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Sur sollicitation de beaucoup de personnes qu'ils ont ailleurs fait en demandé e-mail nous rendons disponible la copie fidèle (numération des pages) position des paragraphes et aussi les fautes d'orthographe tu présentes dans le texte original, des pages du texte "Orientations aux equipes des catéchistes pour la phase de conversion" qu'ils s'agissent de l'eucharistie, de page 315 à la page 335 bis.

Les parties en rouge sont celles-là prises en examen chez Don Gino COMPTES, en cliquant sur les symboles (*>) met des parties à gauche en rouge, il se déplace y sur le commentaire reporté dans le texte "UN SECRET DÉVOILÉ".

Les fautes évidentes qu'ils les relèvent ils touchent VÉRITÉ' DE FOI et ils impliquent les responsabilités du SILENCE en qui les Responsables s'étendent en le ne pas relever d'hérésies qu'ils minent les fondations de l'Église Catholique! Quels intérêts diaboliques ils bloquent le procès de révision et vérification de la vérité à la lumière du soleil?


[pag.] 315

PRANZO         aux 14,00

REPOS

SECOND PARTIE DU CATECHESI SUR L'EUCHARISTIE:
HISTOIRE DE L'EUCHARISTIE

(Carmen)

(*>)         Imaginées ce qui fut dans l'Église primitive l'Eucharistie, cette manifestation de Christ rené, cet Esprit manifesté aux hommes et communiqué, qu'il les fait participer de l'oeuvre de Jésus Christ ressuscitée par les morts.[<A>] Cet imaginé qui fut l'explosion des premières communautés chrétiennes dans l'Eucharistie.

        Bouyer dit que si nous allons aux sources pour découvrir la première Eucharistie, la première célébration Eucaristica trouve une vraie explosion qu'il est comme un arbre de vie. Celui qui va aux sources il trouve une vraie explosion que c'est un arbre luxuriant de vie.

        Il Eucharistie primitive, que c'est ce chemin Pasquale, un chemin ouvert par les Pâques de Jésus Christ, qu'il est comme une étoile, une lumière puissante qui se lève sur l'histoire est une explosion. Cette lumière se révèle dans l'Église comme un arbre comme une harmonie de mol­teplici formes.
        Le je chante aux Pâques de Jésus Christ, que c'est le centre de l'Eucharistie, l'anaphore, traduction grecque de notre canon romain se révèle dans une multiplicité de formes. Il dit Bouyer que qui il va aux sources il trouvera les Églises siriache, coptes etc. avec un grand fioritu­ra d'eucharistie. Mais ce que surprend il est l'unité et la congruence in­terna de toutes celles-ci floraisons tout elles sont unies par les Pâques. Chaque anaphore est la facette de la magnificence pascale profonde.

(*>)         Quello que je veux maintenant expliquer au vol d'oiseau il est comme l'Église primitive il vit l'eucharistie et comme au cours des siècles elle a été morcelée et recouverte, rhabillée jusqu'à le le point qui nous pas vedeva­mo en notre mis par aucun côté le resurreione de Jésus Christ.[<A>]

        Cerclé de voir ce qui succédé de l'eucharistie primitive au cours de l'histoire. Cet excursus servira y pour comprendre ce qui aujourd'hui arrive.

        Vous Église par la suite initiée primitive à Jerusalem s'étend à Antioche, Constantinople, Alexandrie et Rome. Celles-ci sont les cinq Églises plus antiche,i plus anciens patriarchi.Tutte ces Églises ils vivent avec grande vigueur et puissance le resurrezione de Jésus Cristo,il je


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stero chrétien et ils feront fleurir une grande variété d'eucharisties. Mais nous verrons aussi comme dans l'arc de tre—quattro siècles s'imposeront deux Églises, rupines et puissants comme ils sont celles de Constantinople et celle de Rome. Ces deux Églises se caractérisent pour leurs rites très redondants, très rhabillé. On ne doit pas séduire des rites orientaux si simplement, car ils sont rhabillés très, eux aussi, seul de manière différente du romain.

        Aujourd'hui nous commence à connaître la richesse des Églises primitives parce qu'il y a états hommes, comme je disais déjà ce matin, qu'ils ont dédié la propre vie à parcourir le chemin à reculons vers les sources, pour découvrir les premières eucharisties. Pas tous savent lire le siriaco pour comprendre les textes anciens. Derrière ce rinnova­mento qu'aujourd'hui nous vivons il y a la vie de gens qu'elles Y se sont jetées. Don Tonneau que c'est l'âme du renouvellement liturgique du Concile c'est un homme âgé maintenant qu'il a passé toute sa vie en étudiant les fonti.E ' la meilleure autorité, ainsi que ce qui disait au Concile était définitif. En traduisant quelques choses a fait seulement place coup de torchon d'interprétations entières de théologiens. Parce que dans ces textes il y a l'expérience vécue de l'Église sur lequel on ne peut pas tourner page.

Maintenant nous voyons comme c'était l'Eucharistie du LES à l'III siècle.
        Pour faire celui-ci nous prenons un écrit de Saint Giustino. Saint Giustino vécut jusqu'à le l'an 150 et c'est un personnage intéressant parce qu'il naquit en Samaria, de parents grecs, il écrivit de Rome, et donc il connut tout le bassin de la Méditerranée et tout la tradi­zione de l'Église primitive parfaitement. Ce qu'il écrit il ne l'écrit pas avec l'intention d'expliquer une liturgie eucaristica, mais ou mieux pour défendre le christianisme devant l'empereur. Il fait une apologie des chrétiens qui venaient attachés parce qu'ils faisaient réunions étranges. Il dit de non, il dit que les chrétiens font choses très simples. Pour que­sto je motive il résume ce qui était une Eucharistie chrétienne primitive.
        Vu en les lignes essentielles.

(Kiko)

        Ce qu'il fera Carmen il servira à expliquer un po le rinnova­mento du Concile le Vatican II. Peut-être nombreux de vous ils n'ont pas exactement compris le sens des changements qui ont été faits dans la Messe. Il faut comprendre qu'est-ce qu'il y a sous ces changements. Pour faire celui-ci, il est très intéressant de voir l'évolution qui a eu l'Eucharistie dans l'histoire.

(Carmen).


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        Dit Saint Giustino: "LE JOUR QUI S'APPELLE DU SOLEIL, CÉLÉBREZ-LES UNE RÉUNION DE TOUS CEUX-LÀ QUI HABITENT DANS LES VILLES LES CAMPAGNES."

        Vous chose premier que nous trouvons c'est l'assemblée. Le jour du soleil est le dimanche. Dans l'Église primitive autres fêtes n'existaient pas au-delà des Pâques; il y n'avait ni le Noël ni autre. Puis nous verrons quand ces fêtes naissent. Les chrétiens n'avaient pas autre fête o1tre à la veille pascale, et comme prolongement et émanation de que­sta, le dimanche.

(*>)         Justement comme les Juifs qui célébrent la nuit pascale et, comme prolongement, le sabbath qui est la même chose même si avec so­lennità moins. [<A>] Pour les chrétiens le sacrement authentique fondé et inauguré par Jésus Christ comme son mémorial c'est la nuit pascale et comme prolongement et participation de cette nuit: le dimanche.

        Vous dimanche a un sens spécial parce que la célébration est une fête qu'il introduit au repos; c'est l'entrée dans l'éternité, en les je repose eterno.Tutto ce un Juif il comprend beaucoup de le bene.E comme les sacrements ne sont pas choses qu'uns on il invente, mais ils sont réalité, il faut rester en repos et en physique tranquille comme je marque. Pour le Juif il y n'a pas distinction entre âme et corps et soi un Pâques il ne conçoit pas entre coup d'oeil en travaillant ou comme si ce fût un jour quelconque: l'homme constitue une unité complète et il participe à un repos complet. L'essence des Pâques est le repos éternel qu'il inaugure, la fête, le repos. Car les chrétiens sont nés dans le même milieu, pour eux le dimanche est repos. On ne conçoit pas une eucharistie dehors du repos, au travail. Pour ce Saint Giustino il dit: "Le jour du soleil on célébre la réunion."

(*>)         Trouvé puis une assemblée qu'il se réunit. [<A>] On ne conçoit pas, de quelques-uns manière un rite individuel. Les Juifs ne peuvent pas faire Pâques si ils ne sont pas en 11 comme groupe familier au moins. Parce que le sacrement n'est pas seulement le pain et le vin mais aussi l'assemblée; l'Église entière qui proclame l'eucharistie. Il ne peut pas être nous une Eucharistie sans l'assemblée qui la proclame. Beaucoup d'est vrai que dans notre temps quand il était perdu maintenant ce sens communautaire, en les voulant maintenir cette idée, pour dire la messe il y avait besoin d'un représentant du peuple l'enfant de choeur.

(*>)         Non est eucharistie sans assemblée. Et une assemblée celle entière qui célébre la fête et l'eucharistie; parce que l'eucharistie est l'esultazione de l'assemblée humaine en communion; parce que l'endroit précis dans lequel on manifeste que Dieu a agi il est dans cette Église créée, dans cette communion. Et de cette assemblée qu'il jaillit l'eucharistie.

        Et est fête évidemment.

        Continue Saint Giustino "... et ils se proclament ici, bien que le temps permet, LES SOUVENIRS DES APÔTRES OU LES ÉCRITS DES PROPHÈTES." Autre élément que nous trouvons: le MOT.
        Vous mot est proclamé en abondance. En toutes les liturgies orien


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types se font perlomeno quatre lectures: tu donnes livres historiques, de l'ancien testament, des Prophètes, des Actes des Apôtres et de l'évangile.
        Ad un certain je vise l'église d'Alexandrie il commence plus à pas capir l'ancien testament et il le laisse. Mais c'était une proclamation du mot de toute façon amplissima. Et ils n'avaient pas le sens des nôtres en outre trois lectures, qu'ils les écoutent doctrinalement pour apprendre. Ce mot a la caractéristique de ne pas être une lecture mais une proclamation que l'assemblée réalise.
        Il assemblée ne lit rien mais il proclame par contre faits qu'il a vécu. Parce que ce mot en elle est expérience. Ces lectures c'est-à-dire qu'ils sont là inscription ils reçoivent corps et vie dans une assemblée qu'il les proclame.
Celui qui écoute le Mot il est catecumeno; celui qui est église ce n'est pas un catecumeno simple qu'il écoute: il proclame le mot.

(*>) Giustino dit après: "TERMINÉE LA LECTURE LE PRÉSIDENT IL FAIT L'EXHORTATION." Il vaut à dire, nous trouvons ici l'homélie.

Celui-ci en utte les églises. Justement parce que l'écriture n'est pas lettre morte, mais il se proclame de vive voix ou mieux la. Le Président ne fait pas de ser­moni, il ne dit pas que nous devons être bons et tu ne gagnes pas et que "nous devons...". Le Président quand il fait l'homélie, l'il fait que ce mot se fasse présent, il se révèle.

        ET ' ce qui fait Jésus Christ dans la synagogue de Nazareth quand il entre, il déroule le rouleau de la loi et du prophète Isaia lit: "L'Esprit du Seigneur est sur de moi..." Jésus ferme le rouleau et il dit: Aujourd'hui "ce mot s'accomplit parce que l'Esprit de Dieu est sur de moi, Il m'a enduit..." ET celui-ci Jésus Christ ne lui dit pas parce qu'il est il. Cela peut lui dire toujours l'église, parce qu'il est réalité: Le Mot se réalise dans l'Église qui la proclame. Cette actualisation du mot représente ce qui est un omelia.Tutto essentiellement ceci il est très difficile parce qu'il est très plus facile exiger des gens que donner. Le mot est donner; il est Dieu qu'il se révèle à l'Église. Pour faire celui-ci le président il a son ministère. Moïse imposa les mains sur Josué pour lui transmettre le Mot, parce qu'elle prît vie en lui. Le mot en effet il est vivant, ce n'est pas une écriture simple.
        En l'homélie qui avons des Pères de l'Église nous rencontrons peu d'homélies des évêques de Rome à la comparaison de ceux de l'est. Dans l'Église de Rome la première chose qu'elle s'est abandonnée c'est l'homélie. Et celui-ci parce qu'il est très difficile de faire une homélie, parce que pas il trat­ta de faire une homélie traite de la vivre. Et très plus facile faire sermons moraux.

        Continue Giustino: NOUS NOUS ÉLEVONS TOUT ENSEMBLE "APRÈS ET NOUS ÉLEVONS NOS PRIÈRES."
        Venu maintenant l'oraison des fidèles ou universel. Cette oraison ne manque jamais dans une liturgie. Ceci vient de Jésus Christ que pendant le dernier dîner il prie. Cela se faisait déjà dans les synagogues.
        Prière pas prières. Et "des fidèles", parce qu'ils ne la faisaient pas les catecumeni qui ne formaient pas seulement encore le Chiesa,ma les bat


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tezzati croyants. Justement comme Israël, l'Église ne se sent pas meilleure qu'aucun autre peuple: il connaît sa mission simplement d'être médiateur entre les nations.
        Cette prière s'appelle prière universelle aussi, c'est-à-dire pour tous les hommes. Dans le rite romain tout ceci resta pour le jour du Vendredi seulement Saint. L'Église est en train de récupérer aujourd'hui le. Le fait est que, comme personne ne comprend de qu'est-ce qu'il se traite, ils se font beaucoup de choses confondit comme ces litanies en qui prie. Et une assemblée celle entière qui est en train d'intercéder pour tout l'univers. Farnès dit qu'il l'effraie beaucoup qui se réduise à des entretiens de chaque avec le Très saint ou choses du genre.

Continu Giustino: "TERMINÉE LA PRIÈRE NOUS NOUS CONSACRONS L'UN L'AUTRE LE BAISER DE LA PAIX."

Maintenant nous nous trouvons devant l'embrassade DE PAIX.
Cela existe depuis les liturgies les plus primitives.
Et puis: "ENSUITE, COMME NOUS AVONS DÉJÀ, ON PREND LE PAIN C'EST LE VIN C'EST LE PRÉSIDENT AVEC TOUTES SES FORCES IL FAIT ÉGALEMENT SA­LIRE À DIEU L'ACTION DE MERCI, ET TOUT LE PEUPLE ACCLAME EN DISANT ‘AMEN '."
Ici l'anaphore, la bénédiction ou action il vient de merci.
Dans l'anaphore tout le rite de communion entre, etc...

        Cette chose si simple est une Eucharistie primitive. Le Mot fait déjà partie de l'Eucharistie; forme partie du mémorial parce qu'il ne s'agit pas d'apprendre des choses, mais d'une proclamation. Cette proclamation culmine avec le resurrezione de Jésus Christ, après avoir fait il pressent toute l'histoire du salut, et aux sacrements qu'ils réalisent et ils font il pressent la Mort et Resurrezione de Jésus Christ.
(*>)         Rompu le pain nous entrons dans la mort, en buvant à la coupe nous faisons une alliance dans son sang et nous faisons Pâques avec du Jésus Christ: devant cette réalisation nous proclamons: "Viens, Monsieur Jésus! Tes Pâques réalisent entre les hommes!"

(*>)         Une eucharistie primitive qui est d'une si grande simplicité peut être d'une grande variété aussi. Mais l'âme vive de toutes ces eucharisties est toujours le Mystère de Pâques de Jésus Christ. Et toute la tradition hébraïque culminée dans le Resurrezione de Jésus Christ des morts. (*>) Ce resurrezione est celle qui a créé entre les hommes un nouvel Esprit vivant, un Esprit vivifiant qui a fait naître l'Église qui proclame l'événement arrivé et devant qui trouve hommes en communion parce qu'ils forment un seul Esprit." nous Annonçons ta mort, ton Resurrezione qui en proclame, tu viens Monsieur Jésus."
        Cette anaphore a beaucoup de variété de formes combien de ce sont les gens qui la chantent. L'église siriaca, que c'est une église très intéressante parce que l'empire romain resta sauf, il a plus que 78 anaphores différentes; mais toutes d'une unité parfaite. Et une espèce de symphonie avec beaucoup de sujets. L'unité de toutes: Les Pâques de Jésus Christ.


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(Kiko)

        Pas vous croyiez que dans l'Église primitive une feuille existât que le Président devait lire, comme aujourd'hui il succède, aujourd'hui Nous avons quatre anaphores. À ces temps ce qui présidait, sans lire, il faisait l'action de merci avec toutes ses forces, en faisant un récit de l'Histoire du Salut. Par la suite pour éviter abus, tout ceci on arrêta de le vivre, on rédigea un canon. Aujourd'hui ils se découvrent dans les églises beaucoup de variétés orientales d'anaphores, parce qu'alors oui ils recueillaient les meilleurs.

 (Carmen,

Maintenant nous voyons chose il succède avec l'Eucharistie depuis IV au VIII siècle. Nous avons ici une date clé: le 314 que c'est l'an de la conversion de Constantin. L'Église passe de l'être constituée par petites communautés persécutées à être la religion officielle de l'empire et donc protégée. Tout ceci influe énormément sur l'évolution de l'Eucharistie et de toute la liturgie parce que dans l'Église masses de gens entrent sans avoir été catéchisée.
(*>)         Vous construisent basiliques
énormes avec lesquelles entrent dans la liturgie éléments jour faste et solennité.
Depuis ce moment la lumière puissante de l'Église Primitive se recouvre et il se brouille en les chargeant d'éléments de pompe.
        Vous pureté de la liturgie primitive se se rhabille d'oripeaux.
Maintenant nous examinons ces éléments de pompe.
        Il empereur entre avec grandes solennité dans la basilique:
rite de l'entrée, la recette. Vous imaginez la procession qui s'organise pendant que tout le cortège de l'empereur entre. Une grande entrée avec des chants. La recette rhabille une grand

        Tenu présent que les églises sont pleines de gens qu'elle n'est pas juive et que les Pâques de génération n'ont pas vécu en génération. Et' gens qu'il vient des temples païens où il prêtait ses cultes et, en n'ayant pas été catéchisée, il commence à voir dans le culte chrétien les mêmes choses qu'il faisait dans sa vieille religion. Chacun d'eux voit les choses comme il les a dedans, avec les lunettes qui porte. Tous cette gens ne vivent plus les Pâques mais les propres manières religio­si de concevoir Dieu et les relations avec Lui.
Du         Comme celà nous trouvons qu'ils entrent dans la liturgie toute une série d'idées des religions naturelles:
offrir choses à Dieu pour l'apaiser; sacrifices, agneaux offerts différents. Aussi Israël pour une certaine période eut ce type de culte sacrificiel, mais nous avons déjà aussi vu que Dieu l'a peu à peu fait passer d'une liturgie sacrificielle et de temples à une liturgie d'éloge, de glorification et à cette spiritualité extraordinaire que c'est la célébration pascale. Maintenant ces gens qu'il entre dans l'Église il revient à celui-là qui déjà le peuple de l'Israël avait dépassé et il commence à voir dans la liturgie chrétienne les rites païens religieux.


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(*>)         Autre j'attends de pompe et religiosité c'est la procession des offres c'est-à-dire l'offertorio.

        En l'église primitive n'était pas nulle de semblable. En continuant à léger Saint Giustino nous aurions appris que "Après la célébration des mystères, ce qui a d'à ce qui "n'a pas." Et il y a c'est-à-dire une communion de biens, une manifestation c'est-à-dire du fait qui est une communion réelle. Celui-ci cependant il ne fait pas partie du fait qui est une conséquence dans la vie des hommes qui vivent dans le même esprit.

(*>)        Da ce moment en puis c'offrir choses une place d'importance primaire occupera à Dieu dans le rite. Parce que ces hommes vont avec peur à offrir choses à Dieu parce qu'Il soit ils favorable. Rendez-vous compte de nous sommes comme maintenant lointains chez les Pâques. Le chrétien en effet il n'a pas de peur et il fait ces Pâques comme une explosion parce que Christ est que Lui et c'est sa meilleure sûreté. L'intervention de Dieu dans le resurrezione de Jésus Christ est celle qui fait proclamer aux chrétiens leur exultation. Ne pas quelque peur: Christ resuscitato va devant eux.
        De ce moment la vision est complètement différente:
il commence à apparaître un culte d'offre avec qui l'homme doit apaiser Dieu, qu'il est propre l-idée païenne de porter offres.
(*>)        Al je commence perlomeno les offres ils se quittaient à la porte des temples; puis cependant, étant donné que ce fait des offres allait bien, et étant donné que celui qui donne, il donne toujours beaucoup d'importance aux choses qui de, commencez-les à porter offres jusqu'à le l'autel. Alors il s'organise une grande procession avec toutes les offres et avec beaucoup de prières sur les offerte,fino au point qui l'idée offertoriale envahisse l'eucharistie primitive. Nous assistons à un ricoprimento du patron avec le secondaire. Cette idée offertoriale est parvenu jusqu'à les nos jours: nous mêmes nous avons vécu de cette spiritualité offertoriale. Je même je me rappelle que l'offertorio était pour moi d'une importance que vous ne pouvez pas imaginer: avec l'hostie pure, sainte et immaculée tu t'offres tu, ton travail et le jour qui commence.
        Mais quelque chose de pire ancre succède quand ils disparaissent les offres matérielles qui donnaient sens à l'offertorio et alors le rite reste sans contenu.
Quand cela succède, je remplacer au vide de contenu avec autres choses:
beaucoup de prières spéciales. Et alors il se fait une oraison pour hostie, une oraison pour le calice; il s'offre le pain et le vin qui servent pour le sacrifice.
(*>)         ET ' clair que celui-ci offrir à Dieu n'est pas du tout une mauvaise chose. Tu peux offrir à Dieu ce qui veux, mais l'Eucharistie est une chose bien différente
, nettement distinguée par tout ceci. Dans l'Eucharistie tu n'offres rien: il est Dieu absolument présent celui-là qui de la chose la plus grande et c'est-à-dire la victoire de Jésus Christ sur la mort.
        Il vient à te donner tout et à te porter au Padre.In cette manière tous ces rites solennels, ces processions, cet Empereur qu'il entre, ces basiliques grandioses, ces offertori, ces gens que les Pâques ne vivent pas maintenant plus, ils les font que la liturgie il riempie de ces idées d'offre et de beaucoup d'autres vous liez à une mentalité païenne.


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(*>)         Vous liturgie est solennelle: chants grandioses et musique. Maintenant La musique atteint une richesse extraordinaire. Le christianisme est protégé par l'empereur. Nous assistons à une grande richesse et faste du culte.

        Un exemple de choses qu'ils restent sans contenu il est arrivé jusqu'à les nos jours. Dans l'église primitive nous avons vu que le Mot est très important. Vous récitait toujours le psaume 44 qu'il chante les noces du Roi avec une princesse étrangère. Vous déjà savez que celui-ci, dans la spiritualité de l'Israël, il décrivait les noces de Dieu avec son peuple et que pour l'illustration chrétienne les noces de Jésus Christ avec son Église. Eh bien le psaume commence avec une introduction "qu'il dit il Répand mon coeur mots heureux, je chante au roi mon poème." Quand on commença à ne pas comprendre plus rien du Mot on supprimée le psaume, en maintenant cependant l'introduction jusqu'à les nos jours, il se fait l'introduction c'est-à-dire au chant et soi il ne chante rien. Nous voyons comme choses secondaires donc ils rhabillent et ils voilent l'essentiel.
(*>)         Mais cette masse de gens païens voit surtout, en fondo,la liturgie chrétienne avec ses yeux religieux:
l'idée du sacrifice. Il y a un complet rétrograder à l'ancien testament qu'il avait été dépassé par le même Israël. Farnés lui dit en faisant un exemple. Pour construire un bâtiment ils se placent les échafaudages. Fini le bâtiment les échafaudages elles sont enlevées. Dans le bâtiment qui construit dans l'histoire du salut, il y a des échafaudages qui sont ces idées sacrificielles qui avait eu l'Israël et qu'elles avaient été dépassées par le même Israël dans la liturgie pascale. Maintenant que le bâtiment leur a déjà été construit il revient à placer les échafaudages en revenant aux idées sacrificielles et sacerdotales du paganisme.
(*>)         Donc quand puis dans l'âge moyen ils se mettent à discuter du sacrifice, ils discutent de choses au bout qu'ils n'existaient pas dans l'eucharistie primitive. Parce que sacrifice dans la religion est "sacrum facere", faire le sacré se mettre au contact avec la divinité par sacrifices sanglants. Dans ce sens il y n'a pas sacrifice dans l'eucharistie: l'eucharistie est sacrifice dans un autre sens, parce que dans l'eucharistie l'il y a, la mort, mais il y a aussi le resurrezione de la mort. L'Eucharistie est Pâques, passage de la mort au resurrezione. Pour celui-ci dire qui est sacrifice est juste, mais il est incomplet. L'Eucharistie sacrifice d'éloge, un éloge complet de communication avec Dieu je traverse les Pâques du Seigneur. Mais dans cette époque l'idée de sacrifice n'est pas entendue ainsi mais dans le sens païen. Ce qu'ils voient dans la messe il est que quelqu'un se sacrifie, c'est-à-dire le Christ.
Dans l'eucharistie ils voient le sacrifice de la croix de Jésus Christ seulement. Et si aujourd'hui vous demandassiez aux gens quelque chose à cette intention, il vous dirait qu'en le la messe voit le calvaire.

        les Pâques sont recouvertes peu à peu.

        Occupé nous maintenant de l'Eucharistie du VIII au XIII siècle.


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Comme vous voyez n'entrer dans beaucoup de détails, mais on pourrait citer une quantité énorme de particolari.Stiamo en donnant une vision d'ensemble.
(*>)         Si nous avons trouvé gens qu'il ne vit pas les Pâques, ni il la comprend, maintenant nous nous trouvons devant le fait qui commence à ne se pas comprendre le latin non plus. En Allemagne ils ne l'ont jamais compris et non plus en France dans le siècle X, et dans le siècle XII en Italie et en Espagne. Nous nous trouvons donc devant à une grande masse de gens qu'il ne peut pas comprendre rien. Il dit Yves Congar: les yeux voient celui-là qui ne comprennent pas. Alors les gens doivent imaginer les choses.
(*>)         Apparu dans les églises les grands tableaux qu'ils représentent la vie et les miracles de Jésus Christ. Du peuple de l'Israël qui est le peuple de l'ouïe, nous avons fait le peuple de l'imagination. Les gens s'imaginent tout ce qui lui plaît, ainsi que dans la messe il y n'a pas deux gens qu'ils soient en train de vivre la même chose. Et en outre, comme la messe n'a pas été fixée et il y a grandes libertés, nous assistons à une invasion dans la messe même d'oraisons privées. Cette période se caractérise pour le fait qui sont introduites dans la messe de plus en plus oraisons. Il y avait déjà toutes celles qui se faisaient à l'offertorio. Maintenant, comme il se fait la recette mais personne n'entre pas, il se fait une grande quantité de prières au début de la messe, aux pieds, à l'autel, pour remplir le rite de l'entrée. Vous rappelez "je monterai à l'autel...", "je ne suis pas digne...", "confiteor..." etc..

        Maintenant n'est pas plus absolument assemblée.
        Avec Pape Pieux V s'établissent un po toutes ces oraisons car, en ayant chacun une grande liberté de leur introduire à son plaisir, ceci il était occasion de grand abus.
La messe est recouverte d'oraisons privées entièrement de tous les côtés. Le Canon reste étouffé par prières qu'ils le précèdent et qu'ils le suivent.
        ces prières sont toutes de ton en outre pénitentiel et au singulier.
Et comme le prêtre dit le son ‘mis, le poveretto qui se sent beaucoup indigne de se rapprocher de Dieu doit commencer à s'excuser de son indignité: avec esprit d'humilité et âme con­trito.
        Vu comme nous sommes lointains maintenant de l'explosion de joie et de fête de l'Eucharistie.
Nous sommes à une messe complètement pénitentielle en qui le centre est représenté par l'homme qui doit se rapprocher de Dieu. Nous sommes lointains maintenant chez les Pâques dans lequel Dieu intervient pour traîner l'homme jusqu'à soi. Maintenant c'est le contraire: nos messes sont service que nous faisons à Dieu.
        Mais le mystère dans il y a.
On sait que Vous messe enferme dans si une très grande chose sacrée. Pour lequel le prêtre, pour pouvoir dire messe, il doit maintenir la dignité sacerdotale, qu'ils lui enduisent les mains. En sachant que la messe a beaucoup de valeur, commencez-les à se faire payer pour la dire; et poicé la messe a une valeur infinie on il commence à dire moisson pour tout. Il achète intérêt le numéro des messes. Les messes ils se font chaque fois plus fréquente et il en se multiplie le nu­


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pur. Il se fait de la messe quelque chose magique qu'il vaut pour n'importe quoi, ils commencent à apparaître les autels latéraux sur qui dit son messa.Troviamo c'est-à-dire la messe privée des moines...
        Pas existe plus la valeur de l'assemblée, de la communauté qui exulte dans l'eucharistie et dans la fête; l'eucharistie est l'heure par contre quelque chose qui a pouvoir et que donc il faut réaliser.

        Car il est perdu maintenant de vue la source de l'Eucharistie naît les théologies rationnelles qui tentent d'interpréter ce qui ne sait pas qu'est-ce que soit.
Vous imaginez l'abattoir de théologies qu'ils tentent jour interpréter de manière rationnelle l'eucharistie sans connaître la source. Dans cette époque rationaliste en lequel est Dieu, en cette manière occidentale, les signes et les sacrements je pardonne valeur pour les explications rationnelles. Il ne se comprend pas maintenant plus la valeur du signe des sacrements.
Aujourd'hui nous avons le privilège de vivre dans une époque dans lequel, par la psychologie et l'anthropologie, nous redécouvrons la valeur des signes qui parlent beaucoup plus à l'homme qui à la raison. Les choses qui ne peuvent pas enlacer s'expriment avec des signes rationnellement avec des symboles.
(*>)         En cette époque n'importait pas ni le dimanche, ni la fête, ni l'assemblée, ni autres choses. Ce qui intéressait ils étaient beaucoup de messe. Tant'è vrai qui se scandalisaient pour le fait en Russie qui en ouest ils pussent dire beaucoup de messes journalières. Pour eux c'était un sacrilège énorme. Prêtres nommés existaient en Espagne "altareros", parce qu'ils se consacraient seulement à dire moisson le plus grand numéro possible. Ces siècles sont les plus décadents en ce qui concerne la liturgie. Vous joint à une superstition complète. Ils se déclaraient moisson jusque à pour qu'un certain évêque mourît, pour n'importe quel soperchieria. Ceux qui attachent l'Église, si ils connaissaient les sacramentari de ces siècles ils pourraient le faire avec plus force, parce qu'il est celui-ci le degré de superstition auquel on arrivait.

(*>)         Vous comprend donc parfaitement parce que Luther se leva. Luther se trompa en beaucoup de choses en ce qui concerne la messe parce qu'il ne connaissait pas les sources. La chose unique qu'il avait c'était la Bible. Et quand il lut dans la Bible d'un dîner il prépara une table? Il donna donc beaucoup d'importance aux mots de la consécration qui sont dans l'Évangile, en abandonnant tout celui-là qui semblait invention des siècles précédents, mais il encore rendue ainsi l'eucharistie plus magique. Luther se limite à faire ce qui dit Jésus Christ, en laissant de côté tout le contexte dans lequel Il lui dit, simplement parce qu'il ne le connaissait pas. Au moins l'Église dans le Canon, même si très rhabillée d'oripeaux, il maintenait le noyau essentiel de l'eucharistie. Mais Luther, en pensant que le canon mêmes fosses une invention ecclésiastique, en n'étant pas vous dans les écritures, il fit hors la messe. L'Église conservait par contre dans le canon et dans la préface l'essentiel, même si beaucoup d'additions secondaires y avaient été introduites.


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(*>) Avec Pape Pieux V était une tentative de réforme dans le Concile Laterano afin de réarranger les choses et éliminer beaucoup d'abus, parce que les messes elles étaient longues à cause de toutes les prières privées qui y avaient été introduites.
        Été aussi dans ces siècles qu'il s'étendue à tout l'ouest le canon romain.
Rome dit qu'ou ils se renouvelaient les propres canons, ou on adoptait le romain. La première solution coûtait comme trop, on préféra la seconde. Et les cisterciens le divulguèrent ainsi pour toute l'Europe. Cet imaginé qui signifie imposer à un peuple qu'il a déjà ses liturgies des rites importants.
(*>)         Avec le Concile de Trente, au XVI siècle, il s'établit tout rigidement en imposant de manière radicale le rite romain. Avec cette imposition on ne peut pas maintenant plus enlever ou ajouter rien de la messe. La messe est ainsi arrivée jusqu'à nous. Ce fissismo a si longtemps duré que quand pour la première fois ils nous ont changé la liturgie, nous nous sommes scandalisés parce que nous il semblait immuable. Ceci est une faute: la liturgie est en renouvellement continu.
(*>)         Rappelée les diversités d'Eucharisties de l'Église primitive, et malgré cela leur unité parfaite. La liturgie est vie, une réalité que c'est l'Esprit vivant entre les hommes. Donc pas il on peut mettre en bouteilles jamais, parce qu'il dépasse tous les modèles. Il a toujours nouvelles manifestations.
La chose intéressante est l'unité du contenu. Et pour celui-ci la rénovation vraie ne termine jamais, parce qu'il est toujours à la recherche d'une manifestation concrète de celui-là qui est vie.
        En cette époque ils naissent toutes les philosophies sur l'Eucharistie.

(*>)         Quand ne se comprend pas ce qui est le sacrement, à cause du svalorizzazione énorme des signes comme sacrements, et quand il ne se comprend pas ce qui est le mémorial, commencez-les à rationaliser, à vouloir donner explications du mystère qui est dans. Précisément parce que, le mystère dépasse son explication unique, il y a le sacrement. Le sacrement parle plus que les raisonnements. Mais à ce temps car ce que ne se comprend pas c'est le sacrement, tâchez-les de donner explications philosophiques du mystère. Et ils commencent ainsi les débats sur: "Comment il est présent?." Luther ne nia jamais la présence réelle, il nia seulement le parolina "transsubstantiation" que c'est un mot philosophie qu'il veut expliquer le mystère.
        Vous Église primitif n'a jamais eu problèmes à propos du presen­za réel.

(*>)         Pour les chrétiens il y n'avait pas quelques-uns doute sur le fait qui fût présent dans l'Eucharistie. Mais la chose importante ne reste pas dans la présence de Jésus Christ. Il dit: "Pour celui-ci je suis venu: pour passer de ce monde à mon Père." Ou, la présence physique dans le monde a un but que c'est le resuscitare de la mort. Celle-ci est la chose importante. La présence est un demi pour le but qui est Son oeuvre: le mystère de Pâques. La présence est dans l'Euca—


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rétive, des Pâques. L'Église primitive n'a jamais eu proble­mi à propos de la présence réelle. Mais si déjà dans les Pâques Dieu il était présent... Dieu est présent complètement, de manière efficace, comme nous nous disons, c'est une présence sacramentelle, réel, authentique, mémorial. Comment les Pâques se réalisent s'il y n'a pas le bras puissant de Jahvé qu'il tire de l'Eggitto dehors?
(*>)         Avec du Jésus Christ est le même. Le mémorial qui laisse est Son Esprit resuscitato de la mort, présent avec tout son mystère de mort et resurrezione, vie fait pour apporter au Père tous ceux qui célébrent les Pâques tous ceux qui célébrent le dîner avec Lui. L'Église primitive n'a pas problèmes à propos de cette présence.
(*>)         ET ' quand il ne se comprend pas cette présence des Pâques plus maintenant, de ce sacrement qu'il veut les expliquer filosoficamente,che ils les commencent les débats sur comme il est présent, avec les yeux ou sans les yeux, physiquement etc. Toutes celles-ci explications partent d'un point faux, consistant en le vouloir expliquer quelque chose différent rationnellement. Donc checché la hollandaise heure ils les inventent choses comme le transfinalizzazione ou autre, le résultat il est le même: ce sont toutes philosophie qu'ils ne portent pas au rien.
        Pas traite d'expliquer avec la raison les sacrements, parce que le sacrement est donné par Dieu comme mémorial précisément parce que le mystère est supérieur et il dépasse la raison.
Dieu nous aurait autrement donné une philosophie pour nous expliquer ce qui est Il.

        Luther n'explique pas la présence réelle, mais il a un problème: il a vu qu'ils sont perdus les signes et il veut les récupérer. Alors le Concile de Trente dit: "Si quelqu'un dit qui sont seulement signes de la foi soit anathème."

(*>)         Un sacrement est formé par deux éléments: un est le signe, esplicitazione du mystère, et l'autre il est l'efficacité du signe qui réalise celui-là qui signifie. Les protestant voulurent donner tellement beaucoup d'importance à l'élément premier que le Concile dut faire ressauter la seconde: les sacrements donnent la grâce qui signifient. Le Concile dit la vérité mais ceux qui vinrent après, pour s'opposer à Luther ils s'arrêtèrent à l'efficacité des sacrements en négligeant le signe. Et alors il est le même communiquer avec le pain, ou avec une hostie qu'il semble de papier; il est le même qu'il boive un de la coupe ou qu'ils en boivent tous. Le canon disait: "Il prise le calice,fece l'action de merci, et il le passa à ses disciples en disant: vous prenez et buvez en tous.... En réalité qui boit c'est le prêtre seul et tous les autres ne font rien. Combien à l'efficacité le sacrement se réalise, mais pas il de quelque importance au signe.
        ET ' important insister sur celui-ci.
Des deux éléments du sacrement, nous avons maintenu l'efficacité qui représente la chose importante pour un esprit rationaliste; l'essence des choses. Nous l'avons fait sans savoir de la valeur précieuse du signe.
        Farnès fait une comparaison:
Si le pioggia,e tombe tu veux la recueillir,


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il n'est pas le même si tu utilises un panier plutôt qu'un seau: sans aucun doute dans les deux cas la pluie il est efficace,cade, mais pendant qu'avec un panier tu ne recueilles rien de cette efficacité, avec un seau oui.. Précisément les signes préparent l'homme à se mettre dans la disponibilité apte parce qu'il se réalise le sacrement. Le pain et le vin en tout ce que signe ils aident et ils préparent à recevoir l'action de Dieu. (*>) La liturgie est pleine de signes, parce que d'eux on ne peut pas faire abstraction pour que la grâce se réalise.
        Mais après Trente nous sommes restés avec les essences et les efficacités en méconnaissant la valeur des signes.

        Après tout ce qui avons dit nous pouvons comprendre un po le renouvellement liturgique du Concile le Vatican II.

RENOUVELLEMENT

        Eu vu comme l'Eucharistie longueur primitive le cours de l'histoire, on alla recouvrant de paludamenti qu'ils voilaient sa lumière. Donc la première chose que le renouvellement à lesquels assistons il a fait elle a été celle d'enlever toutes ces choses qu'elles avaient été introduites dans la Messe qui sont secondaires et qu'ils obscurcissent ce qu'il est principal.
        ET ' été abandonné le dernier Évangile, ils s'abandonnèrent les prières aux pieds de l'autel, ils s'abandonnèrent le trois Avé Maria, etc..
Le renouvellement est un nettoyer de tout le revêtement qui y era,perché le noyau et le contenu qui était caché je sois vu en tout sa splendeur. Ils les commencent ainsi à récupérer les choses importantes réellement.
        Vous est en train de récupérer l'assemblée ils s'abandonnent les autels latéraux et les messes simultanées.
Cependant il y n'aura pas une vraie assemblée si communautés ne se lèvent pas qu'ils vivent de l'Esprit pour exulter en communion.
        s'est traduit la langue latine dans les langues vulgaires différentes parce que tous puissent comprendre.
Rendez-vous compte des aberrations auquel on était arrivé: légères le Mot avec les épaules au public et dans une langue qu'il ne se comprenait pas, il est comme si maintenant je vous parlasse en vous donnant les épaules. Alors cela nous apparaissait la chose la plus normale.
(*>)         Vous récupèrent les signes: commencez-les à communiquer avec le pain et pas avec une hostie qu'il ne semble plus de pain, on boit au calice.
        Le Concile Vatican II a établi qu'ils les récupèrent les signes en toute leur richesse de signes.
Récupérez-les l'embrassade de paix, malgré ceci tu résultes difficile aux gens étant donné que nous ne sommes pas en assemblée ni en communauté.

(*>)         Il offertorio dans la réforme a perdu d'importance. Chose imaginée signifie pour les gens enlever le peu lequel il participait.


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   À cette intention est un cas significatif. L'orate frates. L'Orate frates est l'exemple le plus grand de toutes ces prières qu'elles furent introduites dans la messe de type individuel, pénitentiel et sacrificiel. Il résume toutes les idées medioevali de la messe: Vous priez frères, parce que ce sacrifice ‘mon et votre ‘je sois apprécié...; la réponse était encore pire: le Seigneur reçoive des ‘tes mains ce sacrifice... Mais quand tout était en latin et personne n'intervenait, l'orate frates était le moment dans lequel les gens participaient de plus. La réforme voulait l'enlever parce que c'est une addition avec beaucoup de déformations. Ils firent un catechesi spécial à Paolo VI pour lui expliquer qu'il fallait l'enlever; Paolo VI fut convaincu de celui-ci, mais il dit jour ne le pas enlever pour motifs pastoraux; l'enlever est un problème délicat, parce que le peuple avait commencé là à participer et sans un catechizzazione préalable pas l'on pouvait enlever parce qu'il causerait du trouble dans les gens.
        Vous chose premier qu'il a dit en effet le Concile est que pour pouvoir faire la réforme il faut faire un catechizzazione.
Autrement les gens se scandalisent parce qu'il ne comprend plus de rien; et bien qu'ils changent les formes les gens il continuerait à vivre la messe à sa manière, avec son chapelet etc.. Le peuple en effet il n'a jamais arrêté de participer avec des neuvaines chapelets.

        Le je peuple il a toujours participé; et comme il ne comprenait rien de celui-là qui succédait, un montait à la chaire et il commençait: neuvaine à S. Rita...
        Sull'offertorio sont trois possibilités plus concrètement,; une est celle qui dit:
Comme ce pain nous serons réunis dans ton Royaume... Et celle-là qui à la fin on est préféré parce qu'il n'a pas sens offertoriale. L'Église primitive n'avait pas d'offertorio: il se portait le pain et le vin simplement pour célébrer les mystères. Le sens hébraïque des bénédictions ascendantes s'est récupéré et il se déclare: Benedetto sois toi, Monsieur, pour ce pain... , restes humanistes restent encore, fruit du travail de l'homme.
        Arrivé que beaucoup de prêtres jeunes qui veulent nouvelles choses font l'offertorio comme ce fût une grande rénovation.
Ils ne comprennent pas à qu'est-ce que tu vises la réforme. Dans l'Eucharistie il y n'a pas aucune offre; les offres se rendent et ils présentent sem­plicemente.
        Vous formule qu'elle s'est quittée il n'est pas qu'il soit très heureux.
La rénovation est à peine commencée.
(*>)         Non plus est le Gloria.
Le Gloria est un passage merveilleux et c'est une prière du matin; mais il n'a pas sens dans l'Eucharistie, parce qu'il signifie dupliquer l'anaphore. L'origine reste dans le fait qui les moines, premier de la Messe, ils disaient les éloges dans lesquels ils récitaient le Gloria; avec le temps ils finirent pour l'insérer dans la Messe.
(*>)         Il même pour le Credo. Il vient depuis le temps des ères—


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sie. Quand ils commencèrent à apparaître hérétiques et apostats, avant de passer à l'Eucharistie, il se faisait avouer leur foi. Mais ce n'est ni un passage de l'anaphore ni quelque chose de moins. À Rome il fut où plus tard le Credo entra.
Quand Charlemagne alla à Rome pour la première fois, il se scandalisa parce qu'ils ne récitaient pas le Credo lequel il était très habitué. Rome a toujours été lente en l'introduire choses.

(*>)         Dit que l'Église primitive n'a jamais problèmes sur la présence réelle. Si à Saint Pietro il eût été demandé si Jésus Christ soit présent dans l'Eucharistie, il se serait émerveillé, parce qu'il ne se pose pas le problème. Pour lui Christ et une réalité vivante qui fait Pâques et il traîne le Chiesa.Non il est problème de miettes ou chose de ce type; Saint Pietro se serait très plus que le fait scandalisé qui pas y et l'assemblée ou qu'un seul boit du calice. Et problème de sacrement, d'assemblée.
        Mais imaginés que, maintenant, avec les problèmes de la philosophie tu commences à être nous une obsession sur le fait si Christ est présent dans le pain et dans le vin et comme.
Je pourrais vous montrer discussions théologiques sur ce problème qu'ils font rire. La vraie théologie est un chant à Dieu, c'est l'Eucharistie même, un chant complet d'éloge à Dieu parce qu'il s'est quitté connaître. Les théologies du siècle XVI n'est pas autre qu'élucubrations mentales sans une expérience biblique de lequel l'Eucharistie jaillit. Le mystère il incentra sur la présence: les protestant disent... Calvin dit... L'Église catholique devient soin obsédé à la présence réelle, beaucoup qui est présence réelle" tout pour elle.
(*>)         Commencé les grandes expositions du Très saint, (premier jamais existée, parce que la présence était dans la célébration eucaristica et pas le contraire. Le pain et le vin ne sont pas faits pour être exposé, parce qu'ils vont à mal. Le pain et le vin sont faits pour être mangé et bus.
(*>)         Moi je dit toujours aux Sacramentini qui ont construit un tabernacle immense: si Jésus Christ avait voulu l'Eucharistie pour rester là, il se serait fait présent dans une pierre qu'il ne va pas à mal.
(*>)         Le pain est pour le banquet pour nous mener aux Pâques. La présence réelle est toujours un demi pour nous mener à un but, que c'est les Pâques. Ce n'est pas un absolu, Jésus Christ est présent dans le Mystère pascal.
        Par contre de Trente en puis on célébrera la Messe pour consacrer et avoir présent Jésus Christ et le mettre dans le tabernacle.


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En beaucoup de couvents de religieuses il se déclare la messe pour remplir le tabernacle. Nous avons transformé l'Eucharistie qui était un chant au Christ glorieux, dans le prisonnier divin du tabernacle.
        En cette époque commence le Corpus Christi, les expositions solennelles du Très saint, les processions avec le Très saint, les messes privées de plus en plus, les visites au Très saint et toutes les dévotions eucaristiche.
Tout ceci est plus important que la célébration maintenant. Tout est vrai que je même je suis allée à la Messe pour communiquer et m'apporter rue Jésus Christ dans le coeur. La messe était la moins; il était celui-ci: une visite de Jésus dans ton vuore, qu'il est ce qui disons aux enfants quand ils font la première communion. Cela signifie minimiser l'Eucharistie.
(*>)         Vous présence de Jésus Christ et une autre chose.
Et le chariot de feu qu'il vient nous transporter vers la gloire, à nous passer de la mort au resurrezione
, à nous faire vraiment entrer dans la mort qui est très différent. L'Eucharistie est complètement dynamique, il nous met en chemin. Nous l'avons transformé en quelque chose statique et manipolabile pour nous. Vous pensez que c'est beaucoup de vrai ce que je dis que nous faisons le remerciement après avoir communiqué, pendant que toute l'Eucharistie, comme nous avons vu, il est action de merci.
(*>)         Tous les valeurs d'adoration et contemplazione,che ne sont pas hostiles à la célébration du banquet, ils sont sortis par la célébration comme choses marginales.
L'adoration au Très saint, par exemple. Pour ces beaucoup de gens il se scandalise quand l'Église commande d'enlever le Très saint pendant l'Eucharistie et, si possible, de l'enlever de la nef principale. Je rappelle un prêtre d'Avila qu'il disait: Même si tu me le commandes le Pape je n'enlève pas le tabernacle....
        Regardée comme l'Église parle de celui-ci officiellement:
"Dans la célébration de la Messe ils mettent en évidence successiva­mente les principales modalités selon qui est présent dans son Église. Avant tout manifeste sa présence dans son Mot, quand ils se proclament les Écritures, puis dans la personne du ministre, enfin et de la manière la plus excellente dans les espèces eucaristiche. De façon qu'à cause du signe, vous voyez comme ils les récupèrent les signes, il est plus apte à la nature de la célébration sa­cra que la présence eucaristica de Christ, fruit de l'action eucaristica, que comme type doit apparaître, je ne les aie pas, bien que possible, déjà du début, à travers la réserve des espèces sacrées, sur l'autel où on célébre la Messe."
        Vous réserve il était pour les malades qui n'avaient pas pu assister à la célébration; alors il se les faisait participer, communiquer avec l'Eucharistie, avec les Pâques, avec la Fête qui ont célébré en assemblée tous les frères, au moyen des espèces.


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Et comme quand un n'a pas pu participer à des noces et ils lui conservent un bout de gâteau parce que tu participes au banquet. Mais c'est plus que celui-ci la célébration entière eucaristica en fonction de lequel sont les espèces.
(*>)         Comme une chose séparée par la célébration ils commencent les dévotions célèbres eucaristiche:
l'adoration, les génuflexions pendant la messe à chaque moment, l'élévation parce que tous adorent. Dans le Moyen Âge à l'élévation on jouait la cloche et ceux qui étaient à la campagne ils adoraient le Très saint. Tout ceci très est déjà loin du sens des Pâques.
        En outre les gens ne se communiquaient pas.
Le qual chose est incon­cepibile: ne pas manger dans un dîner pascal. Vous va vraiment pour manger.
(*>)         Il adoration et la contemplation sont spécifiques des Pâques, mais dans la célébration, pas comme choses détachées.
Donc il ne va pas bien ce que maintenant il succède en beaucoup de messes qu'avec beaucoup de guitares et beaucoup de folklore il ne reste pas temps pour l'adoration et la contemplation. Ils sont valeur que la célébration a et que nous avons détaché d'elle pour les faire individuels.
        Toute la rénovation est commencée avec la redécouverte du Mystère de Pâques.
Vous rappellerez que la première chose qu'il se renouvela ce fut la Veillée de Pâques, qu'il introduisit Pieux XII premier du Concile. Les chrétiens n'avaient pas autre fête dehors de celle-ci.
        se renouvela la semaine sainte parce que, comme Constantin construisit basiliques pour toute Europe, sa mère Sant'Elena les construisit à Jerusalem.
Alors les Pâques se transformèrent en un revivre les faits de la Passion théâtralement avec beaucoup de cérémonies historiques, pas sacramentels. Les Pâques se dispersent de la rue tout Crucis, processions et grands tu officier. La nuit pascale perd, peu à peu, de valeur et il augmente l'importance du jeudi saint du vendredi saint et du samedi saint. Tout ceci célébré avec des cérémonies très vous enrichissez avec du teatralizzazioni et charges sentimentales.
Le mystère se perd dans une commémoration historique.
        Vous Pâques perd unité et il se transforme en une septième de fêtes.

        Mais dans le siècle XVII avec l'industrialisation n'est pas maintenant plus fête et les gens qui est très religieuse, il participe à sa manière avec des heures saintes, voie Crucis, etc. ET aux cérémonies les prêtres vont seulement et ils sont ennuyeux.
Je rappelle encore quand les Pâques se faisaient le samedi matin avec les églises complètement vuo­te. C'était une chose des prêtres qui comprenait.


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        Pour celui-ci le renouvellement fut commencé en 1955 les Pâques en portant au premier plan et en récupérant la Veillée. D'il partit là tout le mouvement jour rénovation liturgique, en partant du noyau des Pâques qui fut la grande découverte.

(Kiko)

Quelqu'un dira peut-être: Ma maman, que choses se déclarent ici! Est-ce qu'il veut dire que premier il était tout incorrect?
        Restée attentifs:
le Concile Vatican II a dit qu'il faut faire catechesi pour expliquer aux gens le renouvellement, parce qu'on ne peut pas faire un renouvellement liturgique sans l'expliquer au peuple, parce que les gens s'effraient. Ce qui peut succéder est en outre qu'une fois faite les changements, les gens s'habituent et il dit: la messe était avant ainsi, maintenant il est cosà....... et tout au bout continue de la même façon.
        Pas est celui-ci l'esprit de l'Église et du Concile.
Le Concile a surtout parlé de catechesi aux gens pour expliquer le renouvellement. Celui-ci est beaucoup difficile à faire. Comment tu pourras expliquer aux gens qui se sont tirées les prières aux pieds de l'autel, par exemple? Tout de suite Les gens pensent: Est-ce qu'il veut dire qu'ère premier se trompée; alors ils m'ont trompé; pourquoi ils me faisaient faire les choses de cette manière s'il s'était trompé? Ils devaient changer avant les choses!
        En outre comme notre peuple vit son christianisme au niveau de religiosité naturelle parce qu'il n'a jamais été catéchisé profondément, la religiosité naturelle se base sur une verticalité absolue dans lequel tout est venu du ciel et il ne peut pas être touché:
la preuve qui vient de Dieu est vraiment tel intoccabilità, le peuple dit: Si quelque chose peut être changé il veut dire que Dieu s'est trompé, donc la religion est fausse! Cela semble exagéré à la vue premier, mais il est celui-là qui pense le renouvellement au bout.
        Tout ceci parce que nous ne comprenons pas que la vérité, la révélation de Dieu se révèle aux signes de cette manière on explicite aux hommes.
Et comme nous hommes nous vivons en événements historiques, dans une histoire qu'il change continuellement, l'expression extérieure de la manifestation de Dieu change aussi. Le même langage des gens change. Si un du siècle XX parlât l'Italien du siècle XVI tous ils riraient de lui.
        En la Bible se voit comme Dieu il a spiritualisé et purifié progressivement la liturgie de l'Israël, en partant de sacrifices de boucs et de vaches jusqu'à joindre aux Pâques qui célébre avec ses Apôtres.
Il a y eu une grande évolution des rites. À l'époque jour Jésus Christ le centre du litur—


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il n'est pas déjà plus le temple mais une fête familière. Dieu, à travers l'exil, les prophètes, la synagogue a mené la spiritualité du peuple à un sacrifice d'éloge.
(*>)         Carmen vous a expliqué comme les idées sacrificielles, que l'Israël avait eu et il avait sublimé, ils s'introduisirent dans l'Eucharistie chrétienne de nouveau. Peut-être que Dieu a besoin du Sang de Son Fils, de son sacrifice pour s'apaiser? Mais que race de Dieu nous avons fait? Nous sommes arrivés penser que Dieu apaisait sa colère dans le sacrifice de Son Fils à la manière des dèi pagani.Per celui-ci les athées disaient: Que type de Dieu il sera ce qui reverse sa colère contre Son Fils dans la croix?... Et qui pouvait répondre?...
        Vous rationalisations sur l'Eucharistie nous avaient mené à ces déformations. Mais les choses ne restent pas ainsi. Dieu, en Christ, il dit Saint Paolo, il était en train de réconcilier le monde en nous, pas parce que Christ apaise Dieu d'une façon ou d'une autre, mais parce qu'il veut montrer aux hommes qui nous aime malgré notre péché; il avait besoin de nous montrer que même si ils tuaient Son Fils il continuait à nous aimer. Dieu était en train de réconcilier le monde avec soi à travers Jésus Christ. Et le monde qui avait besoin de découvrir l'amour de Dieu.
        Cette catechesi ne se consacre pas dans un jour et non plus en deux.
Pour celui-ci nous commencerons un chemin le long de d'ans où nous découvrirons et nous approfondirons cette merveille. Je vous assure que le renouvellement du Concile Vatican II portera l'Église à une gloire indescriptible et il remplira de stupeur et admiration les oriental et les protestant. Ensemble tout nous nous assiérons sur la pierre angulaire, sur la roche où ne pas de divisions. Le Concile est oecuménique.
        Dieu aime son Église qu'il marche avec des hommes concreti,che ils sont pécheur parce qu'ils sont libres.
Mais Dieu ne permettra pas que les portes de l'enfer prévallent sur l'Église, même s'il permet des péchés pour qu'il se voie, comme Saint Paolo dit, que nous portons un trésor inestimable en vases d'argile: parce qu'il est Dieu qu'oeuvre et il ne dépend pas de gens qu'ils sont très buonine.
(*>)         LES abat arrivé dans l'histoire de l'Église ils montrent y une chose: que nous hommes nous nous sommes engagés à détruire l'Église et nous ne nous sommes pas réussis. Les hommes d'Église han fait tout le possible pour l'abattre. Le fait qui aujourd'hui existe c'est un des miracles les plus grands qu'il y ait.

(*>)       En que direction va le renouvellement du Concile? En celle-là d'enlever tous les revêtements et paludamenti qu'ils cachaient le trésor des Pâques. L'Esprit Saint a permis que ces revêtements apparussent en circonstances déterminées stori­che parce qu'il était nécessaire; dans un certain moment, il fut nécessaire d'insister contre les protestant sur la présence réelle par exemple.


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(*>) Mais une fois que celui-ci n'est plus nécessaire, il ne faut pas insister vous plusieurs. Parce que ce moment historique est passé. Parce que si tu mets contrepoids environ sur la balance parce qu'il ne se déboutonne pas, une fois que le poids opposé a disparu, il ne faut pas conserver le contrepoids parce que si non il se déboutonne de l'autre côté. Si les choses sont comme ils doivent être, il ne faut pas insister.
        Il Esprit Saint a porté l'Église, à travers les siècles, à répondre à réalités concrètes qui se les présentaient.
Par exemple: est-ce que quelqu'un peut dire pourquoi Dieu a permis que dans l'Eucharistie la recette et l'Offertorio ou toutes ces idées sacrificielles entrassent? Parce qu'à ce moment-là historique il était nécessaire. L'Église a dû accepter un moment historique très important, ce dans lequel masses sans catechizzazione entrèrent dans l'Église, hommes qu'ils n'étaient pas juifs, qu'ils venaient du lotier temples où ils faisaient leurs rites et leurs fêtes: parce que tous les peuples ont toujours été religieux. Qu'est-ce qu'il a dû faire l'Église avec toute celle-ci gens? Accepter cette réalité et tâcher de transformer cette mentalité païenne en chrétienne peu à peu. Et comme il a fait? En christianisant leurs fêtes leurs rites. Pour cette raison il fut nécessaire que les offres entrassent dans l'Eucharistie, parce que cette idée d'offrir à Dieu ne se tire pas de la tête des gens dans un jour. Nous avons la tentation d'assimiler les choses rationnellement. Cette nuit nous célébrerons une merveilleuse Eucharistie. Réjouissez-vous, parce que nous la célébrerons comme le Concile il dit. Vous rappelez l'époque dans laquelle vous écoutiez la Messe en latin sans homélie. Je rappelle les Messes qui écoutais à Madrid dans l'Église du Bon Succès. Tout en latin; tu restais là dix minute, il appuyait sur une sonnette et nous nous agenouillions pour la consécration; tout de suite il jouait une autre après il tourne la sonnette; puis sectes tu minutes encore et ce près de moi me faisais le signe de la croix qui voulait dire que l'ère finie mise. Vous pensez à cette époque dans laquelle nous n'avions pas Mot parce qu'il était en latin; il y n'avait pas homélie, ni oraison des fidèles, ni baiser de la paix, ni anaphore en langue vulgaire; le pain en forme de papier, personne ne communiquait, le calice le buvait seulement le prêtre, etc..
Celui-ci nous l'avons vécu tous.
        Imaginée vous la chose merveilleuse qui supposent:
hommes disaient Carmen, qu'ils ont donné toute leur vie pour étudier l'Eucharistie de l'Église primitive. Mais il arrive que le peuple continue à ne pas comprendre rien pour manque de catechesi.
        Lu vos réponses au questionnaire du matin pour voir ce qui vous pensiez de la Messe.


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        Cette nuit nous célébrerons l'Eucharistie avec un Mot abondant. Le Concile a mis trois lectures. Quelqu'un se scandalise et il dit: qu'ennui! Clair: dans la religiosité naturelle on tâche de satisfaire Dieu, donc combien plus bref il est, il est mieux. Vous pensez par contre aux chrétiens qu'ils donnaient la vie pour aller le dimanche à l'Eucharistie. Les martyrs de Bitinia, par exemple, qu'ils furent brûlés pour être allé à la Messe, en sachant qu'ils les auraient tués si ils étaient allés. Il est dans la relation de Plinio au Traiano qu'il lui a commandé de rechercher sur ce qui font les chrétiens; j'ai écorché hommes, j'ai torturé âgé, j'ai fait de tout; la chose unique que j'ai su il est qu'ils se réunissent la nuit, premier du se lever du soleil, à l'aube, ils prennent de la nourriture en commune, pain et vin, et ils suivent un qui s'appelle Cresto." Il dit Christ non plus. Clair que les chrétiens donnaient la vie pour l'Eucharistie! Si c'était le centre de leur vie! Il est à nous il nous ennuyait...
(*>)         Célébré l'Eucharistie cette nuit, samedi.
Jésus Christ ressuscita dans la nuit entre et le samedi le dimanche. Avant de Jésus Christ le septième jour était le samedi; avec du Jésus Christ est le dimanche, le jour du soleil, Jésus Christ est le soleil de justice. Les chrétiens se réunissaient le samedi nuit, par la suite on passa le dimanche matin. Pour celui-ci le Concile a commencé au lasciar célébrer l'Eucharistie le samedi nuit. J'ai entendu sur celui-ci des choses étranges, qu'ils viennent de l'ignorance absolue des gens: Ils laissent "y célébrer l'Eucharistie le samedi, ainsi nous sommes libres pour aller à la campagne" le dimanche. Les gens disent ainsi et il reste toute contente. L'Église a mis l'Eucharistie le samedi soir parce qu'il est signe très plusieurs. Le samedi a beaucoup plus sens de fête, la fête est déjà finie le dimanche. Quand nous revenons du stade nous pensons déjà le lundi et au travail, pendant que la nuit du samedi la fête est à son comble. Les Juifs célébraient les fêtes de crépuscule au crépuscule. Pour les Habitants de la Judée le rite du samedi commençait le vendredi aux cinq de l'après-midi et il durait jusqu'à le le couché du soleil du samedi. Pour nous le dimanche commence le samedi soir jusqu'à le dimanche soir.
        Été chanceux à avoir écouté ces choses parce que beaucoup de gens continus dans l'ignorance.
Pour nombreux ces catechesi seront restés une nouveauté, pour autres un scandale.
        Le je centre de votre liturgie dans le chemin catecumenale ce sera la Veillée Pasquale, célébrée pendant toute la nuit.
Nous devons récupérer la nuit comme je marque. La nuit a un sens d'attente d'attendre le jour. Vous pensez comme ce signe l'il est perdu. Dans la Veillée Pasquale le diacre disait: Nous resterons toute la nuit réunie, tant que l'étoile du matin je nous trouve vigilants. Il est aux 20,30 nous étions déjà dans la route. Nous faisons les choses rapidement parce qu'il ne se supporte pas de rester beaucoup en Église.


335 bis

Toute la nuit? Et qui viendra?! Qu'exagération!
        De cette nuit partait toute la spiritualité de l'Église primitive.
Cette nuit en laquelle ressuscita, la nuit sainte, la nuit sacramentelle, la nuit mémorial de Jésus Christ Ressuscité, la nuit des nuits, c'est le centre de la liturgie. Cette nuit ils les baptisaient les chrétiens, parce que Dieu dans cette nuit s'est appliqué à agir; dans cette nuit l'Esprit ressuscita Jésus Christ. Cette nuit viendra Jésus pour le deuxième vol­ta.
        ET comme prolongement de ce centre:
le dimanche, l'Eucharistie du samedi nuit.
        Nous nous célébrerons l'Eucharistie du dimanche le samedi nuit, dans une grande fête.
Vous célébrerez ainsi toujours l'Eucharistie pendant le catecumenato.
        Eu un Mot abondant, avec homélie, avec oraison des fidèles, avec embrassade de la paix.

        Après la paix nous ferons l'anaphore.
J'espère que celui qui préside il lui dira avec toutes ses forces. Vous verrez que c'est une théologie merveilleuse, un chant à Dieu pour les merveilles qui est en train de faire avec chaque de nous. Tous répondront "Amen" à l'anaphore et puis nous ferons la communion, sous les deux espèces, en communiquant avec le pain qui est le Corps de Jésus Christ qu'on remet à la mort et le vin qui est communion avec son sang.
        Espéré que tous nous participerons à cette Eucharistie dans laquelle nous récupérerons les signes.

J'ESPACE      de demi-heure

EUCHARISTIE      à 19 heures

CENA           à 21 heures

après le dîner un pò de fête. Il ne doit pas être trop longue parce que le jour suivant est beaucoup de choses à faire.   Une heure bonne pour terminer est minuit.