale dans le sens qui intercède pour le monde" pp.
). La célébration eucaristica puise valeur de la communauté.
Au prêtre ministériel, le Mouvement Neocatecumenale remplace le "catéchiste", quel interprète sans appel de la pensée de Kiko et Carmen.
L'Église n'est pas ainsi plus le seul bergerie de Christ. "L'Église est là où c'est le nouvel homme du sermon de la montagne", donc il y a gens qu'elle n'est pas appelée à appartenir à l'Église" p.
78.
Éliminé l'idée d'Église hiérarchique, il s'étend le rôle de guide religieuse aux religions différentes, en ouvrant la voie à un oecuménisme humanitaire vague, près de la conception moderniste du "christianisme anonyme."
À la fin des temps le salut universel réunira bon et mauvais dans le troupeau unique de Dieu.
En continuant sur le sentier des abolitions, le sacrement de l'aveu vient identifié avec le baptême.
"L'Église primitive n'eut pas l'aveu comme nous l'avons nous", p.
164. Cependant le Mouvement sollicite l'aveu public communautaire.
Ce sont quelques affirmation clé, qu'ils nous donnent la mesure de la perte théologique de ce mouvement que malgré tout il trouve l'approbation et l'appui de bergers irresponsables.
La second partie du volume de p. Zoffoli documente, sur la base de beaucoup de témoignages, les aberrations des Neocatecumenali dans le cadre de la pratique, surtout en ce qu'il concerne la célébration de l'eucharistie.